1
s
prt ,
El
e a
tuOemenl le
can ffe
que I
Th~ologims
2nr1MscOI a
la
gr2ce,
p t rl'lI(c1t¡ IU",.,II
fll.aTII~'
&
f.,–
' ,'a ,
C.'ell I'all de (:.-tir nos fo;¡'lerr<s, d'or« de nUi
¡n"!r~ll ,
de oou.
en
cr~«;
il.R polftdl! ",r 1<5 gens
de COor
&.
1., aou., malhroreut , Accooromis ou coo–
tr2iou
¡
ramp"', ik
0<11
. ppris
á
robir ,ont.. ron., de
form .
Fin
111.';/,
él
&Ilm
"tJ(J/et
.r'tlr .
Ce
(ont 2uffi de..
ferpeno ; lSOl6, ds ,ampem
1
'eplis IOrlOCIU
&.
lenu ;
UOIOI il, fe drc/lcOl (ur
ltu~s
qucu<s ,
&.
'tlaneeOl,
loo¡oon (001'1. , Itg-",
dé" ~s
&
dOUl , mime dlOS
lun mouvemeos
1 ...
pluo viDlens,
M~IiC'l.
vous de I'hom–
me
¡"ji"• •",;
il
frappc dOlo.lccment fur nflrre pnürine,
&.
il a I'o,cillt ou'crle pOor fai" , le Coo qn'clle
r.od.
JI
Cntrcra d21U
\lOlr~
mAiCon en t rclavc:, O\ais
iI
oc
tar–
d. .. pas
i
y commander en roa;'re doO! vooSpreodrC'l.
C.nsc<lfe 1.. volontts pour l., vOtr.. ,
/"ji"" d'"
re di, de per (ono..
<1<
des chore, ; cet hom–
me en
'1Ijilluanl;
íl
a des manieres
¡"fi1lUtfllltl.
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.ppell~e
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Oruil
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aOtl
rcTat;tJ
J
en
parmi
n005
I'.nre~illr.mem
ou la trao(críption qui re fai, doos uo
regillre public .Riné
i
Ce( ufage, es aél,s 'lui doioem
~tre
relldu, publle , alio d'é.iler loute furpnfc ao pré–
j udice de eeux qui n'au",ie", pas coonoia"oee de c«
.a.. .
L~ premicn~
ori'tine de
)'i1tfiIlNlftj01f
vient des Ro·
mains . Les
g01.1vcrneurs
des pro vinces avoient .:hacun
pre.
d'eu ~
un fcribe
appell~
ab "OiJ [tU .O,,,,ri,,,,
qui
re/remblo'l beaueoap
~
00< greffi er de.
i"ji,malio",.
S3
(onélion étoi, de reeevoir
le.
aacs d. jurifdlébon
vo-
10!"aire, ..1 que 1<5 émandpatlons , adopliom, maou–
mlmOOS,
<1<
nulammCot les eontrats
<1<
lell3mcOl qu'on
vouloit
¡njino"r
<1<
publier , On formoi, de tous ecs aOe;
uo regiRre féparé de celui des aff.ires eOOleoricures ,
On f.ifoil alors
¡"ji",,,r
voloOlalrement pr.rque tou.
le< COntra..
<1<
t.Ramens , d'aulant que les contra,. re'
~us
par \es ..b.llio"s oe faifoieol pas alors uoe foi plei–
ne
&.
entiere jufqu'i ce qn'ils eulfent élé vériliés par
I~moins
on par comparaifon d'éeriture;; pour éVller
¡'embarras de
CetlC
vtrí6cation, on les (aifoit
i"ji",ur
&.
publier
ae""
"On,
Ccue
i"jll1uatio"
(e faifolt
i
Rome
& •
Coonanti–
nople
"f"d
"'''s/jlr"",
""["';
dans les proviocc:> elle
f~
talfoor
de,v~m
le gouveroeur, ou bien devant les ma–
IIIRralS mUlllel¡>aul , ,ulquel. pour la commodilé du
public, 00 a!trlbua aum le pouvoir d. rccevoir les aaes .
11
fall oi, que ecue publicalion fe nt eo jugement
&
eo
prér~nc,e ~u
juge,
"OiJ i".'trvm i"" ibMJ
&
'{uji [ub
jig'l!'. !"doc.,;
e'ell pourquor elle eR appellée
pub/i"m.
s"/'m...",,,,,,,
&
les aéles q,lIe I'on publ ioit ainri, qui
n
é'tOIC:nt
2op:ar2vant qu'écrttures prlvées,
devenoient
alor> écritures publiques
&
~uthentiques,
r.ve:t
Loyf..u
d"
.Ifi,,,,
/ill.
l/,
,hap,
v,
,,0,
18.
&
[úivnn"
'
011
élolt fur-t ut obligé de faire
¡nji",ur
le; don.–
tions.
VOY'"
,j-npr<,
1
s
S
I
N U A
TI a
N S D E S
D 0-
HATIO N
.
Eu Franee:,
l';"ji"uflf,;U"
fe faifoit
dl1trefois au greffe
de l. ¡u(\ice du ¡¡eu, ou l',élc devoll étre rcodu pu–
blie; mai. eomme les !lreffiers ordioaires
(e
trouvoiem
trOP dill..ils par ces
i"jinuati.""
00 a érabli des bureaux
p. nieulicrs qui fOnl eomme uoe aonexe du !íreffe,
&.
des gretiier
p3rtico~ier~
pour
flir~
ces
¡nf'""atlo'!J.
Eil es
Cont
de
trOIS lones; favolr, les
11IfinuQIIOIIJ
des
dOIlMiúns , les
",jinuati."J
.ecléli.Rique;,
<1<
les
inji–
"IUJtl~"J
InYques .
L~. re~ill rc
des ¡"{i,,,.a,io,,,
font publics,
<1<
doi.enl
flre
eommulli~ués,
fans dépl.«r ,
a
tous ceux qui le
fcquierelll ,
V. t:t I'ar,ic/t
3
de la
d~c1aralion
du 17
Février '731.
( A )
1
N 1N
A T ,
O
N D E S
D
O
N A
T , o
N S
eR la tran-
(elÍptioo qui fe fait de dooalions fur un reginre publíc
deoiné a cet e!fe! ,
On
'''/'"110;/
yolontairclnent
che'l.
tes
Rom3ins tous
les .élcs que 1'011 vouloil reodre publie ; mais eomme
le dOllalÍoos fOI1l plus fufpeOes que les contralS
ii
titre
ollérctlx, 00 éto!t obl igú de (aire
i'lfinutr
tOute les do–
natioos d'unc ee"aioe fómme , On a.oil d'abord tixé
cela
.u~
donatioo , qui mOllloiem ;\
100
éens ; eofuile
Jullini.o le réduilil .UI doo..ioos qui exetdoieot
300
éeus; entill
iI
fut
régl~
qll'il n'y auroil que eelles qui
exeéderoient
roo
éeus , qui auroiem befoio
d'~Irc
i"ji–
"ul n,
au licu qu'aupnravant il n'y avoÍl que les dona–
ri.,os pieufes
~ui
élOlem valables jufqu'a cene fomme
f:lns
;_jinuat;Dn .
IJ
Y
.voil encare eertaine; donuioos qui étoient ex–
empl« de celle formalité .
Telles étoiem le; don.lions f.ites par le prince ou •
iOn profil, eeJle. <¡ui étoi(1l1 f. ites pOllr la rédel1lption
TI/M
PI/l.
1 N S
d,. ea '(s , ce les qtri éloi
fa'!... poor l. reconRre-
'00 d.. rruirons ruiné... p3r le feu ou 'Ulre d.,mml-
ge , les dom 'oos témunératolIes ,
<1<
edl qui t loieOI
fanes
i
C20re
de
mort .
Par le droil do ecxle, les don3 ' os
l
C30Ce de noe
appell~es
••
tl."prid!",
o'<'t ienl
pI<
000 plas (uJeue
1
llIjiMlUliQ" ,
fi
la
t"uture I!t (
m'neu e.
&.
qu'ene
e [
perdo (on pore: pa.r le: droit des n,,,·elles , elles éto'eoe
boones pour
la
femme iDdillioOemem, m,i. 000 poor
le mari.
Eo Fn oee.,
l'i_fino.ari."
des donations (e p,.tiquo:,
dans
c<
pays de droil éer' , cooforméon<O! sut Ibi.
de
J
ufiio:cn
&.
long'tem,
3\'2n1
l'ordono:lt1ce de
' f19 ;
00 IIoove
en
eff", d,ns les
pri\~leg
.. que Charles
V.
en
qu~lilé
de rél\ent du royaume , accord,
. 0
moir
d'Odobre 13r8 su ch.pille de , Ikroard de Romans
en Daophioé , qu'une don' lioo qui excédoil roo 60'
ri"" O'élOil pas valable
Ii
elle o'<'loil
i"ji",tlt
par le
Ju,;e.
Mais
l'i"fillllatiD1t
n'élott point
u fit~e
en pays coutu–
mier jufqu'i I'ordoon.nee de F
r20~0;S
1.
en I
f39 ,
qui
pone
1
arl.
t
31.,
que
tomes don:ltinns rC'rom infl!ré..: IX
enreglRrées
~s
eourS
<1<
JllIi(di ioos
ordon.ir«des
pu –
lies
<1<
des cha fes donoéc., qu'aulremeul elle, feroO!
rt–
pUlé.. oulles,
<1<
ne commeoeerOD< • a.oír Icur clte l
que du ¡'lur de ladite
injin""tio"
,
L'artir/t
f 8 de l'ordonoanee de M oulins .eut que
tOUles donauons eOlre-vifs foieot
¡"ji""I"
es greffes des
riégcs ordinaires de l'a mete des cha fes données
<1<
de
la aemeore de; ",nies daos quatre mois,
a
eompler du
jour de la dooalÍoo pOllr les perfollOes
&
bieo. étant
d.", le royaume,
&.
dans lix mois poor ecux qui foO!
ha" le royaume,
i
peine de nullité, lam en faveur dll
eréancier que de I'hérilier du dooaleu r ,
<1<
que li le do–
oaleur OU le donata"e décédoit pendan! ce tem.,
I'i,,–
ji""a,i.n
pourm
o~aomoios ~"e
faile
peo~aOl
ledil Icm. ,
La déclaralÍon du '7 Novembrc
'Ó90
ajoute que les
donalions pourronl
~"e
i"{in"l ,,
pcndaOl la vie du do–
nateur, ene"'re qu'iI
y
aít plus de qualre mois qu'ellcs
ayeU! élé failes,
<1<
faos qu'íl foit befoio d'aueuo con–
fentement du donaleur, ni de jugemem qui 1'3il ordon–
né;
&
que lorfqu'elles oe ferom
¡njin"l"
qu'aprcs 1 ..
quarre lllois ,
elles
n'auront etret cantre
les
!lcquércur
des biens donné,
<1<
eOOlre les eréanciers del dCJl13teurs
que du jour qu'elles auront é,é
¡'lji",d",
L'édrt du mois de Déeembre 1703, appellé eOl\lm\l–
nérnent
I'l di, dn
;n/inJlat;""J lai-f(lIu,
veut que
tuutes
don' lioos,
¡¡
I'elceptioo de eelle, faltes en ligoe direae
par eomral de manap.e, (oieor
injiN"I",
d~ns
les 'cm.
<1<
(00. les peines pOllée. par I'ordoonanee de 1
f3? ,
eelle de M oulins,
<1<
plr les dédamlions poClérieu res,
11 Y •
eneOre eu plu fieurs aUlres
r~glcmellS
doollés eo
il1lerprétatioo des prteédeo JuCqu'¡¡ la déclar..ioo du
'7 Fc!vrier t731, qui forme le deroier éta, fur la ma–
liere
des
i1lfinlllltionJ;
elle veur que rOutc5
donations
en–
tre-vifs de meubles
Otl
ilOmeubles, mUlllelles , récipro–
ques, rémunéralOires. onéreu(cs ,
m~mc
a
la ch.rge de
fervic.
&.
fondatioos en f••eur
M
mnriage,
&
aUlreS fai–
tes eo quelque forme que ce Coit,
i
I'cxeeption de eel–
les qui rerolem failes par COOlrlt de m.riage en ligoe ,
foi.m rnliouées; fuvoir, eelles d'lmm.ubles réels ou
d'immeubles tiOifs, qui 001
o~anmoins
une amete
aUI
bureau. é,abJis pour la pereeplÍon de< dro:"
d'i~j;"'ta
tio"
pres les
baillia~es
ou
fén~chaurrées
royales, 011 .u–
tre (jcge royal re(fo rtÍ(f3l1t nuement en nos
cours,
rant
du Jieu du dOOlicile du dooaleur que de la ritoalion des
chofes donoécs;
&.
eelle d., meuble. ou de eh Ces im–
mobiliaires qui 0'001 poiOl d'.mete, aut burcau. trablis
pres leCdi.. bailliages, (éoéehauífées , ou alltre licge rO–
yal relTortilfant nuemeOI en nos cours du líeu du do–
míeile du donateur feulemeot;
<1<
au cas que le dono–
leur COI fon dornicile, ou que les bieos doooés fu(fenr
daos I'étendue de julllees Icígneuri.l.s,
I'i"jin"a,ion
doil
~lre
falle au< bureau. éroblis pres le liégc qui a la con–
ooilfanee des
ca,
royaul dans I'éleod ue defdÍlcs j uoices,
le tout daos les tem,
&
fous les peine. portées par I'or–
donuance de Moulrn.
&.
la dédaration du '7 N o .em–
bre 1690; toutes
¡_ji""at;oIlJ
qui Ccroient f311es en d'3U–
tres jllrifdiélions foot déel..óes nulles ,
Les doo.tioos par forme d'augmelll, cootre-1lugmcor,
doo mobile, eogagemem, droie de rétention, ageneemeoe,
guil1 de na ces
<1<
de
fur.iedans le. pays ou ils fool en
ufage, doivent
~tre
i"ji""la
Cuivam la déclaralion du
10
Mars 1708; mais eelle; du 1f Juio 1719
<1<
do 17
F6vritr
1731 porleO! que le dUaul
d'¡nji"".ri",
n'em–
porte pas la nullité d. ces donarions.
L. peioe de nullilé n'. pas lieu non plus pour 1<5
clonations des chofes mobiliair.. , quaod
iI
y .. tndirion
N
n n n
1.
rtelle ,