o
,r<uve que I'i,,[efrion ne produie aucun d fet fu ceuY
qui
00l
eu .11 peeiee . vtrole. Da[<l,relle.meoe .
.
La dOa nDe de
l'ulOCIIlat,o"
n 3von eneore (té tr31-
tte en France que IptcularivelJ'eot
&
,par .
ma~iere
<le
conuoverCe ;
&
pere!>nne jufqu
~Iors
n a
~O\e ~~n
.uCage
du nOUVe3U prtferv3uf .. L e premler
fran~O\$'
.qul IUI con–
lia voloi1tairemenr Ca Vle, fut M . le chevaher de Cha–
telus,
a
I'~ge
de vingl-deuI
80S .
11. fe 61
illo~,,"r.
au
mois de Mai e7H. M. Tenon,
mal~re
en Chirurgle,
áójourd'hui de \'académie de Seience¡, 6t I'opération.
E lk avoÍ[ élé précédée
&
fut Cuivie de quelques au–
tres que M . le chevalíer Turgot , par úle pour le bjen
de 11humauité, avoit fail faire par le l1}éme chirurgieo
(ur des cofaos du peup!.e, du coqCentement
d~
lcurs
- pareD!.
Peu de tems apres,
M.
Hf)ny. doaeDr-régent de l.
fAculté de Paris . réviot de Londres .
0\1
il /\\oil alié
muni de recQffitllandalÍons du mioillr¡: de Franq : , pOllr
~'inflruirc
par
lui-m~me
d.esd~lails
qe la I'répa,,,tion
&
du traitemen! des
ino(l/Ib.
S?
rclation.
publi~e
;da\ls
plulieurs Joutnaux huéraires. comenoie un
gc.ndnOI1'–
bre de raíes nllUVC3UI , propres
a
dilfiper IOU$' les dO'I–
les. Ce fu t le momem 011 les critiques commonCQrem
a
s'C!lever la plupare (ondées Cur des f.ils . légerement
ha[ardés,
Se
depl\i~
dc!memis par dlvers éeril¡
&
par le
certi6cae public du
~ollege
des Medocins de LQndres.
00
eontinua
¡i?inocu/<r
a
Paris pendan! l'al1fomne de
17» ;
&
déJQ I'on ,parlolt d'ín¡roduire cee . uCage daos
l'h<'l iml o.e. enfims-trouv és, {cul moyen de le rendre
commun,
&
d'en f.lire p.ntl;\cr
le
fruit
3U
p~uple,
10rC–
que res progres naiffans furem arretés par ia mon de
la plus Jeune de deux. [reur qui (uoirem ceue opéra–
tíon ; accidellt d'autl lle plus m,lheureux qu'on I'auroit
du préyoir ,
&
qu'iI ellt p ur cauCe U\le circonl!ance
dOn!
I'i"ocula"ul'
ne fut pas inllru;e . Cependlnr le l '
N · vembre f"ivant 011 Coueil1l meme
i
París une no,,–
velle ,hcfe de Iné ¡ecille en
f~veur
de
l'in9m laci. ,,· ,
Au CUllltD"nCemen! de I'année rUiV.I\He
17)6,
M.
T ronchín fut
3~Jellé
de Gene ve pJr M. le que d'Q r–
lé~ns ,
qqi
l~ d¿,epnin~
de [Ol! propre mouvcmem ,
( ,) La viJIe de Lucqul!s n'.}
cen ainement
point hé des dcrn¡crc.s en
It.\lie
a
prJ.uquer " inocul:uion.
~ peul-~cre
2-t-ellc: p.a.r (on I!xcm.
pIe
&c.
p"r
rOl
'perl"évéunC'c.
acc,,~~lité
plu", qu':\ucunc autrc
&.
afier.
mi
~ee
u(:2gc e.etll!
ing~nieu(e
m:chode
.de
conf¡;:rver la vie, de pre.
v:nlr
le.
Illaladle.
chronlqllt!~,
Se
le.!
d,fformtt~s
que caufe la peci.
te vérole naturclle , fait [30t d'honneur
a
l'cfprit hUl1uin.
Be
une
de bi.:n
a
la
tociét~ ,
qu'i1 ef\ trcs.glorieux d'en
étrc' le
promoteur
&.
te défen rcur , Qu'il me foit done pc:rmil de
t1ono~r
ici
a
mOl pa.
tt,e. ~c,
juctcs
~Iogc'
qu'clle.
'1
.mcrit~ ~ c~'.
riere. ,
rcr~re
de yoir
un Jour la.
P!ut-.!
yéro\c arn6cu:\le
f'i
f'llmlh~re
a
COUles let n:uion.
Ic~air~C$ ,
Ql1'iI
r~r.t. d'~'.H~~e
plus honorable d'ayoir
~eé
des pte–
Iruers
a
en
d~montter
t
uuhté
p,n
la pruique,
Les
I,remi~re.
expéd ence, qui def ¡'aonée 1715. en furenr faites
• LO<""ques (ur
de~
enfan, u es.(.lio'
l
mait dont le. petes u oiene cu
la
peme yc!role conBuente
do:
la plus pernicieu(e
qU'liit~ ,
curent
tOUt
le
r~c:c:c:'
poffiole.
Be.
1:00
y
(ui"it la methode de Ranby .
T i{
(oc, nUtl,nl,
&.
la
~ondamlOe.
Le. mémes fucces :\ccomp:lgnereftt
cell~
qtJ1 furrne f.mes
.d~n.
le.5
anné~s
t. ivantet..
Ce
(ue
~Iou
que
J~
,am¡llet
le,
plo~
dla lOguées fe hvrerene uec emprecrement
a
cene
~eureure
dicouvcrte p.;¡r almrer
~ l'atilit~
publique
b
con
{eruuon de ,Ieura
~nfan"
11
(ufú: sle favoír combien
iI
impou e
d:ln~
un " rlaoerarte de con(ener le.
pr~cieux
rejetetlns de la no
bldf~(',
("'Uf
connohre combien ¡'iooca1.2tion peue ¡nRuer fur le bien
{Jubilc;
&
CCtt!
mét~oJe,
qu'on pe:Ut
contid~rer
en
8én~r.t1
eO"Tl_
me IIne .décollvcru: utdc
.l
l'bum;'\ni1~ ,
d
)it
~cre regard~e
dan. la
eonrbtuuo~
dI! n6tre
gouvern~meQt
romme un appui
pr~cieux
ron .1(}.:rmlllement . La bneveté
pre~critc
ne me pC'rmet
poinro~~
u pp?uC'r tous. les .hellreux
filCC~'
qlll OOt rorté
la
joye
&:
la
Con.
(oh\tlon :'ID rem
d
u:,. grand nombre de f.'lmilles, qui trembloient
pour le. IcnJre, .hérlUeu rur
lerqu~1s
elle:, (ondene leun cfpiranceJ .
Il me (uffit
d~
Jite "1ue .les opér.ltlont
~ontinuent
avec
I~
plus rano
de rcuffiee ,
&:
.qu.:
dep~u
onze an'
q.ueI'mocul:u ion en: chez gnou,
4n uragc (a •
ln~e,ruptt~nf
elle n'a )3m:li, éu! accompa8née d'dU_
eun
~chet\x
:l.ccldent, .01 méone ¿e (1m n6mec
qni
pllOen,
r~veiller
ha
cr:l~nte
"Iue nou,
:l.v'on~
dc!jl
b.lnnie.
&.
nou. cau(er le moindre
repenur de n6m: Cl,)nf1.lACe ("ns borneJ.
#
~bis
en
parti(an~.
<k 1.t
vérité,
il
faut convenir que t.1otlis ,
qo'
en
1 75~:
unl d.e V,IIl'J
c~l.ébre.s
ignoroient toeah:ment les meryeil.
!~. d~
I tnoculauon ,
~
qu en
quefqu~,
unl!l on en rifquoic
I=-
pra–
tique en
frem~l~nt,
&.
a~
milieu ele.
phu
reblH;.ntes contr.,d,élion,J .
l.
(age
~eve:lnl :
cc.vérlt;able
ami
des hommes, en ayoit
dé;.
faie
,1
l.1
¡;Iolre de I h :ahe '. phU de deux cene éprcuves , toute, heureu
{es d;a"tu le:
b
~urc.JeClte!na
&:
danJ
(t:.J
environJ . C'ell ainfi qu'.1.U
moment qae
J
~cru"
e,'nths que plufi:urs nalioa. civili(c!c" ,
&:
adon_
nc!:es aulC (ciences Ignorent ou veulenc iQnorer la avaOC'ages d
f!ene hcurcare,. décou'v.erte ,
un.lit
que Pan,
m~me
a
é:t~
.:ll)
poin~
de cOllper
a
I
,"ocu~:mon
b. VQle de la tolh3nce, Luc:quet en
c
ou -
te let
fnn.uné~ r~lC:ec,.
3vec l'appl:nJJiífement de tous
(e~
(ujeu, faoJ
auca"e
~nsue
ltuér'¡lre,
&
f;JaJ fe menre
en
reine de e
r
d
ceux
qa~
(e
r~fiI(ent
i
I'é"idence , ou !de vaincre
l'ob(lin~t~o~a ~;
,eux qUl ne
,y
oppor'ne
1.~e
p.lre(l)rit de parti .
Malgré le. cx:ceU,:o. rai onnernens Contenu, dans cee anicle , ap–
plIJl.s rur ,de' expé u rnces
ré¡t~rées
Be
dc!:ci6ves . malgr4!: divers
¿.
~m~
PU?!tc!$
p,u de.
~uteurs
FranyoiJ trcs·e-xpcrimenté. (ur
CCtlto
0'\3u~re,
ro3lgft! pilu efe
eC::~t
oph:uions faites
a
ll.1ris ar
M.
Gaui
( dlfl)lu-le encore
~
la gkme
de l'baHe) l'cofelfe\lr feDPall'l'!;é
d~
1 N O
[alrt:
;nOCIII,r
les princ:-;
Ces
enfans. L'opét'Slioo faite
~e , ~
Mars II/t tres-heureulc. Cet exemple
ill~llre
tut
_!ilivi d'UD grand nombre d', mres,
&
Cur de IUJets de
la premiere dillin.9ion,
taut
cof.lOs qu'adulee;. Troi
dame; entr'aueres qui avpient un double a"amago
i
re–
cueillir de
l'
inoc"lation;
urelH t premiere
a
en pro-
6ter ' elles 6 rent un gmod 1I0m!¡re de proCélyt
dala
knr '[exe . Ce fue alon que les
antt-inoclllifl<J
redoll–
blcrelJe leurs clameurs; I'un dant ulle thete remplie de
perConn,1ités indécantes; I'aurre dall un ouvrage par
lequel il déléroil Céríeufem
al
I' inoculatioll nux
év~ql1es,
curé~
&
magillrals du roy¿ume. L a theCc fut deta ouée
par
Id
cenCeur <je la raculu!; la dtlloociatioo ne parut
que ridicule .
La oouvelle mérhode a pereé dans quelques
provin~
ces de France, lUHout 11
N ltnes
&
a
L yoo . II Y a
eu 1>lus de cem pe,[otllles
moculln
dalls celte dern'ere
villa, dom aucune n'en morte. Mais les progre. de
l'inorulati./J en Francc
l\6
Com ríen en aomparaiCon de
ceux qu'elle a fai ts dan le N ord, depuis que le
tUú.
m,)i~e
de M . de la Condaminc , traduít dan
la
plllpar!
!les langucs de l'Europc, a portó
la
conv;élion dans les
cfpries .
On
illo",l,
a
Copetlhague ,
00
éeablí! de, h.l'pi.–
tau'
d'i1JO, ulation
en Suede,
&
cene prari ue n'y a pa
'plus
~c c~íltradi
ellrs qu'en
AI)~leterre;
elle en aUJourd'
h ,i [on lép:mdu. en W cllphalte
&
dan tout I'éleélorat
de Hunnovre. Elle commence
~
gagner
it
Berlin depui¡
qu'ou a reconllu par expérietlce que la perite véróle. na–
torelle. n'y el pas toujollrs aum bénignc qn'on le fup"
poCoít . D es
t
7f3 la
m~tne
méthode
aVOÍ!
pa{fé de G.,..
n~ve
en Suiffe, o u M. de
H~ller ~
MM . Bernoulli
l'otlL accrédirée par les exemples <lu' lls en on! dnnnós
filr
leurs ¡'.milles,
&
M. TifTot par fes écrit . M . de
la Condamine daos ron .voyage d' ltalie en 17H, tie de
uouv;.¡u x
prolélye~¡
i
I'ingc..
ration.
C'efl
a
Ca pcrluafion
que
M.
le cotm e de
Ri~hect)u r ,
prélideoe dll conre;1 de
ToCcane, I'établit la
m~ 'ne
année dans l'h6 ital de Sien–
IIC,
&
qll'OIl en 6e
a
Florcnce des expéríences que le
D.
T argioni a rendu pohliqpes; elle a depui été pra–
tiquée avec Cucces
a
L ucquos. ( 1) Les négociaos ao-
glois
l'uni\'cr6r6 de I'j(t: , defqoe:lles
iI
s'en
tir~
(.lns aueun :lccident
re–
m3rqu:lblc , f.liu qui p:ltlent cncorc
rlu~
qJe les
meilleurc~
dtOet'4
calions
*
c'eCt. doln, l\u is
rn~rne,
d"lu
ecn~
" ille
rcupl~e
d'homlfle.
~cl.3;rés .
de t.teJecinl
cé,~bres o~
¡'efpne de concc,¡Jidion P.lfnli
lu
(~'¡~,10~,
cclai de j.l.loufie
.p.l:mi
le. Medecinc ....empéebent leJ rro–
src.~
d
une .me,hode ti
utile .
&.
dont le, (ueces {one
11
évidcoc.c .
Q!IC
dis Je
I
nous .'\Vonf peine
3
le troire,
&
14
ponérit~
doutc ...
n .
de. I'dveuglemc:nt de fes .¡yeuls : c'ea dans P:lriJ
u~
Un pUf¡
d'é–
Crl\'3IOS
a...harné
COGtre
leJ lOoeul:ueurs , ,'cfforce de let d
ni~ter
par des libelles
anon}'m~s
fou. le ma(uue
fp~cicux:
J'homme. linche.
de
imparthux: , d'"mi, du gt:nre huroain , ..le proteeteau tIc
1"
p"_
uie , of.:loC confi ner I'¡ooeulation en Angleterre, comme
s'H
s'ngif...
foie J'?n
~y.5 J~
Bub.ues,
&.
qui
oe
mt pas cOllnu eorome un
"t s
plus tlcheJ terrleOIf'eS de: 1'S.urnf'.!
f~avantc:,
, Voill
l~
vrai tab!c.1u des
obfb.cks qui ,'orpo(e:u nux progre.
de
Ilnoculanoo, obO:aclC! :luxquels
00
ne peut
m~me
di{conyclur que
l..t
médec:ine
:tic
one
tr~s
grande p.1rt .
Q.ueI'on (ourienne donc conue tOUte:
Y~r¡t~
que l'inucul:\tion ne
gar.1neit paine de la reme yé role 03turd le; que l'on dlfe qu-: ct'lle_ci
lu~
(uC'c4!:dc..nec
de.
m~la\"es
cbronique.s
cll1f~CJ
par l'lnocul::tion
f~l1e
ancé'fleureroent; que 1'00 reprUcnte conu e l'expérlence
1,):
pe–
!Ice vérole n Hurelle CQrnme one mal(\die faeite
~
guh rir; <¡ue
1'00.
Inf'illue
le
(pccicux fcrupule (ur I'inren ion d'un mal
ccn.unlIdn.
u
cnrp. qui
peu~.€trc
o'en (eroit
jam~i. art.'\qu~;
que f'i Ruelqu'lIn
m:urt d.: l;t petite v4!:role
n~1ureJle ,
on en :utrihuc: f.1urfcmcnc la
~.turc
1
J'inocul:nion , (aulTete qll on
"3
~t6
c.ap,1ble de pultlic:r au
(0_
JeL
Ju
51.
d'un
M~J:cin
de
Clenuont;
fi
cffe:éHvement un inocolé
meun ene:e mille, qu'on faCConte au contraire mil/e moru
&:
une
fellle
su~tlfon.
&
qu'en p:U130t d'un inoculé qui a péri, I'on
in–
pute
touJn~r.
{a more
a
¡'ojlé"rauoo, {;tns d;'\¡gncr eX3miner
G
le
dt
fallt d'h.lbJ!cté ou de prudence Janf
¡'o¡~r.lteur ,
ou
li
le eoncours
~'autr..:s t'.anf~, .
comme il acriyc (ollvc:nt \bn.5
le.
eu,e~
le,
pla,
fimples, n'ca :t ooinl c;aofé le JHordre; enfin que I'on tente tOU'
leJ moyen. poffihle. , non d'ecl3ircir de bonne fui 1:2 qucl\"íon,
rn:ai.
~e
comb1ttre. de décrier,
1
ton
8t
a
travers l'inocul:ltlon ,
Be
que
l oo frOUVe
::trr~5
cch,
,,'11
el\: poffiblc, a(fez
d:
zéle . :'IWel. de
coa ..
rage d,¡ns.
~e,
bomme. né pour le bonh-:ar de: I'hum3llicé', C:t
l–
ble.J de .dlnger hcureu(cmenc ceHe
op~r.adon ,
pour qu'¡¡,
'c:xpo~nt
~
la. ha,n:-.:tu mépri" ;. I'jngratilutle u'une
foc.iet~
qui, (:.n. leur
favOIr
~ré
de m.ille cures heureafe., leur fera un intlísne
proc~c
pour un (eul accldent .
Je delire que cene .. iIle
0<)
j'écri• • demeurc ferro
&.
connan_
te d.1nl le p:ml
q~'e,lIe
a prit cn favcur de I'inoculation. Elle: peOt
Je, a
prUent (ervlr de moJJ!lc
~
tOUl le. p:tp qui
f~1urOnt
¡'lmÍ ..
lec: en re fl.lnr.a
la
ccrtimde de, b iu C)ui
r
~ruhe.ntde fes ex.
pénencct ,
~
qUI ne préteront poine I'otellle
:lUX
rropofitions
v~_
gue.
be
pé'nllell(es
en'aneé~.
par le (:tn3tifm,e
00
par I'ignor,¡ncc
Le progres de l'inoclIl:tcioo
a
Lueque. , (e r.lppone
1
dcux
c~ufe.
\.!:
rcnuelles,
~
{Uf-lO. ' p.umi les F.lmille, nobles
&.
de diCtintlion ,
La pre';?'t\!re el\: le p.::nch.lnt naturel
~ I'~tude
(Ioi porte la no_
b¡~(fe
l.
s IO.Ctruire par l:t leaurc,
l
rapprocher,
&.
a
examiner le..
fllt'.
3
~~~lfier
le,
cX'lérienccJ
r"Pi'Ort~e.,
a
étoutcr
&
compare,.
l~.n. p:tru:&ht~ !e..~,
feotimen, orPorcts les uns
30X
.:lucra
poor cn di.
aln&uer le
Vr:&l
d at'"ec Ic bux: :Uolnt de: dctciJer .
&.
pour (uine
une
route aa"uré'c diln, la dec:ifion.
La
oO,