IN H
~tI
arrierc fo)}s
1:1
euilfe du e6té malade. ,.(:;e
b~l1dage
.,0
contenrif;
0 0
s'en Cer! lorfqu'oo applique' quel9\le el,1;l–
p,1.trc, caraplarlJ,lC
<Sr
eomprel[e,s,
&c.
n~r
I'",il)e.
Vo)'<z
P('allche XXVII.
fig.
9·
}!f
tOo
Ou
fait un
i>tg"i"a/
dou-
I
'ble, lorfque les deux ainfs fout dans le cas
d'~tre
pan–
(ées.
01'
appclle
her",e inguí,,"/e,
la defecme qur fe
por.nea l
pli de I'aine.
V OJ((t.
HERNrE .
(l')
I
INHl\
BI.LE, adj.
(JuriJ,p¡:lfd.)
fe ¿¡it de eelui qui
en
jne,ap~ble.
de taire ,ou de re,eevoir
qu~)que
chofe.
Un ,mpllllfant,
p~r
eXemple" e1l
inbahi/e
a
la
gél'é–
tión,
*'
conCéque~n1;nent
a-u
rn~ria~e.
• Les enF¡\ns
eJhérédé~
&
cS~·
qur ont renoneé, font
;nbabi/u
a
fuccéder.
V.~le
,l-,JABrLE.
(A)
INHABILETE',
r.
r
(JI,,·ifprud. )
ea le défaut de
!Oapacité pour faite 9y.elq\le )<;hofe, comme
l'
;nha/·i/etl
a
fuccéder,
:i
s'obJiger,:a slonoer, diCpofer, teOer,
~tre
en
jugem~nt.
V'!}ez
INCAP~C1T.É.
(A)
-
rNHAB~TA,tlLE, INH~ITER,
(Gram.)
vo)'ez
'BAD1TA;rlOl'¡l, HAD1TER .
INH(\MBANE,
(Pl~~.)
royaume d'A,frique fur la
c6le orienta!e de la
dI~¿é~le
•
.
Cous
la Iigne
&
fur le gol–
fe
~e Sop.h"~I;
les
habl~a[)S
CO\1I idoHltres. Dapper dit
qQe la ville
capi¡~le s'~ppelle
Tongue; mais I'illtérieur
de
tOu~
ces pay
-Iii
'l0IlS
eO enrieremeot i"connu,
&
nous ne cQnnoilfous que tres-peu des c6teS'
(D .
J . )
1
N
l-;l
E'~
E N
T,
~dj.
lerme de Phyji91te .
fe dit d'une
qualité qui réllidc
d~lls
\w
corps,
&
qui ne lui vient poillt
d'uoe .él:ion extc!ricurc. On demande par exemple, Ci la
pefanreur
dI
une qual ité
jnblr~nt~
a
la Q'latierc; e'ell–
a-dire Ci c'efi une qualit6 qui ne provienne
p~s
de I'im–
pulCion d'lln fluide ihvifible, comme le préteodeot les
_Cartéliens .
V0l.ezA¡r,JtACT10:,r. GRAVITÉ,&C
(O)
INHIBITI(,)NS, Cm.!?!.
(JNrifprlld.)
fClnt des
dé–
{enCcs. Cajles
¡¡
quelqu'uo ear la loi ou
par
un jugemenl,
de
fa
"e quelque en" fe de contra"e.
(A)
• INHUl,\I1ANITE'. f. f_
(Gramm _)
vice qui nons
fort qc nOlle
eC~ece,
qui uous
f.itce/fer d''''"e nomme;
durcté de creur,
done
la nature
rembloit
nous avo!r ren–
<tus inqpables .
VOJez
l-lU.MANITÉ.
. • INBU,iVlATION,
C.
f.- (Grllmm.)
I'aélion de
. !!teure le corps d'un homn:>c J,l1ort daos la fépulture.
IJ
f¡r
t la volonré d'un
tefi~te\lr
poor
inhNmer
un corps nors
- de
Con
églife paroimale. On o'a commencé qu'en
1 lOO
d'i'lbtt»t<r
daos le, égliCes, ce qui doit les rendre m.l–
"mes.
~'i/1b"mat;on
s'en faite dans preCque tous les
tems
I
~
chez prefque tQus les peuples, ¡J.Vec plus ou
l:poin de pompe
&
de cérémooi.s_
.IN] ACULATION,
injom/otio; (lIfedecine
_) ter–
~e
dUIl! fe Cert V.ohell;n ont pom déligner une maladie
q ui coplille dans une douleur fpaCmodique violente de
I'eflomac . aecompagnée de I'immobilité du corp•. Ja,
mes,
D iO.
d~
Muucine.
IN]E'CTER, verbo aél.
(Anatom.)
c'efi la mélho–
de re re"1plir les v.ilfeaux des animaux avec uoe liqueur
colorée, qui Ce durci(limt, ,ient les vailfeaux diflendus
&
fermes,
&
lailTe la liberté d'en obCerver plus enae–
ment
1;>.
dinribution, la Citoatioo,
&
les diametres, de
déeouvrir le oombre de lems rnrniti=arions
&
de lellrs
aoallomoCes , qu'il ne' feroi, pas poffible d'.ppercevoir
faos ce moyen.
L . nature des iofirumens, eeHe des liqueurs dom on
fe teet pone les:
jn)elllo~$ ,
la maniere dont on veut fai–
re
l'tnJellifJn"
cono la Inanceuvre mt:me de
l'illl~élion,
fom aJllant
d'~rticles
cipnt
00
va dooner I'explication.
C'eO une découverre qui a beaucoup coolribué
a
éelair–
"ir I'économie animale. M alpighy
&
Glilfon re !bnt fer–
v i de Iiqueurs colorées,
mai~
S.wamerdam paroit etre
le premier qui ait employé une préparation de cire.
11
ajoule qu' i1 apprit eelte mélhode en
1666
a
Van-Horne
&
a
Hade; ce nc fut qu'en
[668
que GrMf tit graver
J:¡
figure des inOrumens dont
il
falloit Ce ferv ir,
&
qu'i1
déerivit tout ce merveilleux a,,¡tice . Mais RuyCch a
/ poulTé cer ar' r,i loin, que \es plus fav:ms hommes
Cont .
aum picios d'admiration gue leS plus ignorans,
ir
la vue
des prodiges qu'" opéré rqn iodullrie .
11
'.iCpit
une eCpe–
ce de
myller~
de Con Cecret; mais
:i
préCent Ie,s anato–
m!Ocs
Con~
CuffiCamment i,\l\rflits de la maniere de rem–
plrr les v3llfeallx.
L'inflrurnem dOn! 0'1 Ce: Ce"
ordin~irement
pour pouC–
fer la Iiqueur dans les vailreaf1x, en uoe fOrle Ceriogue
de cuivre,
dpor
le piQou eloit eOl1ler avec aiCance,
&
a
laquelle peovent
s'adapl~r différ~"s
\nyaux qu'on
Y
tixe
'par le moyeo d'une vis; les
'ex~émirés
de ces
tuyau~
..001 différens diametres ,
&
font- Can
s
vis,
atin
qu~i1~
,puiC–
Tent entrer dans d'autres tuyaux,
&
s'emboiter avee ep,x
.ti exaélomenr que pour
p~u
qu.'Q" les, force
\'U'l
eont~e
. I'autre, rien ne puilfe paffQ( tr¡tre ell,ll; ..
Mai~ ~aree
qlle
leur conéfion n'eL! ,pas
¡l~G'¿ fj:¡rt~
pqur
I'5licler
~
¡a.forGe
I ,N
J
av.ecla\luelle pn poulfe
I'injeélion,
&
qu'il eO
a
crain–
are \I\le ce Cecond tuyau ne COII repoulfé,
&
qlle la mll–
tie¡;c dI!
I'i"i~aioil
oc
s'échappe
&
ne faIT"e .ainfi lnan–
quer l'opér'lion;
I'extr~mi[é
du íeeond tuyan qui re"oit
celui quidl tixe tur la feringue, doit avoir une panie quar–
rée terminée devam
&
d",riere por
1111
cerele élevé ou
f.ill.11I
I
atin
d'empéche~
la e1é qui e,,:,braf\e érro iteme!,t
I'entre-aeu x de ces cereles ou la par!!e -q\larrée, de glrC–
fer; ou bien elle doit
~tre
goroie Je deax b,anohes de
cuivre,
alÍn
de pouvoir la cOtltonir avec dl!ult doigrs.
L'autre eurérnité de cetle e(pece de tuyau ell de dif–
fére\lre grolTeur,
&
il
Y
a 'vers celte extré miré une ho–
che on eotaillure qni Cert
a
arr~ter
un til; par le mo–
yen de cetre hoche, le til qlli lie ce vailfeau par lequel
00
doit faire P
in;cllion,
nc Caurait gliffcr :
outre
ceue
fo rme commune
a
tous les !Uyaux de l. (econde eCpe–
ce, on doit en avoir quclques uns qui foient plus lar–
~es
&
qui Coient
contigur~s
d'une autre maniere. pour
des oas
particuliers.
Par exemple,
(j
Po n veut
il1j~éler
les gros v.ailTeaux, le tuyau
auaen~
¡¡
un grand
vaifreaq
doir avoir uoe
valv111e
on un
robinct,
&
qU'Oll
puilfe touroer Celon le
~erojn
.pOllr empecher que
I'in:–
j~llion
ne forte du vai([ean par le tuyau; autrement Il
faut que celui qui fait
I'injeélion
atiende pOIlr retirer la
leringue que la m.tiere
injeéll.
Coit refrQidie; ou s'i\
rerire tr6p rOt la C.ringue,
I'ini,,?ion
s'éenapp",
&
les
gros
vaiOe.uxCe deCempl i(J'ent. LorCque la ferrngue n'ell
pas alfez grande pour contenir lOUte la malicre néceC–
Caire pour remplir les v;lilfeaux,
iI
faut la remplir lIne
Ceconde fois; 11
I'on éroit obligé pour cela de xetirer la
(eringue du tuyau "!taché au vaiOeau, il fe perdroit de
l'in;eOion ,
&
ce qui
re
raje
expofé
a
I'air Íe
refroidiroit
&
fe durciroir . Pour éviter ce"
illconvémens
il f3ut a.voir
quelques ruyaux qui aiem une bunehe courbe Coudé.
latéralernem,
&
uoe valvule diCpol(!e de maniere que la
liqucur ne puilfe pas palfer du tu yau droit daos le !Uyau
courbe, Illais qlli au contrairc la laiOe palTer du tuyau
courbe dans le tuyau drolt . Celui qui bit
I'i .Jeélion
'yam
alors Coin de tenir I'extrémilé du lUY'U courbe dans la
Ilqueur qui ('ert
iI
l'injeélio>,1 ,
peut allffi-t6t qu'il a de–
lempli la premiere Cerlnglle, la reruplir de oouvean en
tiunt
íeulerlJ~Qt
le pillon,
&
re'lréraot ceue manceuvre
avec diliuenee,
iI
Cera en état de pou,rer dans les valr–
reaux tQ';',t aUtanr de Iiqueur qu'il ell f.udra pour les
i>J-
. j eéler
parfaitemenr. Tous ces tlifférens tuyaux Com or–
dinairemeo.t f3its de cuivre jaune;' ils pcuveot néanmoil)$;
l'~t[e
de
tQUt
autre
tnétal, camme d'étaio,
&c.
Les Iiqueurs dollt on Ce fe" 10rC'lu'on a delfcin de
remplir les vailfc:lUx capillaires, fon, telles qu'elles peu–
vent fe rncler ou
av~c
l'e¡lll ou
avee
les liqueurs
graffes ;
les unes
&
les aUtres ont des
avant~ges
&
des inconvé–
oiens. TOlnes les d ifférerlles eCpeces de glues, comme
I~
colle de pailfon, la eol le forte,
&<.
dilfoutes
&
d¿~
layées dans
I'~u,
fe melent aiCémem
av~c
les Iiqueurs
contenues daos les vailfeaux de$ animaux,
c~
q<li eO un
grand avanlage; car elles. pénetrent ¡ulques dan. les plus
petirs vailTeaux d'un
fujc~
bieo c\loilr
&
bien préparé,
&;
Couvem elles
fuffiC~nt
pour répondre
~
I'imenlion de
1':1-
naromiOe, 10(Cqu'i1 n'a d',utre delftin que de préparer
quelque fine membrane , <loor les vailreaux Com Ci déliés,
qu'il n'eO pas pomblc de les 3?percevoir
~
la Vlle,
(j
les
Ceélioos tranCverCales de ces v.ilfcauI COn! circulaires, ou
Ci leurs parois
COIl!
affailTées. M al. 10rCqu'il faut a<lm
;nje..
'l~r
les
gros vaiffeau,X, ces
rortes
d·
;lIje{lions
OUt un
inconvéoienr f:l cneux ,
&
la pr_épar;ltion en eO ruoios Qti–
le
&
moins belle . En effct, Ci
I'on R'injeéle
\lu'une Ii–
queur gllltineuCe , il n'tO pas pollible de conferver un
Cujet .um long-tems qu'il en fam
~
la eolle pour
Cé–
eher
&
Ce
dur~ir; .
&
cornme en dilféq\\3nt la pactie
¡..-
j eélle,
iI
n'ell gucre pomble qu'on ne caupe pluCiem.
vaíCfC:lux,
l'injit1ion
s'épanchera .
Pour
~viter
oer.
¡ocon-.
vénient, {ln pourroit
a
la vérité tremper la partle
d~n$
l'eCprit de vin qui coagllleroit la eQlle
i
mais alo<$ ,elle
deviem Ci fragile, qll'elle fe calTo pour pe" qu'on la ma–
oie,
&
(j
1'0"
veut cOl1íCrver la preparatioo, les gros
vailfeaux Ce f\6chilfem prefque eotierement lorfque le.
parties aqueuCes de
I'injeélion
lbnt évaporées , On pour–
roit auffi prevenir I'épanehe;meot de
I'inj ,éliol'
en liant
exaétcrnem ch3que v.ilfeau avam que de lo: couper;
. mais cela n'empecho pas que les
v~ilfeauI
ne fe con-
traélent 10rCque la colle Ce delfecl1e.
SI
paur obvier
2.
ces inoonvél1lens, on cornrnencq
a
;"i~Otr
d'une
dilfolution de eolle ce qu'il en
f3u~
pour remplir
les va'lTeaux capilla/res,
&
que pour remplir enCui–
te les graods v;1.ilfeaux, on fe Cerve de
I'inieélion
gralTe. ordinaire,. la. cire n_e va pas fOrl laio Can- fe; eon–
geler, les deux fortes
d';"jelli0111
oe m.nquent Jamai.
de f<; '
Ul41c(
iué¡\l\lie~mCJlI;
dC;f$lfte que
·I~.
vairr:eaqlt
parolC-