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1 DO

Quand les capitaines romains

&

c~rthaginois

faifoient

un uaité, ils attefloient toutes les

divinit~s;

e'e(J en Icur

préCenee, diroient-ils, que nous jurons

lo

paix: or les fla –

tucs de rous ces dienx, dont le dénombrcment

~toir

treS

Ion.:, n'¿toir pas doos la tente des

~énérat1x;

ils regar–

doicnr les dieux eomme pré fens

aUX

aaions des hom –

mes, comme témoins, comme jugcs,

&

ce---n'é:oit pas

-atrur~ment

le limulacre qui eonflilUoit la diviniré.

De quel ceil voyoient - ils done les flarues de leurs

f.utres divinirés dans les temples? du

m~me

ocil, s'il

éroit permis de 5'

cxprimer

ainli, que naus voyolls ;es

irnages des vrais obJels de norre vénération. L 'erreur

-rome

V lll.

prHence

&:

de Icor proreB:ion deyenoic plos {acile

a

prendre. mai,

que ces dicDX

cctOlJrnoiene dans le, ftames

apnh

la fin du fiége

&

lor(qu'on le.

~voie

..('ai(é,: c'c(l ce 'Jui fait elire

a

Silíus haUcus:

nous avons apai(é la coJere de.. ho.bltan, du ciel , leuff clivinités

t'etournent:

pllfCAtn'm.s i'j1s ,aU,.IJjm,

,~d,

..

"t

ditl;,

Lampride par.

13m

de CCtte évoc.1rion:'l

dit:

on

;'1

vu dans

Jól

place les veAiges

de,

dicux qui fortoient :

tltJliJi4

tk"II'"

i"

f.r.

tJif4 r'Hlt

txtH"riN1JI;

cnfin %iphilin .:Ijo(\te ql.l'on

.:1

aum nouTé dans le cailicolc une

gunde qU.:Inticé dc veniges de. dieDx qDi ,'en :lUoient :

intltnt..

1"(lIllIt

f,.",

1'"

~"pjt./io

mult"

b

mlft-n4

tI~JU:i4

durllm txUd,nu'Nm,

Arnobíu. (liv,

V, )

dit '. que les geuttls faifoient enCore cene

.. ;'lurre répon(e; qu'on ne reg.udoit pa. comme des dicnx les ma–

.. (ieres d'or. d'argent &c, done oa formoit leurs

(bUJes;

mais

::

d~f:lté~o~~~c, d:~sC~~'IC:I~;~~e ~~it~ ~eé~~e:~inqD~~~ °l~:rrie:~'¿~

ti

(oit ,

$'y

inGnuoi:nt ,

&

Y

habitoielH immédlau:mem apre.s la dé.

H

dic,;¡ce .. ' Ec

L __

lhnce cn refueant les errCl1U de:s roligions pro·

b nes. p'lrlolne d'une de cc.t idoles. obrervc d· ...pres le, g<:ntils,

"lile

dans le cems qll'on fond

&

qu'on jeue en moule la

Il-.l~ue

&.

la

rc!rrtfcnt:uion de qudque faulre .Jiv iniré.

&,

lor(que le c;i(elcl1r en

perfelbonnc I'ouvrolgc , elle n'a <lucun C:lr:ll\:ere ,le Jivinhé , qu'en_

fin lor(qu'on

1"

(onde, lerfqu'on la couche p3r terre,

&:

qu'on la

rcmet (ur píed, elle o'cA: pas encore

UA

díeu, mais de, qu'clle ell:

orn~e .

eonr.1crl!e

&

\'énérée , elle cll alou un dieu:

dNnI fundi.

tur , !d."';''''Nr, !,tllpítur, .O"JII'" "tNS 1ft: ,lumbArllr,

tollfl~rnitur.

er":,'tHr , ""

" dh,"

¿tUI,ft..

IIr""'Hr. ,."/,,rllrHr.

eMlllr , ,.ftrtm.

d'HI

tft;

il

n'y aVOI[ plus alors de diffieulté

~

regarder la ltame

comme le dielll

mc.me,

parce que les gentils croyoient que la dé.

~~~i~:r~uO~?;:~~r~ole;u~~~re~n :::~~it~n'fe~~~:::t l~ ~;~~técl:ole

lor(qu'ils inferenc dan, leur" ouvraees la réponfe de edrc,

&:

cel_

le de. aucre:s apologiA:es payens, Si le lerleur daigne rc!ftéchir que

les premieu Cbrhien. pen(oient que

1('$

dé nons tcoient les vrais

hablfan. des {latues deJ faux dieux ,

&: .'¡¡

(e rappelle toutes les

hilloires qu'on en r.lppone,

iI

ne pourra s'empc:cher de reconnoi.

ue eomblen I'opinion que faí

~cbireie

devient plus lumineu(e ,

mS.o:rn~:;en~~~Jir;~s'~·

¡faf::t!

e~~o~ei~~rn~~

-

!~~I~~cc;tq!;?~::~11~~~::

S,

Paul la définit unc chofe qu i ne peut avoir ;lueUDe eX:l(lenee dolns

le mo.,de:

,,,''' ..

l

,ft

id,111m

..,.

mu"d.,

Les Perc:s donnent le nom

~'~~~I~:a~~i~'n~:rr~;irjé~::d~t;~n:o~ntre;~:~~

: d;rt

dl~n~oOI~tJ~~~~i~

adoroiCRt lel figurCJ des faulC dieux: , paree qu'¡¡s prétendoient que

ce.

pn!tenJues divinicé.

y

habitoient de

b.

m~niere

'1ue I'ame ell

"lon. le corps humain,

&:

que ces Ibtue. ,'imbiboient, pour ainG

dire, de la diviRiité: qD'ils

y

.:IJoroienc. on ne peUt les di(culper

de la ,ache d'ullc hJolltrie craffe;

jb

om ét!: d..:mc de vrai,

I~O.

Jttres, puirqu'ils renJoient un eDite divin aux: a.uues des leuII di_

vinicé"

Be

poi(qu'ils leur off'roient de l'e:neens

&.

des víttirne"

La plus grlonde pan ie de ces divinité$ n'avoit jarnais écé du nom_

bre de! hommc.t : mais elles etoíene le fruil

d~

¡'itD:1gin:uion

échof~

féc

$:

de la folle fancaifie des prclres. 011 I'efret de la po1i.tiqae

impíe de$ Monatques

Be

des couquérans ; ce qui ell encpre un n09-

ve3UX: litre 1,our autori(er

a

donner aulC gentil.

J~

nom d'idolllre.

(elon I'jdée que S, 1':101 nous en (ournit,

r aí parle ju(qlJ'ici de deox opinions (ur le euhe que les

~en.

tils rendoient aUlC ftatnes de leurs dieulC, je viens malOtCnant a 13

z.roíl'ieme qui dé(end l'idol:1crie des gentils mcmes dan. le (ens le

plus n.lturel,

&

dans taquelle on (ot\cient qU'Oll adoroit les ¡doles

ccrnmc é:rant des diellx,

&

qtte les figures

d~

m:lrbre, de bron.

%e . de bois &c, qui étoient expo(éc.t :111 culte Pllblic. écoicnt

re~

gardées commc! de. vraicS' divinicl:t! J'en rroduirai quelque! preu–

vcs que j'.1i titées principalernent de la (allne Ecriturc!, 00 lit __u

f~' ¿~;i;Ueerl'~:'O~~~u~l~ea!:e'qt,~~s :.~~~c;~" A;I~~~~ e:~(éq~'~1 ~~~~

d'or

:i

l'ador.ltÍon publique qu'on ne l'appella ras unt: ¡mage, ou

un (rmbols:. de 1a dlyinil(: , maj. qu'on le

r\~S.1fdól

comme un

H.1i

.tic:u , Dieu

]th#lJ:1 ,

O.1ns le ch, 18, des ¡uge, H eft parle! Jcs pl:lin.

tes faites par blich:\ de ce qu'on lui avoit volé les dicux qu'il

avoit fait faire pour lui mcme , Dan. le eh,

1,

du premier hvre

des Roi, on voit la delcription de Dagon

~

dieu des phI!¡nins, COrn–

me d' onc VI.tle idole , m3i. dont

iI

ne

rcll:~

plu, que le ttonc

Jor(Quc ¡':trcbe dl1

Scigne~r

fut pl.:lcée dcvant ce

pr~lendu

dieu .

&:

qu'alou ce peuple resuda l'alebl: m(!ml: comme un ...utre dicu.

mais un dien (ublunc

&

plus puilfant que leur dleu D3g,>n ,

~~~!~ d~:/'

&;t

1J.~r;ne

I

~!' 10n~ai;;1Sc~~~0~reeUlC~1%~ei~C~t:'c:¡'l=: (~~:

l'ouvrage de. mailu des hommes ,

&

qu'dle. n'ont aucune: lcnfi bi.

lit~,

ni .1ucun mouvcment _ Ces natues

¿se

ces ¡dole. , dit ce roi

prophece , ont de" ye:ux

«:

cependant, elles ne voyent p:u , elles

ont des oreille"

Be

elles n'encendene pas. elles 001 des molíns

&:

elle. ne peuvenc rien toucher , elles ont enlin de:. piés. IX elles

ne m:\tcbenc P3! , Maí" (.

'1.ns

parler da plul'ieuff aucte" lolltorités de

ce genre ,je recr.acerai (ous le. yeux du II:a:eur l"aceu(ation inten_

téc COntre S, Polul, mentionnée au chap, 19- des

All:es ,

ElJe

j

~toit fond~e

(ur ce q!lc cet Apotre en(eignoit que ce qu'on fabri_

que de! maiRl , ne peur jamai, écre une divinité k des dieux :

11" ,

{NII'

di; fui "'••;""' fiH""

On peut ajoúter

:t

tóllU

de rémoigna_

9:'

I~~g~~~ecrli~~;;u~~c c~~~a'ttrn~~'i~~~~~~~~"&dfor~~~~f$ej~~~n~;:~:

fiue Oicu cU: jnco y pore1 , Ce.

patTa~CI

(ont requ:iJli., dara le 1,

~

1 DO

n'éloir pas d'adorer un moreeau de bois ou de marbre •

m,is d'adorer une fall tre divinité repréCémé< par ce

~ois

&

par ce marbrc. La différcnce

cOlre

enx

&

n7

Jl1

n'eQ

pas qu'ils entrem des ¡mages ,

&

que nollS n' en 'yon.

point; qu'ils aient faie des prieres dev3nt des images ,

&

que nous n'en faifioos poio< : la ditférence

elt

que leUf.

images 6guro'ent des érres fontalliquc< dons une religiou

f.utre,

&

que les nOtees 6gllrenr des erres

réel~

dalls une

rehgion vérirable .

Q U1nd le eoníul Pline adreffe res prieres oux dieur

immortels . dans l'exorde du

pané~yrique

de T raJan , ce

n'di

pos

a

des imagos qu'il les adre([e; ceS ima¡;es o'é-

toleoc pos immortelles .

F

f f

2.

Ni

dan. le

1,

Jivre des,

~ogn~es th~o!oghJue~

du

p ,

yctau , Pour :tPim..

yer

mOl

(eeonde oplmon

}e

ne

Clleral

qu'ArnoblUs (e:ul, dnnc f3i

déja p...

rI~;

paree que dans (on premicr line contr(.: le.. genrils .

iI

3\1'olle qu'il a écé Iveuglé ju(qu·.

Ild'rtr

dtl

¿ flUX

'}JI'.n

" ...

ic

formE

fNr

¿t, tnclunltl.

&

"Vle

do mArttdHX.

&;.

qu'¡¡ 3voi

1

era

Te:

t

::ci:~:sée~¡;a,~~r::;mt:, .tlt~ ';~éh;:o~r:esd~ ;~~:~II,~":u:r~y~~~:~

fermeme:nl qlle les !tacues del J leux. é:toicnt vérit blement de! diel1x •

Les habitan! de Tyr ne Iicrem.i1s pas al'CC des

c~;¡ines

d'or le,

l1.tur.s d'Hcrcale afin Que ce

dl(~1l

oc

pdt p:I' la fu

EtC •

~

ne le.s

abandonns'

pa.!!

lorfqo' Alex3ndre fit le liége d¡: leur ville

1

Apre" le

fi~ge

de: Tarentc ,

on

demanda a Fabiu)

li

I"on de:voit menre par ...

mi le blltin le, namcs des dieu% PQur

1C5

emporrer avec le! alltres

dépouitles ; ce géntr'll répondi¡ qu'i1 (aUoie laifi"t:r aux Tarenrins

leues dienx couroucés,

,

1J

n'y

ól

~ucun

d?ute que les grcc, '" le. romains . n'ayene

parJ~

ave~

les (lacue, de leurs diculC comme

fi

elles avolene tré de

vroli~5

~~;~~i:~~~rl:n~~,r:;:~~i ~~i ~~ej!:itct(~~v~cr~a~~ ~er~e3~ ~~n~uea~~}~

O

1"'" ..

tug. (JI,cm ",.Ila ,iClllia

,""xir. JanUt

f~avoir

g;¡rder

fe"

c!paule. parce

qu'l'

étOlt bifront: cene prérogacive comrr.ent pou.

voit,elle appcrt:OIr

l

ce die:u finon que rcloluv<ment

a

(es Ilatues

1

croroit.i1 Jone, le

~'octe ,

que la O.uue

era

le diell Janus nléme;

t.<.

tclle étolt auffi 13 croyance des gencils 10rfqu'IIs

t

dans la primi.

tive Ee11(e ,

pr~(en(oient

.lux,

&1aff'yrs

des icloles .1fin qu'ils la aclo..

u

(fe

Rt ,

Le. répoofe. donnée. par ces

g~nérenx

ólthletes dll norn

chtetien. eonfirment encore la

v~ritl!

de cetle cro)'ance générale,

Je ne difconvlcns paj: ce:pcndant qlle la deuxle:me

~

la

Iroi–

fieme opinion, ne pUIJltnt fe cons:iller en(ernole en (..1parant le vul...

galre idol:hre, d'avec Ic:j p;\)'cns inltruiu

&.

~clolin!s,

Le premier

olLZ.

ra cru

qu~

ks Jivinic6s

5.:

¡c. íbmes n'étoll:nt qu'une feute

&.

méme

chofe: leli 'lutrcs allront

eonliJer~

les (latue, Comme aut.lnt

d'h,¡bua ...

~i,~O~I~~~~~~il:'l'~;:~~J~~%tall~h~~f:n~~~~ 'z:l~n~~i~"E~~~o¡\:~s :'~I~~

(e, (elon moi , d;;¡ns fon

VI.

li9re, ces tlcux opiniom (OUt cn/cm_

ble & le" rduce:;

iI

commcnce par inllruirt."

la popul:lce idolatre .

il leur apprend que: ces (tatues

'lUI

Icor inC"írem c .•nt de craince,

'" tOlnt

tic

re(pea nc

{l>nt

autre!: que des os , des ph:rres. du cuí...

~:I~ed~;~~r duJeplttrr:;enfi;"u~:~rl: I~~:r~ ,,~~tC;oldl~trl;~,:~: ~ff"J~ P:;,:~

ti" ,

.r4

flfnt, í,,&tntHm .

"~rll""

rtfttt. ,

Ir'g'.Hm

fUII'P'lftrJ

tX

Arto" ..

_,.t

co"'mí~tu",

IJPf';

lSt.

,'adrclf3nr enfune ;\

aCulo:

qui écolent

tlll

pcu

plus écl::utes

6C.

qui s'imaSIOOIe:nt que les J leUX .:Inimoient ces

ftatucs.

iI

tacbe de les convalllcrc

&

de les déu ompcr el! leur

dé.

mandane pourquoi tÍenne:n[-JI,

le.

(tacues de Icnes

4Ivil\it~s

enler.

mies (ou, de

li

gro{fes elef. ,

&.

aveC des barreaulo:. ¡Jet ven'oUlI".

&

des cadenacs ú'une grand$!ur fi enorme, des qu'i(s

{om

I)erlíl.t...

dés que leuu divinict's (om vi"v.tnte,

&

animées d'ln!í ces méroetl

figures !

ji

4f ert,.m vob¡'

tft

,'"

jigl1.rHm tli/uribHI

dtls 'U;vr,t ,

m,.

tll

{H"

'Ul1ljdiJFm"~

c/1lt1.6ul,

ilJgmtl/¡Hf,,"t

fu' r/AII¡I,js . fub "/A.

, ..lis, ptffulls

!J4"rris

mclufoll

Je me R.lle d'aVOlf cxpo(c: 1:1 \'éritable idc!e qu'on doit avoir de

I'idolatric des gentils: e:¡¡:afUinQns

m;¡jnl~nanc

en peu de mou It's

rai(on. qu'on apporrc d3ns cet óluicJc pour rrouve:r le conrrairc ,

Elles (OJlt fondees rur cc que le mot idol!ute ne le ttouVe ni ttans

Homer~,

Di dan.! Hdiode, ni méme d:ms Hcrodtne: la reronce s'an.

nonce d'eJle mt:me

::se

elle en loute naturelle

~

c'en parce que ce

gens_la ne croyoient pas que les imolgcs de leun dlcux

Jnl1c:nr

de

fimpl~

h{oles . maí.

p~rce

qu'íls étoie:nc

~'erfu:tdc:s

qll'clles

~[olcnt

de vr,'\ie$ divinicés , Les capicaines rpm:lins

&

c.3rthaglllois pretloicnt

tot\jours le" dieux pour témoins de

I~urs

u ,lités, paree

qn'lr~

(e pt'r.

(uadoíent que les dieux \'oyoicnt les adion' hnmaine• •

0 11

(lirelle..

ment polr

.U1:

rocmes, cOlOme

Ii

en di t d:tns HomcrC

&

dolns Vir_

glle» ou par le moyeR de Icun dicllx fub,llt<rncs,

tcl

pOlr l'.emplc

que Mereure en répré(el1té Jans Ovule.

IX.

lelle qu'cO l'éroile Ar...

turns dont pode l'IOlUte dans le prologut: du

7\!ldtnl .

Je pourrois en...

COte réponJrc que les écendaru des legíons tpmalOcs qu'on expo...

fOlt en la prHence des

g~néraux

de Rome paycnnc , n'':roient ["ot

re(pe8.é,

&

n'écoienc reg'lrdés commc de. chofe, f'3cdcs que pMce

<¡u'on y voyoiet répréfi:ntées de:, ¡Joles : je parle d'npre, le cémoi...

snage de l'line l'nnden : je dlr3i plus; Sut:tonc:

&.

Hétodit:n ;me_

Ilent que les peUI\le. barb3rcs 3dorolent ces éccndnru. comme

jI"

raeontent oie I'avoír f.1it le roí Auab:ln , Mais

a

~lIoi

bon J';tller

plus ólV.3nt (nr do "areilles reehcrches des que l'on

{aH

que les payens

~!:oiene

per(uadés que leurs principaux dieux polfe:doient

(ouverain~

...

ment la (clence de tolltes las .:lffiaires tcrrenres;

&.

que c'cO: pour

cela qu'ils leur adroilroiem de' prier"

!c.

qu'ils les invoquoient.

comroe faie En6e da", Virgile,

&

Ovide lui meme d'305 le: com_

mencement de Ces mc!(hamorphofcs! les oraceu",

l\C

nOtolmmon t ei.

~:r~"e~~, ~~I:~, Ifor~~i:~i~;;s~e !cr~:g~~~q~~isded:r~~~~~i~~eli,r~~!

dieux habhoient tout l..la_fo"

&.

dans l'olimpc

&:

dans leurs !latue••

Boular.ger, VoRilla ,

\V.tn

·

Oale.

&

cant d'atttrel autt:uu en tOllrni(.

fene des preuves. pour __inli dire.

a

cha9ue p__ge,

Be.

nOUt paroi(.

(op," (urpeis de ce que l'auteur de ce, arude n'cn {oit pas informé;

dilon. méme

&:.

3vouons qu'il (eint de I'isnorer, pui(ql1'il a":lnce

quc

"i

¡t'

d,rn;us 'uus du

P~z"",'[mt .

",'

(1/

pluJ ruulu

,,'oJfrtnt

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fl"'ff~ f"rr~

'endUre qu'on "

d.rá,

retl/tmt'" u,,.

id,le

,

Le leaeor eA: IDaíntcnant en éfrac de

d~ej.Jer

El eette r ropoñ–

cien cft: l'rólic 0\1 t2a(fc,

(..A)