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1

eH

o'ell alrt chofe qo'oDe noo"elle c!d't'oo de Johollon.

Salv

2n1 (

H ppol.i¡i )

"i"a,!li.",

~tjI,",a.

Roma: •

H'f,

1

H'IJ,

110 m.

(al. tíg.

.,,,J.

édwoo aoiqoe,

me

&.

précieur".

_ Seh .cnveld ( Icphan i)

Itb,">o/ol;a.

Ham!>.

1614,

In_~o.

.

chwencf~ldí ~

Garpari)

TbU>-¡~tr.pbtl"m

J.ji"

,.

L i–

gnll.

,603,

ID--t •

eln ( Ibcru)

7b,[""ntl rtrll'" "I1/(I(Tal,"",.

Amllel.

17>4.

4

vol. fa l.

H"x. "b, "0""1'1/4

pí[uS,u

,X"U".

!)ev"r nus

(M

re. Aurel.)

D.

r.[p,r"".". pi{r,.m,

Neaooti

.6r9,

io-fol. Amllel.

1661,

fol. eJil.

"lt.

Iblnldi ( Robeni ,)

du\s

fa

[toliá illl,ft,a'a.

Edinb.

J68~ ,

fol.

6g.

SydCt:l

<

M:lIeellos,)

ti.

T.mdiil

ex

piJei/".,;

Grzee

fUm melrld vcrlion . LUler. apud Morellom,

Jf9J ,

¡n-8°.

rare.

ValcnlÍni (M ichael Bernardus.)

Ampbitbtalrum

z.••-

t.",hllm.

Fr.ncof.

1710,

fol. fig.

inccnlÍi (Bellovaeen"s.)

pe,u/I/m ""'IlTal•.

DlUci

J

604,

lul.

4

vnl.

l b, qlltltlam

,"

pi[n/,,".

W illughby (Francifci,)

Htjlo,ia p,[ciltm.

O xonii

r686, fnl. fig. C'ell une e!dilion donne!e par Ray, qui

• revO, currige!

&.

. ugmeOlé ce bel ouvrage.

W olton (Edward.)

J(

Jif!4rnttiilll"im(di"m,

lib.

x.

LUlclÍe aoud VaCeoCall,

1H2,

in-fol.

(D.

J.)

ICH I HYOMi\NT IE , f. f.

(ATI.

4''IIi1ldt,)

eCpece

de divin'lion qui Ce liroir en eonlide!raOl les eotrailles

des poiLf<>ns. On faiCoil Cur ces snim30x

a

peu pres les

memes obrervalions , que

1'00

avoir cuolume de faire

fur les autres

via:m~

.

Tir~li.s

&.

Polydamas y recnu–

rurenl daos le Icms de la guerre de Troye. Pline ,

1,–

TIre

xxxi" chapo ii

rappone qu'a M yr. en L ycie, on

jouoi! de la Ilute . ,roi rcpriCes , pour falle apprQcher

les poilTons de la fQ!)taine d' ¡\ pollon , appellée

ellriM';

que ces poi/lons

nc

manquoienr pas de venir

i

que lan–

IÓI

lis

de!voroicm

la

viaude qu'on Icor Jetloil , ce que

les

eonlÍll rans

prer¡Qi~11I

en bonne pan;

&

que lamÓt

ils la méprirnicnt

(lc

la

repoom,ienr oycc leur qoeue, e(

'1u'on re¡:ald"il comme

un

préCage funelle.

!ebtby•••-

llf.''''tt~

71t

UII

lCfllle~ormc!

de

',•

.,út

1

poiffOn

,

&

de

",_HU",

J"

,nal'fln

( D .

-t ,

1 1. HTHYOP~·

RES,

C.

f.

(Hifl. "al. [off. )

pierees

qu! portent cmprelO1C de poiLf<>n .

Voy.l'arllCl~

PIERRE .

ICl-l fHYOPl-I GES,

(Glog. ""e.)

c'ella-dire,

mangour; de pui/fons;

1<$

aneie'1~

0111 'lil](Í nnmmé piu.'

lieurs nalions, dout 1I

ignoroicnr

1<

vrais noms,

&.

favoiem Ceulemcnr qu'clles hablloíen\ au bord de l¡t mer,

&

qu'elles vivuient

princiP1lI~lllent

de l.

p~che .

P tolo–

méc trouVe des

l , hlhyo'pb"j((1

dans

I~

Chine; Agalhnr–

chlde en place vers la Gtrm.oie

&.

la

G édro(jc; Pau–

faoias n

d~crit

(ur la mer R ouJlc

¡

&.

Plmc en peuple

plulicurs íles

:l

l'oricl1I

\je

l

'A.ra

ie !)emeur•. C'i!n

d i

a/le1. our faire vol. que celle dénumirialioo généClle ,

donn e par le ancie{ls

a

lanl de pClIples ditférens, prouvc

qu'ils ne les connl)ifl oient poím.

(D

'J.)

11.HTHYS,

(Ilifl.

e<cII/i"[liq.)

fJmcuCe acrolliche

de la liyblllc

E

rY'r~c .

donl porlcm

E

urene

&

fa'nt i\ u–

gullill, daos laquelk ks prfmitres lcures de

ehaqu~

ver

S

fOrmolclU

1~~

lnpts

de

hlf'ov"

y,ro,

3..

ii

&i,.~

J:OJ'T.'

1

e'en -

dire ,

ItJul-ChrrJI

fi"

Jt

D '<I'

J,III

'ti",

dOlll le Ict–

tre iniuales en grec 10m

I&~U'.,

SlIppllmrm

de

e

ham–

beTI.

I C H

T

H

Y P

E' R

1

E , f. m.

( Hifl.

da

Fofliltl.)

le

D .

H ,II a donnc! le llom

d't<h~hypITi" ,

ieh.hypa [a,

aUl

paloi ulfeu des poj(fon , '1u'oo trouye [réquem–

f)1CI1l

fql!i\~~ ,

:l

une grande pro(ondcur en lerte,

&.

en·

fev Ii d'ordill3irc dans des Ii!S pierreul . M. L hllyd les

a

nommés

/i(Ít¡uajl'.,

,

a

ClluCe de leur rerTemblance dans

cel élQ!

A

QcS,

Iillqoes, ou · goulles de lupin ,

&.

aotres

plantes légumlOcl\Ccs . .

C 'eO cClIe relrombJance qoi a fail eroir.

a

plu (ieurs

nalUrolifl s, que C'élOit des [" mle qui pruvenoienr des

vélléraux

d~ns

leur premicre origine, mnis ce Conl ol\i–

quemem d cou verlllres otreute des difl"érenros parties

de la bOl\ehe de poinoll cnrtila .ineul ,

&

p<:Ul·~trO

d'au–

tres clpeces, dollt la principale llullrrilure. ayant élé de

eoquilla~e,

1

O"

p31~i

o/feux leur convonoit pour les

pouvolr br!(er

t

en

<(fet \. les

icbth)'pfrir~

Coot pour la.

phl .rt c,,"clreUlen! déchtrés ou arrondis.

n les trOUVe qudquefois dans leur éla\ fomle, en

tu<

Jvim cnCemble, lels qu'ils él iem dans. la bouehe

d~

poirTon; cependan\ i1s paroirTenr commun¿ment eo

plCCes

<n frngmcns.

11

fOnt tou de la (ubllanee des crapaudines

&.

de

cenl

tigure~

différentes, conformémelll aUl diverCes efpe·

e de ,pol\1<?os, ou oux dilféremcs partics de la bouehe

du polrTon.

lel

399

Le

plos grand nombre re/lemble de figure

2

voe de–

mi·goul/e de lopin,

i

uo poís,

00

2

one

fi

ve

J<

011-

nís;

mili

coorts, I riles, les SUtres loogs

~nñle!s

,

bolfelés, cintrés , app . , crochus ; un eX," mile! ,

rtocox, rhomb"idcS ,

lriaogola.Ks,

eo uo mut

O

10U-

I~S

Co

de for mes

&

de gn,ndeurs.

11

en

a .t. .

on dixiemc de ponee JoCqu'l deux pooces de long

&

un pouee de Iarge ; les uns lilles

&.

polis, d'autre 11. io! ,

cannele!s,

d'"uues IOUI couverts de luboeol ;

lene

couleur o'ell

pas

moios variée, 00

ea

voit de bruns ,

de fauves, de noidtre., de nO!lS, de "Gros ,

el

bl us,

de

Jaun~tres,

de blaochhrcs, eofio de llIehaés de

d,ver–

fes couleurs.

On 1C5

trOUYC

tnfouis dans diffe!rens

IiIS

p'ierrnll, en

AlltlIll1gne , en Fraoce, en lulie, dln le> 11"" de I'Ar–

ehipel, en yrie,

&.

plus frc!quemmem eo "'ogl ter.e que

par-loUl ailleurs; ear

iI

ell peu de carricres de plerr<s d.e

ce f>2ys-13 qui o'en foumi/fenr lu> ou

mojo

/.-.J'~

I'Hl-

1I0tle d.s foffiles , e!crile par M. H ill,en .nglo;'.(

D .] )

ICI, 3dv. de lieo, (

Gramm.)

il déliglle, I'end'''!l

ou

I'on

.11;

mai

iI

comprend one ce.l'I1ine e!teodue qm

V3-

rie.

Celui

~oi

emre daos uoe maif<m

&

qui demande

du mallCe s il eO

Í<;,

I'adverbc

rei

complend I'élcndue

d~

la maiClO . En

chanl¡~nt

l. qucllioo, on eun evra

par la ré¡)OnCe que I'adverbe

ici

peot comprtn<lrc l'éleD.–

doe d'uoe ville; mais je De cononis .ucun

cas

ou 1I

puilfe de!ligner uoe provinee, un. ues-I\ronde comré.e;

Je ne eroi pas qu'un /10mme qui le.oit aux tles,

dl~e

d'on aUlr. qu'll ell

ici.

1I re!pétcroil le mor

il."

ou 11

chan>:eroil Ca

fa~on

de p.rler.

ICICI\R II3.-\,

r.

f)1 .

(Botan. tXOI. )

e'tll l'arbre qui

fOllm!t 13 réline 61émi d' -\ me!rique , Cllr I'ubre d'ou

M–

coule le vmi élémi d'Elhiopie , ell I'olivler d' Egypr aL–

fe~

Cemblablc

:1

ceUI de

b

í>ouille,

L

íciel/,ib"

el1 caraaerife! par Ray ,

aTbor B ,ajilit" –

jil, (o/iú pi""ali"

f/4"t

IIlil vtrtirilllltil, [milll oliv..·

ji–

~MrtÍ

&

",ag",tttJi,"

,

hill .

~.

I

f46,

<;'cll .

le

P""'."S

JavanÍ(o, atripli('1 folih ctll1flftelin, ..

kakout9.

¡a-Vallll .

Hon 8e1um.

3f.

PT""i[rra [agojimrlil, eX

,in[M/~ Bllrba~

d.1Ifi,

Plukell

Itnal(.

306.

/lr"or tX [lIr",,,ma , "'YTt.

lall"'" [.Iiil,

13r.eyn Prodrom.

2.

19.

K

al¡

\1

ria ,

"'yrabola–

""1

Z'Yla"íca,

ticrman. M\lC 2eylan

~8,

f.:;'e.

e'erl

1\11

grand arbre qui s' éle"e

&

vlcm

c~mme

le

hetre, fun trune ccpendanr o'ell pas fOl r gros ;

lClII.

écur–

ce eU lirTe

&

cendrée; f<s feuilles f<lor

~ulllp'olées

de

deux

&

quelqucfois de trois paires de

pelil~s

feuilles , ler–

miné.s

a

l'cll,émité par une feole,

fcmolabl~

:1

~elle

du poirier , I('n-ue <le Iro¡s duij(IS, fil1lllant eo pOlOle ,

épallfe comme du parchemin, d'ul\ ve.<I l\"i

&.

IUICaol .

~lIes

0 01

une ellle qui les

parta~e

daos

I~Ule

Icur lon–

g"eur ,

&.

des nervures qui s'ércndent obhquemelll.

V

trs In baCe des feuilles comporées,

Cqrt~nr

pluticurs

perites tleur ramdfées ep grappes 011

p~

dnn:"ux; e1!es

C" nr fon pelires,

3

quatre pélales verds , el] torme d é–

loile, bordées d'une ligne blanche; le milicq de la lIeur

ell occupe! par qucl'10es perite, é13mioes ¡3unilres.

Quand les fleors Com IOmbées, il leur

rucc~dc

des

fruÍls de la grolTeur

&

de

la

figure d'ull<; oliye,

&

do:

la couleur de la grenade. lis renferment une pulpe qUI

a la mc!me odclIr que la ré(j ne de cet arbre; ear " \'on

fair le foir uue incilion

3

1'6eoIce,

iI

en découle pen–

danr la nuit une réline tres-odorante, ayant l'ode'" de

Fanis nOl1vellern,em écraCé,

&.

que I','n

peu~

reeucillir le

lendemain. CClle ré""e a la eonti llallcc de la manne ,

ell d'une aoulcu r velle un peu Jaunill,e .

&

Ce maoio ai–

fe!mem.

VO)"%

Con allic\e . i I'on prelfe un peu fOrle–

mcnr I'c!corce cxtéricure de

I'"i,a,iba

Cans I'.'uvm ,

el–

le donne par la Ceule premoo une odcur

~lh!l.

vive.

( D.

J.)

• ICl'Q IENS ,

QII

D O MESTIQUES, fubll.

m:

pI.

(MJlholuX.)'

il Ce diloit des dleus lares ou

p~nales.

Ser–

vius en fait des freres. Ce mot vicm de

....

t ... ,

déri–

vd de

.TIlU" ,

maifon.

ICONDRE,

(Glog. )

pelil pays d'Afriql1C<

dao~

I'lle

de

M.da

~aCear.

11

eO

o","rueu~,

(ellile en bo)" "Ianta–

ges

&

palUra~es ,

par la hameur de

H.

30.

( D,.

J. )

ICONE ,

(GloJ(. ane.).

ancienne vllle de la C.ppa–

doce, dans le

dép~Clemem

de

la L ycannie .. lelon Pro–

lomée: traban , comomporain. d' Augulle

oc

de Tibo–

re, en parle

lib..

X II.

p.

)86. eomme d'une

p~lite.

vil–

le, mais bien baIle

i

elle 'a.

.;~mndil

talls dume peu de

lems apres; car oous IiCons dan les ades des I\I'Ó–

tres,

eb"p. xiv.

'11.

J.

18. ro. qu'il

y

avoil

:1

/.0»'

une

grande multilude de

J

"ifs

&

de Grecs .

11

ell eneore

quellion de celle ville dan les mt?me aaes des A

r()–

trC ,

ehap_ xitj.

TI.

fl.

tbap. x vj. v.

2 .

&

d.ns

la .

a

T imOlhle,

rhap. iij.

ti.

l .

Toul cela , '. ceorde a"ee le

témoignage de Plioe,

/;'11.

¡;r.

eh"p.

xxvij.

qui dil que

de