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I

HYD

tr. foo iofoGun i-Ul"ers des

lOiles

dalees

de grolTes

,; olfcs de laine, on

11

bUre écl:útdr pu

le

repos pen–

daOl uoe Duit en

ttt,

&

peo am vingt-qUltee heures eo

niver ;

il

la f"it tvaporer enfuite

!I.u

des slliettc. de ""–

ycnce

:i

13 cR.leor du "'.Idl

~

ou :.

cel.le

du

b:l~u

_de v -

pellC.:

iI

rejeue comme munJe

110

ftdunem qUl le p,t–

apite lorfque la liqucur eO év.porée

i

pea-prc•• O1oi–

lit; la liqoC\!r dtC3mte

&

':vaporée for une SUtre .(–

fieue, donoe le produi, le pIes p"f:¡u.

M. le C: D . L . G. trúe p3r ce procédé les végé–

out ,

tes

!ll1imaUI

&

le

minéraUI-

prt,enrions de cernins chimines for les fels

mt–

u Jliqees 10m trOP joflelD.m eomelUes, pour que cclles

de M . de la G.r3 ye for les produits re,iré de ces fub–

ilances par (a méthode, ne reRellt encare

8U

mains

"U

rang des problemes chim,ques ,

&

ne méri,ent on

eIBmen llltérieur de la pan des m.ltecs de I'ut . La tri–

-tur"ioo des fobflances miné"le. f.lines en opere bien

rtellemem la dirrolution parfJi,e; !11lIis it ne ""Ut P's

tam de

myfl'"

pour dilroudre le vitriol ou 1',Iun

~ar

exemple _

La

cr~me

de tartre

&

le

verre d'anumOloe

long-Iems trimrés enfemble

&

i\

¡(rande eJO, dai veOl le

eombiner en panie faus la forme de mnre Ilibié , mai.

e'efl un ma yen trcs·loog

&

trcs-inutite de compa(er ce

remede; la lon¡¡ue trltura,ion du foufre pea, étee un

010 -

yeu d'obtenir des connoirr.nces oouvelles fur ce corp

devenu

Ji

iOltrerram)

¡tlr

la !hé ríe limpie

&

lumincuCe

que 5th,I a donné de fa minian . M ais certaillemellt ri_n

n'efl

in

ins démomré par les expériences de M. le C.

D.

L . G. que fon fel de fouvre.

La trilOralion avec I'eau n'estrai, des viperes

&

de la

carne de cerf, que M . le C. D . L . G_ a donllés feuls

pour exell'lple, qu'ulle CubUnnce géla"neu(e qui, deC–

fechée fur les affienes, approche de

I'~ta!

de calle, au

de l.ble"es de vande ou de bouillon ,

'Voyn

ALIMEST,

&.

qui ne fourn irrallt aUCllne des commodités de ceue

derlliere

prép.ra

!ion, n'ell qu'un préCem Ires-inutile de la

,rituration;

&

cermillemen! plus impropremen! encare

q U3lifié du ,ilre de (el que le eltra", mémlliques.

M ais les produi,s de

la

trituration exéeutée fur les mi–

néraox

&.

fur les animaux,

COII'

i\

peioe eOI1Ous; les eI–

périences de M . le C. D . L . G . o'om p1<

m~me

é,é

répétées, do-maios dans la vOe de les employer ;\ la

prépuation de nouveallx remedes. On a regardé avee–

raiCa n «!te partie des travaux de I'auteur comme dae

:'i

I'opioion qU'11 a

con~ue

de

1'lInivu!a/itl

de fa mt'hodc,

de Con

diUalv.nt,

de Ca nouvelle chimie . L es manreu –

Vres les plus

partim/i<ro

n¿es hars du fein des arts, ou

renoovellécs, ou appliquées :\

quel~ue

ufage nouveau,

p1roilTcnt ,o(\jours :\ des auteurs Cms principes devoir

chaoger la face de I'art a·'quel elle tiennem, delfoir Cup–

pléer

i

toutt!s

tes

ancicnnes retr: urces, en un mot,

cr~cr

un art nouve'". Les tels errenriels de la Garaye, qui

om été dillribllés dans le public k qui (Ont au nombre

des médicamclls des nouvellcs pharmaeopées, font re–

tirés des végér.lUx . Pour peo qu'on foit verli! daos les

connoi,raneos ehimiques. on s'appercevrn fur le champ

q ue ceS prétendus fels e/Temicls

n~

Com préci(émem

&

• la leure que de< enrai". C'en ainli que les qualifie

avee raiCrm M. Geolfroy le cade" daos un

JllImoi"

q u'il

a eompafé (u r ce fuje" qui fe trOIlVC parmi ceox de

I'aoadémie, de ces _derniercs années,

& ;\

la fin de la

chim;e

bydraN/ir"',

imprimée :\ Paris

che~

C:oign3fd

r 74j'. Le

r~fumé

du jugemellt de M. Geolfroy fur eme

prépBrn,ion pharmaceutique, qu'¡¡ dannc

lui-m~me

a

l.

fin de (on mémoire d i celui-ei : " L e fel elf.",i.l, pr¿–

" paré feloo la mé,hode de M. le comte de la G araye ,

" n'en poinr un

r.1

erretltiel, mais un extrai, Cec

&

bien

" fait,

&

on peut avoir par infuril)n .... .. des ettrai,s

" auffi

rors

&

3Um parfaits que par f. machine". En

clfet, I'infufion ménagée par le< gens de I'art ell bien

phlS eilica«, n'efl ni li cmbarrnrran'e, ni

Ji

difpendleuH:

<¡uc la tritura,ian,

&

elle faurOl' dos remedes qui re–

tlennen< les vertus des IUbnanoes dont i1s fo nr retirés

tout 3uffi pen alté,ées, qu'elJe. le Com dans les remedes

préparés par la trituradon. Au refle, il ne faut pos ou–

bJier qulon De peot ab,enir ni par I'une, ni par I'autre

m t,hode, qoe les Cubllanees végétales Colubles par

I'~ao

;

que e'efl uoe pré,enrian ehimériqoe de vouloir en «ti–

rer par ce menflrue ks partieS rétiucufes

&.

huileuCes,

les faufres , comme s'exprime M. le C. D . L . G.

&

par eooCéqueot tous les principes medicamenreux des

végétaux.

(b)

ti)

11 Y a ea Hoi.

tlCJI

de ce ftom. une d.3D' b mer

M~ditcrnn~e

proche c!e Cnt¡ge (eloa

Eticn.ne.

de

By(aocc: ; ool aaue d.aas

la

HYD

HYDRE ne: L ERSE,

( 1I

o'

.)

m

nft«

lpODI"an–

t

le, né de T 'pboo

&

d'Ec

'00 ,

dit Héliode.

Plrmi les t.1meux travlux d'He-reole, b f:a.ble nau.

vame l. dti1ite de l'

hwiu,

ce (erpen, m nr!ruCOl qui

f.i–

loit

00

rava e tpouvanub'e dIns les nm

I(oes, -

foc

les " o0l'-...ox des m

rais

de Lerne .

Les

po;;t OD!

re

nt

qu'¡¡ ovo , un grand nombre de

t~te;,

&

qu'on n'en

-

ayo"~

p1S

phj¡(~, cou~

une, qo'jt en «najlToit plurieurs

a'ures· Hercule, ajou,em-il', paur ,srir I Cource de

cetre itcondité, ne trOUvn pl d'

O!~

moyens que d'ap–

pli ucr le fro

~

ell.que

,~,t

qo'i1 .barroi, .

etre

hy:lre

i

plulieurs tetc ,

fuiv.ot

no M y,h.)lo–

gUt., n'é,oit autre ch le .qu'one mul¡;,ude d. ferpcns

qui infe' aienr les m.r.ú de Lerne proche de Iycc:

ne,

&.

qui fembloicnt multiplier

ii

meCore qu'oo les dé–

truiCoi,. H ercole, avec l' ,de de quelques-uns de Ces

compagoons, en purga le pay\, en mermnr le feu

'U1[.

ro(elux du marai. qui étoit la releaae de

Cl'S

reptile ;

enfuite il derrecha ce marais par d canoux qni fodli–

te«nt I'écoulemenr de

"UI,

&.

rendir ·Dt le terteio d'un

b'l1 rapJ>ort _

( D.

J .)

et)

, H Y O R

1'::'

L

E"

O N ,

r.

m. e

Phmn.)

huile com–

m une

&.

c:m banues eofemble _ Ce medicomcnr pri par

la bnuche, excite le vom,Oement. en topique; il eft

anodin

&

fuppurarif.

HYORENTEROCELE,

r.

f.

'mn,

J,

Chir•

.-gi, .

hernie ou 'umellr

oeea{jnnn~c

par la deCecnre des Ime–

llins avee des eaox dans le fer"mm .

VI)"::'

·HI!R

"lE _

Ce

moe

I!O

compor~

d\..

I'."

tall;

""."',

¡III41;II;

&–

""A"

~

tllmtNr .

C 'eil une maladie eompliquée: "hernie doi,

~tre

rl–

dnite

&

contenue par un brayer, I'hydr cele doit

~tre

traitée • part : dans un cas poreil , s'il s'a¡¡irroi, de faire

la ponalon avee le trocart , le chirurglen ne pourroit

apporrer trop d'anemion pour tvi,er l. piqare du Cae

hern;"ie

&

celle do teflieule.

Voya:

HYDROCE LE.

(r)

HYORI A, e

Amir.)

vaCe pereé de ,ous e6tés, qui

cc?ré(entoit le dieo des caux

che~

les anciens Egyptiens,

Les

pr~tres

le rempJirroient d'cau

~

certaills JOurs, I'or–

noiem avee magnificenee,

&

le pofoie", cnCuite Cur une

cfpece de théatre publie: aloes, dit Vi,ruve, tout l.

m onde fe pronernoit devaor le vafe

d

le. mains éleYele.

vers le cie!,

rendroit gr3ce aux ieux des bien. que

cer élément

I.ur

proeurolt; mais eetre eérémonie <!toit

oécerraire chC1. un pellple, dOn! I'cau coopée por une

infillité de canaUI faifoi, la

ric~eJ[e,

dOllt le Nil ferti–

lifoi, les rerres,

&

doot anope étoit un des prineipau.

dieux,

Vo}'n

CANOPE.

( D.

1.)

HYORIEPHORE ,

r.

f.

pI.

eA"lÍr.

gWI.)

';1/,.–

~',~l

,

nom qu\)n donnoit che'l. les i\théniens

3UX

fem–

mes des élran¡!ers qui réridoiem

a

Athcne ; on les I p–

pell. de ce nom, eomme ét.m abligées de POrter del

eruches d'e.u dans la praceffion des Panathénées .

Voya.

Poner .

Arch",./, gr",c.

f.

/ .

p.

,.6.

&

4't. Ce

mOl

dl

comparé de

úI."

eu ,

&

.1/.,

je

por".

e

D .

1.)

HrDR INUS LAPIS, CHifl.

"At. )

quelques au'ell'–

fe

Co",

fervi de ce nam , pour déGgner la

picr"

tk

foro

pnll,

ou

I'uphit t .

HYOROBELE,

r.

f.

tu""

a.

Chirltrgi"

ruméfo–

a ion de la fur-pcau du fcrotum, csufée par der humeues

aqueuCes. C'eR une crdcme des bourfes qui rend l. pcall

IiIre

&.

luifante; I'impreffion du duig'

r.Re

Cur la tu–

meur poor peu qu'on I'y appuie. La verge devicnt fou–

vem redématC<lCe par le plosres de I'infiltrarion,

&

alon

clle reprérenre une colone tarfe .

Ceue maladie efl

arre~

fa miliere aux

cnf.ns

nouvcauro

nés,

&.

elle cede ardin.iremem • I'applioation d•• reme–

aflrin~cns

ou difcuffif,. Les comprcrres trempé••

dans l. vin

rou~e,

chaud, dans lequel

00

a fa't b uil–

lir des rofes de Provins: I'cau de chaux limpIe, ou "ni–

mée d'un peu d'eau-de-vie, fu llifem po"r réfc udre la

turneur aqueo!". fuper fi cielle du fcromm; le catapl.fme

de tétcs de parc:lUl cuites daos l. vin

bl.ne,

eR un re–

mede éprauvé dons ces fortes de cas. D ans les adulte.

on

I'h ydrob,/.

en un fymp,om.

&.

un .ccidenr de I'hy'

dropitie afáe, ou une maladie clTenrielle cauCée par la

dillicolté du eourS de fang dans des parties .rrel. tloi–

gnées du grond torrenr de la circularion, les remede.

que oous \'enoos d'indiquer ne futEfem pas; il f3ut faire

de légeres moucheNres

a

la Cur-peau, pour proeurer le

dégorgemem des pa.rties IUmé6ées; on applique enCuite

Cur la partie des camprelTos trempée, dans I'cau-de· vie

c.mph,ée tiede , Ces mouehetutes daioem

~tre

faite$

2VCC

mes Adri:atiqoc. PomponitlJ Idela ene: parle ; Qne

¡unte c-bn la

polope.t l'huor-an . lIyJre

eft.

agffi

l1D4

VilIe.

!e

un

promoftcoi¡e.

cnue loIyril1c

~

l'boclc .

( h )