HYD
o .
O n rtmplifi"o'l d'eto one rafi"e ,
00
on l orre
1-
fe ,
lr
apres
ovo'r prnnoneé d
,Tos
ce"l'nes paroles.,
on e I m'no'l fi I'eao booíllonneroil ,
lr
fe rép, ndron
par-defi"D les bords.
o. On menOl1 de
1'<10
dans un baffin de verre . 00
de erylbl , pois on y jenoit une g.>uue d'huile ,
&
1'011
s';msxinoil voir
d~u
cene
n o,
comme-
d.ans
UD mi–
roir. les ebofes ¿00l on déliroil
~lre
iollrp;l.
9°.
L es fcmmes des Incieos G ermains pralÍqooieol
m core
UO(
:lurre Cone
d'lIyJrl1malft;e .
en
el .mj~nt
les
tourS
&
dJ!lours ,
{f.
le broll que faifoieO! les ClUI des
/leoyes dl ns les goofrc:s ou lourbillons q.,>i1. formoieOl,
or¡rédire I'aveoir . Clem. hIel.
Sir, ,,,. Iíb. l .
10 . En6n. 00 pe1Jt n ppon er
i
I'hydr.",..
,i,
nne
fup«nirion qui a é,é eu ufage en haJie,
&
'loe Del rio
afi"ure qu'oo
p~i<luoil
encore de foo teml . L;orfqu'oo
foupt;onnoil qoelques perfoQo.s d' uo 01, on éeriyoi!
Its
ooms de Irois de ces perfoones fu r IUIIOl de pelils
a illouI, qu'on jeHoit dlns 'I'eau,
&
iI
aJoule
que quel–
ques-uns fe Cervoien! pour
CttIC
optralioo d'eaa-bioite ;
mais
iI
o'aJoDte.
pas
ee 'lU'ODMeQu vroi¡ par
ce
moyen.
D elrio,
Dif~Mij¡,.
",al".
li~.
IV.
f-..
JI·
"J.
f.tl.
3,
p
a
l ·. H3·
&
f.l4 ·
.
HYD~OMANTIOUE,
r.
f.
(h/",h,,,, .)
goelques
luteurs oot appellé ainij I'ut de prodoire, par le mo–
yen de I'eal!, eenaine¡
.p~arences
fiogulieres.
C~lte
fcieo–
ce ,
(j
elle en mérile le nom, etl fondée principalemeo!
fur deoI fuiu Ircs-eoQnul ; J'un
~Il
,
qu'lIII CQrpl
R
pll–
cé .u fOlld d'un vafe plcin d'etu,
(lil.
3
i.
byJr. )
peO!
~[re
vO
PiU
un ceil
O,
plae~ pr~s
du bord do rafe, qUQí–
que
c~ ro~me
ceil ne pOI le voir
(j
I'cao
~Ioít (¡,~e
i
\'ao"e en, que le fOQd
C
H
~
d'on vafe pIcio d'cau
parol, plus élevt! q'util o'en en en elftc, par eltmple ' eu
.ElF:
ces deol pht!nomenes fom ' une Cni,. des
10 11
de
la réthélioD.
V aya_
RÉFRACTION.
(O)
.
HYDROMEL SIMPLE .
(Pbar"...i.
&
"'.1.
m.d. )
Po)'r:::.
MIEL .
'
..
H
y
o
!l
O M E L
"ill'_".
(Chi",;.
&
tii"•. ) V OY'::;'
MIE L .
'
H '(
I?
R O M E T RE ,
r.
ro.
(Pbyh.)
ell le DOD!
qu'olj donne
~u
géoénl aU I io!lromen. qui fernO[
¡\
mefllrer la
pefame~r ; I~
denfi'é; la y"elle, la force ,
lr
les POI/es propné'és de I'eao.
Ce
mor
en
~ompoft!
do IIree
J'-, ••",
&
I'fI,,,
,
....
flt" :
On donn.
coromu–
nt!menl le nomo
d'.rlo",<lr.
~
l'inHromen! 'don¡ no fe
fer! pQor délerminer la pefalHeur fpécifique de I'eau .
Poy.:::.
A~ ÉO",ETRE .
1\
I'~g~rd ~~
ceOI dqOl 01) fe fer¡
poor meCurer la v\tefi"e,
&
par eonft!quenl 1, tqrce de.
eauI
eour~ntes ~!"i.
I'artid,
F LEUVE.
Ch~"'.<TI .
(O)
HYpROM I'.TR IE , f.
f.
(Ma,h",/.
~
fhJf.)
c'ell
la fd eoee qui enCeigo.
a
mefurer' la
pefaul~ur ,
l. for–
ce, la YIlCrre de I'eau,
&
des aUlres flúide.; ce mot elÍ
formé des mOls grees
~t".
'.",
&.
1'0,,,,
"..
fll".
L'
HJ"ro",llri.
eomprend I'Hydrollaliqoe
&
I'Hydrau–
lique.
VOY':::'
ces deus mOls .
Ce ler'1'e en moderne
&
de peu
d'ur~ge;
on s'en en
f« yi pour
I~ prtmier~
fois e n
' Ó9~ ,
quel'on fonda une
nooydle chaire de
prof~rrcur- d'
HJdromltri.
dan. I'uni–
"afilé de Bologue, en
fa
e4r de Gugljeln¡ini qui a
pouOé la doélrioe <les caUI eourames
~ueoup
plus loin
qu'aueun de ceux qui I'ayoien[ préeédé .
Voy<:::.
FLEU–
VE.
Ch.",bm.
(O)
HY DROM ITES,
r,
m.
(H,iJl.
(<</'f. )
nom que
\'00 donnoi[
~neie[lnemeOl
il
errlain~
olficiers de l'é¡;li:
fe grccque q'lI élOlem chargj!s de falre
I'ea\l-l>~nile,
&
d'en faire
1',1'
erfion fur le peuple .
Voye:::.
EA -BENITE .
Ce mOl
.0
eompofé
d'¡.t~I,
.att,
& ,.. ..."
perConne
confaerée aUI fonélioos de la religion pour ee qui eoo–
cerne
13
btnédiélion
lJ.
l' ,.fper600 de I'cau .
DiO.
tÚ
'I"rlTJo"x. (G)
.
HYDROMPHALE f f.
t<rM'
d.
Chir"rgi~ ,
IU–
meur qui vlm! au nombril,
&
quí
~n
canfée par de
)'(8U .
Ce
mOl vienf
du
grec
. t."
ta.,
&
.,..&1.."
, ."",.
6ril .
On diflingue
I'''"dro",pbal.
des aUlres ,umeurs qol
~icnneDl
au nombnl , eo ce qu'elle ell molle,
&
oc!ao–
moios peO obtur.",e all louchcr,
&
qu'elle ne dilhinue
n i augmeOlc en la eomprimam . Quand on la rcgarde
• u'avers
\:¡
lumlere,
0 0
la Irouve "arpareme .
00
diffipe
1'''Y.tlro."ph,,'.
par des remedes réfolulifs,
lels qu'oo les a iodiqllé. au mot HVDROdLE . On la
guéril
~u(!j ,
6 elle ne cede poim aUI remedes, par l.
ponflion au milico du Dombril ayee un trotor! .
Voy,:::.
TROCART .
11
f.!Oble que
13
fluDuation devroll
~tre
mlfe
lO
nom–
bre des figoe, caraa éril1lqoes de
l'byJr.",,"./"
Poy.e
FLUCTUATlOH.
(r)
H
D
HYDRO P RA TA _
H YDROP R
TI ,
fu
11.
male. plllr.
(rb/J:fu.)
nOID d'hérériqu
,21U–
cbis
1
T
,íen,
qu'ou ""pelle audi
úrr,u"" ,
A..
1..-
8ifu
t
S"
l .'
t J
t
Sk/nauM
&
Á •
.JrulIJ .
J .
1':'"
E lIC It ATlTLS
A QUA 'U[
,& .
ce
mo' ell
i
"né
du grec
iJ-,
t.PI,
lt..
...
~
"' ,
J'
prlfo_tr .
.1.'fTt .
t:es
H
.J"'f.r.fI.u s
é,o enl un Dn.nch
e;\
I
ni-
chécns, qui prétcodoieOl qu'oo d. vo·, e
ler
"
d'""u
au lieo de
"In
dans J' Eoehariflic .
D,O".. .
J,
¡'r!–
",••x .
( G )
HYDROPHA
E,
e
f.
••
adj.
f.
( Hi
.
•
11. )
Ren–
re de piures • demi- pcllocídcs ; ce mOl ell i rme!
ri., .
ClU ,
& , ....... ,
Je '" ille,
paree
que
le
can ere
difiinélif de
ce
¡¡<TIre
de piar"" eH de Jcuer quelque
éel., éllOl plan é daos I'Clo .
Ce fonl des pIure .. demi-,nofparef\'es. comporées
d.
cryllal,
lr
de beaueoup de lerre qu; s'
'1'IlU
e
m~It!e
¡n~~lcmcol,
comme dans la ehalcc!doioe. erre
eompotirion donne
i
lou,e l. mitre un
alil
10llehe, ter–
De
&
conJidérablemem opaque , co fQne qu'oo
oc
peUI
procorer
i
,es forJes de p:crres
UD
poli
liu
J .
cependan!
Ii
on les mtt dans 1'.,,0, riles brillent,
&
ev'ennenl1
'10<lques t ¡¡lUds pellucidcs, m';! leor Innfpuence eelle,
¡I~.
qu'on les <ire de I'."u
&
qu'oo les .Ooíe .
1'Ious Jle ¡:opaoiJfoos que deor efpeees de
ce
genre
de pienes
byJro!b~_II;
I'une d'uo
gri
blanehllre fans
nines ,
&.
qo'oo pomme
l.
pi,rr,
<ha-t ,a.'"
ou
r"il
J_ ...q.J.;
l'IOITe ell femblablemcnt d'II0 ris bl.nehl –
ue
m~lé
de janue, Ivec un noyan nolr
20
milieu : les
IUleors
.'ppcll~1
cene
derniere
r"il
J.
BI¡'" .
(D. 1 .)
HYDROPHOBE , IdJ.
'1I1/J.)
'''''''~'' ,
.f-"'"
1,–
r'''''s ,
On Ce ferl de ce lerme, ponr
Mfi~ner
eeUI qui
onl le malhcur
d'~'re .ffeél~.
de la maladle ICrrible,
qu'on conlr2éle ordinairemeOl par I'effes de l. morfure
de eertaius aaimauI,
&
parlieulier~menl
d'un
e"l~q
eo–
ra~t!,
qui ell eonnue fou s le nom de
r"~,
•
•
h~uelle
pn donDe l uffi le oom
d'hJ4r., hobi.,
1
eaofe de I'h r–
reur de I'eau, qui en
f.illiD
des Cym?lomcs efi"en,iels .
Poya.
H YDROPHOIIIE,
r.g"
HYDROPHO BIE , f. f.
(MId. )
"" .'~'
• .
Ce ter–
me grec en comporf des mots ..,.,
1
~a.
1
&
••
~.t
,
Ird;".
tt
~M~
t;mor.
11
~Il
employé
p~r
le Médecin" pour
fynnnyme do mOl
rll',
qlli .n l. m.l.die de erUl qui
rom
;lfett~.
ej'une fOrle de
d~lire
fudcul, 3 l. filil. de
la morfure d'un chien, 00 de
qu~lque,
aUJre, .nim, ul
cnrag~s .
Comme un
de~
principaus fy,!,plo.mcs qui ae–
compagncOl ectle mal.dle , en une
~verhon
mCUrmonll–
pie pour
l'
d u ; e' en ee qui loí a rait don",r le nom
sJ'
/tydr.ph••
i,.
l"r'his
eommo elle ell mQio
eOI1tlu~
10m
ce nom li, 'loe Cous eelul 'de
r"6' ,
ji
par
'1'
eOl1vel1.–
ble de ne
Ir",,,
de etcle mal.die , que fous celle der–
piere dtnomin.,iop, qui en d'ailleurs plus
fpéei.le: aln O
""yn
RA eE.
HYDROPHORE , f. m .
(Myth.)
fhlUe de bronle,
d, deul eoudécs, dOIll p.rle Plut2rque dUl1s II .Ie de
Thémillocl• . Ce grand homme, di,-II , I'avoit f.lte des
amendes ,uIl¡uelles
iI
aYOl1
cond.m,,~
ceUI 9ui détOur–
noiem
1«
eaUI publiques
~
leur ufage
~rticulier
,
&
eo–
fui,e
iI
1'.Yoil confterée dans un lemple d'l\lhtucs .
11
re!rouva fon
byárophoTt
a
S.,dis dans le lemple de II
mere de$ dieur , C 't ,oil 'loe
de.
llalUcs que Xerds avoi!
cmporlées de Greee,
&.
Th~millocle
6,
des efforlS inu–
lile. pour que le f.!rape de Lydie vonlO, bien la lul ren–
dre .
M.
D aeier eroi, que e'ell eelle qui,
d~ns
Pllne,
l. X XIj/. eh,,!.
'/Jiij.
porle le oom dl<Inophorc par la
ÑUle des eopirtrs
i
m.is10U' en perdu en cri",!ue , r. I'OA
admCl
des eonjetlures de eelle cfp«ee , que le
fl:ns
n'eli–
ge .poio!
b&
qui oc foOl poim appuyées par les manu–
ferus . ( .
1.)
HYDROPHORIES,
r.
f.
plur.
(Myth.)
cér~mo
nie fonebre quí
s'obf~rvoll
iI
I\lh~nes
{i
ehn le E/Ji–
De,es. mais
ell
des moí. difftren.
I
~
la mémolre
3",
~rccs
gui Ivoíeal pt!r¡ dans le
d~lulle
de D eucalioo
&
d'Ogyg~s;
aiur. ,
b)'
Jroph.ri,
éraDlll1l
(110'
eompof~
de
Vio,
cau,
& .'",
¡',
mp.rt',
dér.gne une
f~,e eomm~monlive de ceUI qul
0111
élé emponél par les
COUI .
(D. 1 . )
HX"DROPHI LLOr-{ ,
( Hifl.
1111.
Bo' .
",.r. )
nOm
que
1<,
"¡
ld.os"u",urs grees onl donoé
~
une pll nte
qoi erotl fur les lieuI
Otl
fe Iroqyent des Irutres p r,def–
fous;
m.iseomme ils n'on! pas
d~eril
eelIC plante foul
laquelle on Irooye d.,
Iruff~,
,_b,rll ,
ji
r¡'en I>1U pof–
fible de la deyiocr. De plus. le réch '1u'lIs en
fi
DI pa–
roi, lellemcol ellotrai..
i
d'au!<cs
feoum.nsqu'lI, foo–
tieoneOl ailleors,
lr
meme Icllemem opporé
11..
véri,t!,
qu'oo ne peu,
s'emp~eher
de foupt;onner iel qoelque me!–
prife . lis difl:nl que
CC[(C
plante oous eofcigne OÜ fool
leIITl.ffo ;
mal. nous faroos que
par
[OUt
Otl
on eo !rou-
ye,