1000000039

HUN

~es

les phu Cim uI & les micux n.iCoDni. ,

riJi,,,I.. ,

"tri ,

&c. C'cfI liar., qu'ro coofcilloot

I UX

A nglois e

mange,

av~

des chou.l-8eu,s les petits

enfaDs

des

1,·

landois, il 6t ,couer co lui-m me le gouvc:rnemenr an–

glois ,

pr~t

lcu,

lile<

les deenieres rd[onrces de eom–

merce

'l.ui

lcur ren. (fem; c:etle bfC'ehu,e a pour titre,

P,.p.JitlO~

m.á,JI' po"r fair,

jlu"ir 1,

.;,"'<

ti'

¡,–

la" ,Ir,

&e. Le voyage de GullÍ\'er , du m me Auteu"

en one f. tyre remplie

d'h" ...."r .

D e ee genro

tuffi

plaifamerie du mtme Swifl, qui pridil la mOr! de

p . tridge , faiCeur d'llman. eh , & le lerme c!ebu, cotre–

pril de lui prouvcr qo'il

tloil

mort dfeéli. ernenl, mal–

gr~

les prOlella'¡ODs que fon adverC.ire pUl faire pour

a(fu,er le comr';,e . Au renc,lc50Anglois De COOI poiDI

les Ceuls qui ';elll eu

l'h"mOHr

parta~e .

Swift a tir<!

de tre. -grands Ceeours des <Euvres de Rabelai" & de

Cyrallo de 13ergerac. Les mtmoires du chevalier de

G rammoDl fom pldns

d'hu",o"r,

& peuvenr pa!f<r pour

chef-d'<Euvre en ce genre ;

el¡

m~me

en général

cetre f" rle de plaiCanlerie paro' r plus propre au gl llie

léger

folhre du

Fron~ois,

qu'a l. rouraure d'efpril,

ft rieuCe

raifonnée, des Angloi1-

HU M US,

(Hifl.

""t.)

les Nalu,alines emprunlent

f<>uveol ce mot latin,

m~me

fron~ois ,

pour dlfignCT

le terreou, la lerre de; Jordins , ou la terre formée par

la dlcompofition des ytgllaux; c'efl la terre b,une ou

noiratrQqui en a la Curfaee ele la lerre .

{l'.J'~

TI:Il.JIE

V ÉCÉTABLf'

Ti:RREAU.

HUN1\

(GI",!.)

riviere

d'Hoo~rie,

qui preod Ca

fource en rhlmarle, qui Cepare la Croalie & l'ECc1a–

vonie

qui Ce jene dans la Save . .

HUNDRED,

(C.mmt"' . )

on nomme ainfi

en Angle,erre, ce qu'on emend ailleues par le mOl de

'{"intar. L'h""dreJ

efl de

Iiv. d'avoir du poids,

qui en la livre la plus forle des deux dool les Aoglois

Ce f., veol . C euc Iivre .fl de Ceiu onces, qoi ne ren–

dem

Paris que quatorze onces cioq hull, enCorte que

le quintJI de París qui efl de eent livres" fai(am

Lon–

dres cem neuf livres ; le quiotal anglois en d'environ

deuI livres

demi • ou lrois livres plns fon que celui

de París.

Voye~

LIYRE POlOS.

Dia.

C.mm

,ru.

H u

O 11

E D,

(Glog.)

lerme qui ne s'eQlploie que

dans la Chorographie d' Angleterre; le royaume

di,

" iré en

Ihira

ou comtés, les shires en

h""dr~dl

ccnlaines,

les

h,,~ártds

en tilhiogs ou dixaiues,

les

li.htn

parilha

ou p.roi(fes _ Ce mot

hUHdreJ

efl

ttldui, en latin par

«nturia,

e'efl-a-dire un diflria de

pay' , on ecDl hommes, eem chefs de Ñlmille élOienr

. utrefois obllgés

d'~tre

eautioo les uns pour les 3UICes

en junice, laUI

ernnincl. qu'au civil.

(D.

J.)

HUNDS FELD,

(Glog. )

e'ell-a-dire la

eamp"g'"

ehi""

pe';le ville

Allemagne daos la Sillfie, daos

pro vince d'Oels, fur la W eide,

licues de B,ellaw .

Long._

14.

fO.

la•.

( D.

J. )

HUNOS-RUCK,

Hllnno,um

,,,,ElllJ,

(Glog. )

pe–

rit pays d' Allem .lSru: eot,e le Rhin, la M ofelle

N .b au bas Pal.lloal.

appa,tient

diff~reos

Couve–

rains.

(D .

'J.)

HU N DWY L',

(Glog. )

petile ville de la Sui(fe, 3U

canton d' Appcnzell t.fur la riviere de Sintr•.

HUNE,

(Mari"e . )

e'efl une efpece de pIare

forn¡e ronde, poCée eo failhe alllonr du mal, dans le

ton, folltenue par des barrols, mais de

fa~oll

qu'elle

ne pre(fe pas le mat ;

fauI

m~me

qn'i!

ail entre la

¡",nt

le m!t I'ouve,ture oéee/rai,e pour faire p.(fer

ou bai(fer les m!" de

hu",

ou les perroquelS, en eas

de befoin.

Voyn

Planeh,

PI.

Jigllrt

J9. le plao de la

groode

h"", .

11 Y

a une

hit",

ehaque

m~t,

qui porte le nom du

m!t ou elle efl pofée ,

voyez

PI"I11(ht

l. Marin,

,,0.

1'9.

13 gr30de

hun"

94.

h"",

miCene, 16.

hu,,(

de beau–

pré, 4'.

b"w,

d'artimon .

C'efl aqx

hu"tJ

que Com amarés les étai, "" les hau–

bans; elles Cerveot

la m,nalUvre,

les matelors

montent pour eel effel .

01'1

mel un matelot en vederle

daos la

b"ne

du g,alld mh pour fai,e (entinelle , fur–

tout daos les tems de brume

daos les parages, oq

1'00 croint des brí(an. ou des eorfaires.

1\ I'égard de

gf1lodeur des

hu"",

elles Ce proponioo–

neol fur la

hH"t

du gt:ande mAt. 11

a beaueoup de

conílruélellrs qui regleot les proportiQns de

l~rshll"tJ

Cur

les

b.ux;

par

~Iemple,

un v.i(feau 3

piés de bau,

la grande

hu"t

doil avoir 40 piés de circonférence; la

circonférenee de la

hl,l'"

de l. miCene doit avoir uo lilie–

me de moins que la grande

h"""

les

h""tJ

des mats

d'arJimon

de bcaupré Qnt de circonféreoce la moilié

de eelle de l. grande

hu", .

Ces dimention. oe fool pas

,ependanl conflante.,

ell~

Yarieot (uivanl

mtlbod<¡

•

HUN

de chaque cODnraéleuI

l. gr'IAdeur do hiomenl _PI

les

h"tI

foot gt'llodes,

plu! eUC1

1001

pro re

les urages sUlquel. elles

fUDI

deJ1in~

;.1 ell bun né¡o–

moins d'e ' iter de les

ñire

Uop t;ran

es,

rce

11"

\les

Ceroieo! tro p peliOlCS ,

qo'clles

'weroieor

,'Sil~

(eau _

couvre les

b• • tI

de peau de moulOn, ponr em–

p!cher q\le les voiles

rd:lJ¡"cs qui donncol con–

tre ellcs De fe

gSI~or .

D 3QS le UIIle1u de guerrc. elles

fouI cotourl es de bsffinllues.

""'n u mol.

L rCqu'.1

s'agil d'un combar, on

cc-

auffi du pelit Cln n

de menues armes.

qu~

pour I'ordinlin: , locommodeol

bcaueoop I'eooemi .

(L:)

u.tI

p'"'r"tI,

COn!

des efptC<S de

h••

failes

.vce

des blrres Cculemem placécs ao-d tfuus du

ehouquel du mil de pcrroquel; 00 i<s

.ppcll~

aum

rroi–

[l.,.

(2)

HUNFELD ,

(Glo2.)

petite ville d'Allema¡;oe ,

dan~

la principauIl de Fulde.

HUNGARl C H -BROD,

( GIot,.)

, ille

d' '

\11.ms–

goe eo M o ravie, prcs des frootiercs d'Hou¡¡rie, fur la

rivicre d'Ohlou .

HUN1ERS,

m. pI,

( M dr;'u.)

ce (ont des "(li–

les qui fe menenr tux mits

hun . Q uelqoel<li on

eoteod par ce mor le

",';1

l."., .

Dans Ce dcmier

I~ns .

11.1.'~

M",

TS;

& poar le premier

voyt*

Lf •

• .:$-

l.nllirrt

COOl d'uo gr.llld ulage;

die "

'.Ir

ItI

J,II.;(TI

mi·",." .voir

[tS

b.,,;~,.s

,ühflrs:

12 prC"miere

clpreffion fignitie que la

1I" g_'

qui roOdenl 13 voilc

n'el,l

hijfJ,

que la moilié du

rn~l ;

I-'C,,"d~,

que

Ir¡

hH"i~TI

fone all

vent;

dit

enCOle,

mdtrt

tJI. '

[lIr

h""i,rs,

('uO pl...r les voiles appelléc;

hll/ll"J,

de relle Corre ..9ue le vcnt donne ddlus &

11<

le,

r<m–

pli(fe pan.

l1i1l"r

amtlt"

hu",trJ ,

c'<11 ks hour–

fer

a""'i/fer les voile.- du grand m ( d< hune. En60

ame1ler

I,'tl

hUllí~rs

[ 11"

1011,

e'en

Il';-r les

\'oilc~

Dom–

mles

hllWitrJ,

j ufqu'd la partie du

qu'oll appelle

to".

(Z)

• l-lUS'JEa, CARREAU, ECHIQU IEk ,

rubr m.

(P'–

eh,.)

Iiler qui n'a rien de plrticulicr; les

p~cheurs

'en

fervenl dans les rivieres .Ulour des ¡les

flolS .

P.yt~

IIPS

Plaltchu

Pith,.

/:iUNINGUE,

Hun"i,,!_,

(Ghg. )

pelile, mai.

forte ville de la haute 1\1(aee dans le ,r,UIII';OW. Les

fortiñealio ns foO! du marleh.•1 de V,"bJn; oIle en fur

~hio,

au. frootieres de l. uiae,

unc heue N . de

Bale, 7 S. ¡le Bri!' eh.

it.

'r·

latit.

47· 4"

(D. J . )

HONOLOSTEIN,

(G/og . )

ville

chl leau d'i\I–

lemagne, dan l'éleclorat de Treve .

HU N ,

(1-lill . )

peuple nombreu! de la Scythie,

ou de Tarlarie oeddentale. Leur empiro rUI fondé par

Tehun~

- G oei environ

!lOO

. us avaO! la na./fmcc de

Jefa -Chrill, mais leur hilluile n'efl eonnue que depui.

'reou- Man-Tanjou , qui vivoit environ 109 aos , vanr

I'ére ehr.tienne . Les

lluJ

foumirem a1" rs les T ' na–

res du nord de 13 Corée ,

de·13 i1s s'élcnd.rcnl "en

I'occideot Infqu" l. mer

C~fpien"e ,

po!lédcrcllt 10UI

le vane pays que nous appellons

T.,rt.1rlt .

lb fe fubdi–

vi(e,ent en uo grand nombre de nations dilfé,elltes . qui,

rous dilfüeos noms,

001

fait la eonquéte de tOute

lie.

En 37oS,

¡¡

us le regne de I'emp<:reur Valens, eeUl qoi

confervercnt

110m

HII1I¡

liHHni ,

qui viene

nom

C hinois

1-lio'''''~

N o",

t,averCereO! le palos M éo'¡dc,

po(terenr I'allarme ehC'l. routes les nalions voilin« du

T an3rS

vainquircnt

les

Onragoúa,

s'emparercnt de,

pays r.tués

.lJ

nord du D.nub.; de-la ils tirent des CPor–

res fréquel1tes chC'l. leues

voifins.~

répandireuI fuu v<nt

la def"I3Iion fur les rerres des t{omalns qu'ils fe rendi–

renl lribm.ires . Sous la eonduilc d'A uila, le plus fa–

meal de lenes chefs , les

Hllns

tirem l. gllerr. dons I'oe–

cidellt ; ils s'avaneeren! lufqucs fu r le R hin

dans 1 ..

Gaules , fe rendirem

m~ltres

des villes de T re ves , de

S tr3Sbourg ,

Spire, de Worms. de M . yenec, de

Be–

fan,oo , de T oul , de L aogres , de Mct1 ; s'approehe–

rem Jufqu'a París ,

prirenr la ville d'OrlélllS. En6n

A elÍus , général des Romains, aidé par T héQdorie roi

des Vifigoths ,

arr~ta

les

conqu~lC:s

les ,"vages des

Hun¡,

c5(

batril Anil. leur roi daos leso rnpa¡:ncs de Mau–

ri.c, pres de Troyes eo Champa

De;

on dh qu'cn eet–

te oeeafion, il péril trois Oeos mille hommes .

!ti

l. ,

ap,e~

celte dt!faite , Ce rellra en Pannon,., qHi depuis

f Uf

nommée

H(Jlltr;~

caQfe des

HII1Ir ;

3prcs

Bvoir

reparé Ces pertes,

all. rav. ger l'ltalie, ou il prir Aqoi–

lée,

pilla MiI.n

Pavie; Rome ne fut C.uvée que

par la !re.e que l' empcrcur Valentioieo cooelul avee

lui,

par le tribut qu'i! promit de lui payer. Aprh

noir eooelll ce traité, ...nila rctoulDI for le O.nubc

bien