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ROM

qu'il,

n~

ptu

mI

1,

fair~

r ·mc!mc:s,« 3ño

qu~,

pu

I

I~

dtce. de

e

homme,

iI

r

ú

oU\'errore

2

droit d

reJier, 6

I'h~ritl

' c

en Iet1U

en

ñcf.

L. coutume d'OrléJo,

2

peUe I'bomme vium

ele

moor&1lt

f}h.;r~ .

Lei

geo. d'i.¡lile de main-morte fOD<

obli~~

de.

d~o­

ner

btl"

e

'L.JI'

PJt.'

&

""Mr4111,

poar tOQtc I-cqUl6 O

par CIII fai,e, • quelqoe litre Que e. foi,.

II o'en dtl ordi".;r mem qoe poor les

6ei ;

cepen–

dult quclques .utcun prt«ndeot qu'ü en e 3nffi dO

on pDor les rorures, qooiqu':' J ire vrai, l'indemniré

foffiC. poor le. rotures; OIais il el! cen';o que l'on oe

donoe

VOtIU

d'p.",,,,<

Viv4"t

&

"'o"rnt

pour le; MlDC–

aleux,

FU

m~me

.u feigDeur

h.ut

-JuIlicicr.

Y')'~

HO"UE CONfJSQUANT.

c'.n .u "'igneur ftoda! dom;nint qU'OD dooDe I'h.",–

m,

VIV/""

&

,.ollr."t,

ele

000 lU feigncor hlut-Jullicóer .

L'.morriffemwl &il

par

le roi,

n'emp~che

piS 'loe

les gens d'églife

&.

de maio-mone De doivem

~u

fei–

gneur

bDml1lt 'Viv4II1

&

mDtlTIIII!

J

avt'c

h:

droit d'jn·

aemnité .

5',ls ne

doonoh.~Dr

pa.

blJ11'}"u

t l;'f.ItVlt

&

mOflrmft

1

le

feigneur poormi, f.ilir le 6ef,

&

feroil les froi,s neos .

L es btnéticiers p",riculiers qoi n. formem poin, uo

eorps, ne fom p" obligé de donner

ho...""

VitJ4"t

&

mUlTa,,',

¡nrce qu'il

y

a mUtUlon par leur more.

L es communlurés eeclé liofiiques,

&

aulres gens de

inaiu-morre, peU"ellt

drmner

poor

hOl1fme f:ivanl

&.

m'Jlran!,

une

pcrfonne de Itur carpe¡, ou rdle :1utre

per[onoe que bon kur femble, pourvQ qu'eJle 1il I'ige

reqyis pour falfe la foi; .inli

i

Pari" il fout que

I'h.",–

m, "V1

"V.mt

&

"'ONra"t

fU;1

Sgé

de

.vin~1

ons. n ans

d'orure, coulumes, on la fOI re peu, faire pIO,61,

ji

fuf–

fir que

l'h{J11I111~

l./i'fJanl

&

I'IIfJllrnnl

air

l'~ge

requis par

la

COUlume, pour porter l. foi.

Q 1l3nd

I'homrnr

1.,ifJmlt

&

",'mra"t

en

dl!cédé,

il f2Ut

en (l'lIIoer UD

aUlre

dan. les quarame JOu",

&

iI en

d~

un droil de relicf pour la mUlOlion dll

vn([~I.

D an

quelques CODlUme., comme celle de Pérollne, il en

dll en outre UD dro;1 de

chnmbell.gc

.

raure de dunoer d.fls les qU.l3me Jours un oouvel

bomme, le ftigneur peut failir le 6er,

&

f.ire les frui,s

/iens .

La mon civile de

I'homnu

vivant

&

mllurant

Coir

pour proremon en r<ligion, foil por quelque cond;mn.–

lion qui emporre pt:ioe de mon ciyile, o'oblige poim

de donner un nouvel

homn-u

vivaNt

&

mourant;

il

n'en

en dol qu'en cas de mOrt nororellc ;,ce o'en auffi que

dans ce ca qu'iI y • ouverture 3U bef .

L t.,bligation

de

fournir

un

¡'omme

viva.t

&.

mOllr"1It

en imprelcriptibk , par quelque tems qne les gens d'é–

gllfe

/le

de maio-morle ayem joui de leur ñef.

Voy.

le

,it.

a"

ji.J!

de Billecoq,

liv.

V. ehap.

;riJ.

{ta.

6.

(A)

H.9 M M E' E , f. f.

(JJlriJpr.)

en dan. quelques

cndrolts une meCure uli,ée pour les lerres labourables

/le

pour les ,·ignes, qui fair :; peu-pres la quautlté qu'un

homme

peUI labnurer en

un

jour 3U

crochet . Par exem–

pie,

i

Ronay en Chal11p.gne,

I'h.",mle

de terre eon–

tienl enviran cinquanle-trois perches , de huit pieds qua–

tce pauces de roi chacun, ce qui revitnt

a

un demi–

quarrier, mefure de

Pari~.

V .y":,

H o

~I

M

E DE

V

1-

GNE.(If)

H

O

M

O

e

E N TRI

Q

u

E .•dj.

tume

ti'

Aflrmo–

mit,

il

figniñe la ml!me chofe que

&Onu"lr;'1"~;

mais

ce derlllor mor ell plus en ufage.

Voy<z.

C

o.N

CE

N–

TIUQ U E .

Ce mot efi grec, comporé d'

'~'f;

fcmblable,

&

a.,T,,,,

centre . On erpliquoi, autrefois les mnu vemens des allres

d.ns

le fy ileme de P,olomée, par I mayeo de plu–

lieu rs cercles

bOmOUIIIYU!fltl

&

cxc~ntriques :

taus ces

eereles loor aujourd/hui blnnis de l' Allronomie.

Voy(~

EXCENTRIQUE.

(E)

HOMO C TOPTOTON, f. m.

( HNmall.)

ñ–

gure de rhtloriqoe, oar laquelle plulieurs noms om le

m!me

C3S;

par exemple

1

I1frzrt"U/, fltnUJ

,

gtmtlltn

t

&

"'llua"ta.

C 'en la figure de mo[s que les latiDs ap–

pellen<

ji",¡¡;ur

cad",!.

(e)

H MODROME, adj.

t<rm( de JW/eh""iqlu.

Le–

..ier

hvmodrom.,

en

UD

leyier. dans lequel le poids

&

la

puifla~cc

Cont 10US deux du

m~me

c/l,é du poin<

d'appui.

.

Ce mot vitnt du

grec: ' ....,

(tmh/ahle

1

& ;,.,.,.

je

CO_Tl,

parce que quand la

puirr.~nce

&

le poids [0111 du mé–

me c/ltt do poiot d'lPpui. i1s

re

meuveOl dans le m2-

me

ftlh ,

comme on le voit

Plallc.

mlehall.

fig.

2,OU

tandis que le poid.

11

parcoun

A

a,

la puilfaoce

B

par–

coo"

B b

dans le meme feos.

-'

.

RO

1

II )

a dalE ron... de

le, 'e~

¡,..

J.,,:

diO

(h.

l.. )

le po·d. ell enac

la

pu .Tmce

&

1'21'

,n

2Ppdle

ce

1 ...

·«.

1 ...

ur

<

1_

J••

x ....

, (1 , '.

1)

1\

rlltUO,

Is p<lilfsoce eU entre le po'd,

'appui (

~.

3. )

on I'sppdle

1

u,

.1,

l.

tT. i(¡<.,

'fr''' ·

HO;\.IOGE

TE,

sdJ

(Pb-, (.)

fe dI en

mp:tr1ot

des corps

ditf~ren

, pour marqucr 'lit' l ' 10 0t

e

'mpo–

.~s

de Pln'es timil';tes,

o~

de fembl1ble nstu e .

11

ell

ppof~

i

hltl ro" •••

'1";

ind'que

do

pul

e dc

n~ture

d,lférellt<.

V' ln

H{ TtROCE

!; .

e mal en compofé du

IlteC

1,...

{t• •'

1"

dc

,. ,,, g<nre.

00 .ppelle

jI.id,

" "" ' ('."

cdoi qui ell

e ~U1pCré

de Plrties, 'lui fool tou,e fcn6blemcnr de la

m~me

denli,~

1

comrD~

l.tel.u,

le

mercurC',

&c.

L'tÜr n"eH pu

uo

jI",d<

1"""(<11<,

ptrce que les Plrties, ou

ro

dli–

férerues eonches De

(O ,

P':' de lo m<me denfilé .

".,,~

AT\I O PHERE, A'R'

&

DE" ITE'.

L "m"r<

h.""g''''

,

e celle

d

nI

Irs

ni

lO

f~nt

tOUS d'IIno

m~me

c mleor .

p" conféqucnt 'UII m -

me dégré

d.

réfflo~ibili,é

réft

tibjli,~ .

I'.yn

L -

HI ERE

&

COULEUR.

Q".uotlt/s

h.m'~<ll<t

en

A/(.bu,

[001 eell , qui

Olll

le

mE'nc nombre de dlmeoG

n ,

comme

d

J , • •

e,

.cd,

&e.

n d;, que l.

l.,

da 6.....

«,,<1

erl e IIfcr–

véc dlns une équation algtbriljue I rfque rous I's t<r–

mes y font de

la

m~me

dimenlino .

9..."a",itll fo"rdo h.mogelUl ,

fonl celles qui onl le

m~me

6¡:ne r.dic.I,

t-

>7

&

t-, .

V.)a:.

SO RDE .

H.",.",,,. d,

.o"'p.,oi/_",

en

If~,b",

ell

l.

'1u.u–

fi'é, ou le terme Connu d'une

é~u.tion,

que

1'00

sp–

pelle aum

II.mb

"

4bfol•.

Aior., dans l'équ lion ...

¡ -

3.~

+

4=0, 4

en

I'ho,,,o!.,,,.

J.

C''''Pdralfo• .

On ne

fe fe.. plu

~ueres

de cerre expremon,

&

00 déligne

PhDm4g~nt ,~

cO'l1Jparaifo1l

par lt' mor de

"tr.ter

terme.

OU

ttrme

(nltl lD""U

de

I·équtlt:on .

I~oytz.

E'Q

u A–

TION .

(O)

Ha 10GESE , 3dl.

(!fUJ.)

;,..,...

/r,

h.mo

!...

",,!.

C.

rerme en fouvcm employé d.n I.s ouyugo de Mede–

cinc, pour défigner les fubfiaocc. dont les Plrties (onr

égalel entre elles, par leurs qualitts iorrinfeques

011

par

leurs effe".

On rrollVc d3ns les défioi,ions de Gorré , que le

nom

d'h.mog""

en quelquefois donot

:l

une fort. de

ñevrc continue, dont les fymp,umes ne ch. n enr poim ,

Can! 10UJOUrs les memes , foir par leur ..m ere, loir

par leur durée: dans ce fen ,

h.mog,·N(

dI

fynonl'mo

d'bom'fo,,~.

{/oytz.

F.

EVRE

HOMOTON~ .

H O M O G E'N E'l TE',

r.

f.

(eramm.

&

M/fJ–

ph

¡ffr.

)

qualilé qui donne

:l

une chofe le 110m

d'h.",.–

g<II<.

VOY'::

HOMOG ENE. L 'hom. (/"/rtl de la maliere

en une qudlitln peur-elre impomble l réfoudre.

HOMOGRAMME, f. m.

(ey",,,. )

num que les

anciens donnoi,nl aUT deux arhl.«s qoi tiroien' .u

(i,,,

l.

m~ lJ1e

letrre,

&.

'luí p1r c.trC mifon devoient

com–

ballre run comre I'aurre. QU311d les 1,hleres étolenr

enréginrés,

iI

s'agiOoil de les appuicr,

&

le ron en

déd doil Pour cel effer on Jetroll dans une uroe un

nombre de leltr<s

é~al

a

celui des "hle,es , c' Il · j-dire

9t!'on Jeuoit dans ceue urne, deu

a,

deul

h,

deux

~,

&e.

Apres que le, Icmes avoiem élé bien fecouées

&

méltes d.n l'urne, pour Ims les alhleres les ,iroien<

eUI-m~mes;

ceUI qui fe trouvoiem avoir

12

m~me

let–

rre, cnmbJIt" iem enl;,mble,

&

on les appello,

athl<f<J

homDtr"mmn.

( D .

J.

)

HOMOHYOIDIEN ,

tJoy<~

COSTo-HvoID't!1.

HOM010TELEUTON, f m.

(8./I,,·Lmr.J.)

figure de rhé,orique par laquelle les différen membres

qui eompo[em une période, fe lermlllem de 13 meme

maniere:

c.:omme,

111 V;V;J

I>HJláiOlt

1

átlltt.¡1II1

InVI–

d,os(, lo:¡urrll odi,s'.

Elle,

n'avoit

líeu

que dans la

profc

che~

les .ociens,

&

elle

y

f", moil un agrémenl.

Les modernos I'om bannie de la leor, comme un dé–

f.ut

;

&

.u cootr3ire, ils I'nm introduite dans leur poé–

fre; lU moins quelques critiques peoCe",-ils [louver de

trace' de 11 rime dans

I'homor. famfo"

des Grecs

&

des L3';os, qui n'tloi, .ulre choCe qu'une eonfonnancc

de phrafe .

Le mal en formé du grec .,.."

p4"il,

/le

du verbe

~'''.,

d/ji"i.,

Je termine: ,erminlifon pareille.

(e)

H MO LOGATION ,

f.

f.

(JNrilprud.

)

en un ju–

gement qui conñrme

&

ordonne

l'e~écuI;on

de quelquc

.tle pané par les p3rties; cnmme u'lt cohtrat d'union

entre créanciers, ou de dire ion

1

un conu:u d'.1fcrmo–

yemem, une Mlibérarion faile

<lIDS

une .!Temblée de

cri""n iers .

.

On

)