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2.34

ROM

eo

6.er

les cCpee", que par les différeoees Cpécifiques

qui en dérermmont les Cervices réels . Si l'on doir, dans

ce cas, que1que attemioo :tu

nla~ériel

des

mues,

c~ctl

pour eo obCerver les dirféremes mér'"norpho[es, qui ne

font (aures que la oature faus diverCcs

fOrInes;

car plus

un objet montre de [aGes diJférentcs, plus il en aeeeC–

fible" nos lumieres.

Vu)'n

MOT.

fB.

E . R. M.)

HOMOO{.lSIEÑS, HO\10U'iII:NS, HO–

MOUSIONISTES, HOMOUSL'\STES, r. m. pI.

(Th<./. )

Cont les noms que les

A

riens dont)oiem amre–

fois "Ux Ca'holiques. paree qu'ils Comenoiem que le

61~

de Dieu e(l

homoollftoI,

c'en-u-di,e

.0nfllbj/a"ti<1

¡¡

Con

pere.

Voya.

HETERousrE"S, TRI"IT t

&c.

Hemerie, roi des Vandales, qui étoir arien, a adretré

un reCcrit

a

¡OUS le< évcqucs

homoll!i<n-< . Vo)'",-

!:'

E R–

S O" "E

&c.

D jtf!ionn.•ir< de TrbJ.tJx.

(G)

H O M

O

O U S lOS, adj.

terme d< T hlologi<,

qui

en de

m~me

["bnanee ou eITeoce qu'llll autre.

Voy<:t.

SUBSTANCE, PERSO"NE, HVPOSTASE.

La divinit!! de]. C . ayallF été niée par les Ebionitcs

&

les Cérin¡hiens dans le premier necle, llar l"s

Th~o­

dOliens daos le le;col}d, par les Anemooiens au eom–

meoeemem du rroWeme,

&

par les SamoCareniens <lU

Pauliens vers la lio du

m~me

fiecle, oi, aircmbla uo

coneile

~

t}l1tiQehe eo 272, on Paul de

S.mo[

ate, chef

de

ee(,~

derniere ' Cea.,

&

l'év~qlle

d' Amioehe fllrem

dépoCé~.

Ce m2me eoneile publi. ,um 'uo deeret daos

lequl'l ]. C. lIll appelld

Ji"

d< Di""

&

.1'...... ,

e'e(l-–

.-<jire

conflJbflantiel

a

Con '

pere .

Voyn

e

o

~

S

UB–

STANTIEL.

l.~e

cqi,óile géoéral de Nieée teou el) P1', contre

Anus , adopta

&

eanCaera l. méme

exprem ~n

eomme

tres:proprc

¡¡ .

él}0ncCr la eooC¡jb(J:.lllial'lé du verbe,

&

jI

!)'j' e It rien que les

!~riens

o'emplqyalrenF pnur faire

condamnl.!r ce

lcrl1)e, Otl du-molOS

le faire

OInertre

ou

ray~r

dans les pwfcmons de foi.

Voy,,,

lI.

R

1

A"

1S"

E

f5

ARIENS.

(G)

,

*

HOMQPf).TORIES,r.f.

(Hifl.•tnc.)atrem–

blées qt)i Ce lenoieot

Fh~~

les aneiens; elles éroiell' eom–

poCée¡ des peres dont les eofaos devoien! patrer dans

les ·eu ries.

D iél. de TrI'iJolJx. '

'HOi\10PH/Hf E" Cubil '. adj.

(Gra",,,,.)

qui mange

de la

en,Uf

crue. Ce

ln~

en

comparé

de

tiI"OC,

crua.,

&

de

~':}.,

f< >nange.

Prefque tous les peuples Cauva–

ges Com

ho>

n.ph

"?,, .

c'en uo avamage qu'i1<

Oll[

Cur

nous, fil ell vrai, comme le prét<udent le<

M~decios,

que' les viandes erues

le

digerem plus aifémem que les

viandes cuites.

'

. 'H

O M

q

l'

H O

N

1

E, f. f.

(Mu{i1')

eooeert de

pluneurs 'voix qui ehantellt

:l.

I'uoilfoo

¡

&

n pluneurs

voix COlleertoient

a

l'"aave ou

3'

la double

oa.ve

,

cela fe oom" loit Cclon M. Burelte,

a~(jphQnie.

Homo–

¡honie

viem de

'1"',

enf<mble,

&

~,,¡,1Joix.

Voye:t.Snt

~HONIE :

(O. J.) '

'

H O M O R I

E

N

J

u PI TER,

(Litt/rat. ) Homorien

eO un des Curnqms que les Grecs dQnoerent :. ]upirer.

Polyb~ ,

hirl./i1J. I{.

arres avoir parlé de la guerre qui

s'élev~

emre les oat¡itans de Crotone

&

eeux de Sybaris,

remrrqne ql)e

s'étalll " ae~ordés;

i1s firent bfttir

3

frais

commulls, un tel!)ple '

a

]upiter

Ho",orim,

daos l'eo'

droit qui Céparoi, leu, domination.

11

aJonte ' qu'i1s fai–

foienr t" us les 'oos

de~

Cacrifices daos

Ce

temple,

&

qll'ils s'y atreml¡loient toutes l;'s fois qu'i1s avoient quel·

que différend

¡¡

décider, ou quelque .fbíre importante

a

r¿gler.

l.

An

rene

]upiter

1¡(Jmoriul,

on

HOTl'~I1,

HomoritlJ,

Hor;lIl,

Zuí,

Ó",OpIO

u:1

óp)~r

1

étoit le

m~tne

que le jupiter

Taminal"

deS Lltiu•. f/oY<" '] UI' ITER TERMt NAL,

JUPITER LAPls.

(D .

J) .

H O M O T O N E,

adj ,

CMed. )

;","'" ,

hornoeo>,uI

1

, ce terme "bnjfie la meme ehoCe

qll'é~al .

V.y<"

EGAL,

(frl.d.')

- '

,

H O M U N

e

ION A T E S,

f.

m. pI.

(TMolog.)

nom que les :inciens donnerent dans le iv. fiecle aux

Ortl,odoxes, pirce" que eeux-ci adnlettoielH deux Cub;

flan«s

&

deu', patures en ].

e:

D,él. d< Trlvoux .

HOMUN'CI'QNI.'¡TE,

r.

m.

('(hlolog. )

en

le nom que I'on dqnn'e am; réaateur< dI! Pl¡otin, que

¡'oh appdle aum

PhoeinienJ. Poy<"-

P

H

Q

TI N I E

N

S.

On oppeJle aioti les Photiniens, paree ' qu'ils Coure–

noienf que

J .

C. n'étoir qu'un pur I¡omme.

Diél.

d~

TrlvOII:r (G)

"

Hq

M U NCION IT ES, r.

In.

pI.

(ThMog. )

les

Hom"".io"it~i

étoient des héré¡iques dom le prin–

cipal ' dogO!e élOir que l'image de D,eu a,'oit é!é im–

primée (ur le eMps de l

'holT.me

',

&

noo ' pas daos Con

.m~ ,

dans la

er~atlon

du premier homme, 10rCque Dieu

avoi[

dit,

facia'rnuf hominem ad tmag;lIem

&

jimiliJlj:

tim<m no

jira",

:

Gener.

c.

j.

v.

26,

(G)

..

~

~.

.

RON

H O N A N,

(elog.)

eomrée d' Afie dons l'empire

de la Chine, doO! elle

ell

la elnquieme provinee,

Ou

S. du lIeuye j.une; elle el1 tros-belle

&

,rh

fenile;

les

Chinois l'appeHem le

;ar'/;" d, la eh,,« .

On

y

e" mpte

)luit mérropoles, doO!

Cait'l1o~

el1 la premiere,

&

H o–

nao la Cecoude.

L'''g.

d~

eaifung

:1

eompter de Pekio,

2.

H.

lar.

31'.

fO.

L ong.

de Honan, 7·

f ·

lal. 31',

3·(0.J.)

.

H O N D

R E

O U

S,

r.

m.

(Hifl. mod. )

e'ell le nom

que 1on doooe

dan~

l'iOe de Ce lan auX nobles, qui

.iof¡ que p,,·tout ail,lem , fe

di(lin~uent d~

peuple. par

beaueoup 'de hautel)r

&

"'.rr,'~", ~.

lis al)( le "rOl! de

porter uoe rohe qui deKeod ju[qo''¡

la

moirié de lem,

jambes, de laitrer IOmber lel1rs eheveux fur

lellrs

épau·

le" de porter I'épée

.'1

eÓ é,

~

unt eJnn

~

l. maio;

entio d'avoir la

t~te

couve"te d'lIn bonoe, en fOlme de

mItre. Le plus qualifjé; d'eotre le;

hondr¿9"J

¡(mt eeux

dont le roi

3

eciot le from d'un

rn~Jn

d'",

&

d'.r)lenr ;

011

le n

Il)",e

mttnditl1l&:

11 n'el}

point

pertni

a\u: no–

bles de cOotrla" des .llianees avce des per(olloes d'une

tribu inférieure

a

la le

Ir'

&

le Cupplice le plus affreux

que le roi inflige aux

til1c~

des nobles qui lui

~éplaiCent,

en d1! les fuire proflituer

a

des gen< de

la

lle du peu–

pIe, qlli

(" O!

re~ardé

eomme abomioables,

&

que l'on

exc1"d du droir d'h,biter daos les

;Ville<.

!:iON

DT

'LE,

(G/og.)

bras de mer, qui s'ell imro–

d'm dans les terres entre la Flandre

&

la ZélanJe, par

l'embouehure

oecide~

i.le

de

l'

Erea~t

í

ee n'ér.Dit

9

u 'un

,e.mal dans Cal) origi.)e

en

980 ,

mals une temble mon–

d~~iC)9

qui (urviut eo

1377,

&

qui Cubmcrgca

plufi~urs

v,lI.g~s

dans ce, eodroir, en

ti¡

un bras de mer tel qu on

le VOll aUlourd'l¡ui.

(D.

J.)

HONOURAS

(Glv•. )

provioee de l'Amérique

[epteotrionale daos la oou,,'elle ECpagne,

l~

lQoll de

la

mer du nord ,

&

d'uo 1!,lfe du meme oom que

h

pro–

yinee. Elle ¡:O dans l'audieRee de Guar;mala; elle a eo–

rifou

1

fO

lieuC§ de

lon~,

Cm

8"

de la,!¡e ;

~hrinophe

(lq\qmb en tit la dée 'lVene daos Con quatncme vo–

yage en

!

1'Ol; Valad Iide, autremeot dlte C.mayagua

év~ehé,

eo ell 1'1

eaRu.le

.

(O.

J.)

, HOl'fFLEUR ;

(Gjo;::)

ville de Fraoce el! haute

Normaodie dans le Lleuvin, avee un b,'ll port,

h~ute

junice

&

amiraulé ; eette ville s'ªppelle dans ks .oeren,

dtres,

¡io'I?1l'flell

&

HUnntftolum;

ce nom, (uivant M.

!je

Valoís,

no,it. Ga/l. p.

~4r :

v,em de

ham,

hameau,

"illage,

&.

ft<ot

ou

fle";,

'qu'm éerit

wli<t

dans le

P~ys­

Bas,

&

<j.,i fignifie un petit

golfe

de mer, nn hen

hlUé

fur no

golf,.

De

Ha"'ft<ot,

on a fair

Honfl<tl,

&

a

cauCe de la eonformité avee le mOt

ft"'r.

qUl

di

eon–

DU, on a ajoilté uoe

r

:l.

Honfteu.

Elle étoi¡ 'dé)a

co~O'le des l'an 12qo; elle en

C~r

la rjve gluahe de

h

Sel–

ne,

" ·3

Iieues du Havre,

a

l'

' lielles S. O. de QUlI–

bceuf,

3

N. de Pom-I'Evéque',

6.

N . O. de Li7.i.eux.

16. S.

O.

de R ouen,

42. N. O.

de Paris.

L~"g.

17 d .

43'· 17"·

lat.

'f9 d

2f'. 21".

(D .

J.)

.

HONGNE

rTe

r.

f

(Smlpture.)

eCpece de elCeau

pointu

&

quarré, Ce¡vaut

prinoip.alem.ot

aux Seulpteurs

en lJl.rore.

f

7

0yn lu PI. d< S...lpt.

, HONGRE, r. m .

(Marlchal/<Yie.)

e'eOle Chcval

Hu'oq a privé des

p.rt

;.. néeelfaires

¡¡

la géné!ation.

par \In opératiol1 qUI confi tle

¡¡

lui 6ter les reillcules,

&,

quí s'appdle

h~1Zgr<P.

Voy<:t.

les

artic/u

CHEVAL

&

CHATRER ,

, HÓNGRELINE,

C.

f.

(GraJ..

&

mod. )

forre d'.–

jllnement de, fetT)mes, foit en ehemiCette :\

gr~ndes

ba–

['lUOS. On prérelld qu'il a été .infi

appell~, p~ree

que

l

'uC.ae

en en veou de H ongrie.

HONG Rl E,

(GI06 . hijl.)

vane pays en Afie

&

eR

Enrop~:

.

La

Hongri,

a(jatique,

ot,

la

gra~de

HOflg ri<,

étolt

¡'.ncieooe p.rtie des Runs ou H ongrois, qui paerereot

I'n

Eur~pe v~rs

la déeadenee .de Ilempire

i

114·

de LiOe

la mer a l'oneO! de la

Blllg~ne

en Afie;

&

eo~me.l~

Bulgarie et! eotre le Wolga & la mont'gne

4e

Caf, qUl

en uOG braoche

d~

I'l'naüs des

aod~ns,

la 'grande

Hon–

grie

en

~lltre

eette

nloi1[agu~

&

l'lnilch, e'ell-a-dire en–

tre les 81'.

&

les

10''>.

deg, de

10"gif,~4<,

&

entre le

fO.

&

le

j'j'.

deg. de

latitr¡de.

La

yalaq~ie'

étoir au S. de

la

Hon,i.rit;

ainli ce,'trois natiolls, les

l

Butgar<!s,

les Hon–

~rois

6(

les Walaques étoiem' voifins en Afie, eomme

lis le Coor en Euro.?c. ·

.

La

f/;''''gri<

el1 Europe e(l un grand pays d'ElIrope

(ur le D aoube: (oit que 'les

H(ln~rois

Cqitnr

d~Cecodaol

des H uns , ' l" ir qu'ils n'ayeO! rien de eommun avee eUK

que de leur avoir fuceédé, noo conreus des

terre~

qu'ils

pofrédoieO!

a

l'oricO! du Danube, ils le paererent

&

s'~·

tablireot dans les deux PanDonies •

La