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H 1

l?

Bochard <fans Coo

Hilr.::..".",

6c

apres lui Lodolf

.uns

Con

hlfl.ir

~

ti'

E/hi.p;',

001

prétendo que

l'h,pp••

1'.,8>,,,

en

le

bébémOlh de Job,

ch. xl. v.

10.

lDai, ils

0!1!

ftil

.la-d.elfu~

des

rec~erches

6c

u!le dipenie d'bu–

dmon bIcI} onoules:

00

Ignorera tOUJOurs ce qoe e'efl

que le

hlhlm.,h

de Job,

6c

cel1X qui cwiem que cc:

mot déligne plDIÓI

1'¡¡l phan,

qu'aucun aurre animal Ccm–

bIcor le¡ mieox fondés eo raiCOII. Peul-erre encare que

le mOL hébreu

blhl",.,h

figoi6c [eulemenc en géntfral

.oures COrte¡ de

bil<l

d!une g.aodeur énorme ' entin les

deCcriplioQ~

que j'ai lu de cet animal dans l'hifloirc: gé–

néralc de¡ voyages ,

C"

eonlrediCeot,

6c

Com preCque tou–

tes égalemcol f. ulfes.

¡"~Irmolog!e

dll

m~r hipp.pot4"'~

o'cxercera poinl

les crluques,i 11

~fl

clalremenc formé de

1_...

,h,val

~ .'T.~¡r,

JUf41U;

aiofi

hipp{J,ot4m.~ (jg~i6e ~b~al

tJ9.ua.

~

z"I''';

11 Cer.Glt plus

nalUr~l

de dlfe

hlpp.tam~,

mals 11

porle en IatlO daos toos les ameurs le Dom

hipfopota–

milI,

par nemple da!}. Aldrovando,

de 'lIJad. diglt.

181.

Gc[oer,

d,

'filad. digi,.

483.

Charleton,

~Xtr,.

14. Joo–

fion

ti.

'1"

a

4.

,Ó.

Ray

,fynops ""imal

113.

Monri,

Exot.

Pelloo,

de

"'1""',

H.

&c.

11

f¿udroir du moins cOlúerver

i\

cet anim:ll le Ceul

nom

d'hippopota",~,

pom oe le pas confondre avec uoe

"Cpe"e d'IOCeéle eje mer !lue les

l~fins

nommem

bippo–

c."'.P"I,.

&

<:lue oous .ppeÍlor¡s rrcs-impropremellt

e¡'~'Val

¡am,.

(D.

J .)

. H

P

fI

O S, [.

m .

(M~J

)

c'efl le nom Coos leqoel

~altre-}<ln

dé!igoe

,!q~

m.al;

tdie des

J~"X,

qui confifle

;dans un

mouvem~nt

contlouel de ces organes, qui ne

eeuvr:nr pas Ce

6{~r

&

Cont d'une il](hbilirc! qui Ile

c~C­

te pOII}¡;. ce

~u~

cer auteur 3rtrlbue

a

c~

q,le Je flux

des efpnrs ammaux fe

f:li~

inordi"lm",t

dons les tlJ'l–

[eles des yeax, mais fans violence; ce qui diOillgue le

cas de celui des convuUiOlls

d~ns

ces

rpéllJe~

Qrgaoes.

Ceue maladie viem [ouvenr de nailrance;

&

alors

elle ell incurable, paree qu'ello efl )lelfer d une cOllfQr–

matioo vicieuCe des

org~nes

qui

rervcn~

!

11'0uvoir les

'Yelu: ou elle en un aCCldenr des fiévres ardentes ; dans

ce cas, elle ell un forr mauvais

fi~ne,

qni anoonce nn

gnnd embarras dans le cerveau.

VOl"::'

C o

>1

V

U

L–

S I

o

>1,

Y

E U ,..

VOY'::'

le

7rttill d<J ínalaJie{ d, /Iwil

d

Ma~tre-

J3I1.

.

.

HIP.PU~

I&,

r.

m.

(M-J.)

;••'/'"

d'1• .,.",

''1"Uf,

1"?'I",ru;

Cefl un terme

qn~

l'on trouve elOployé dans

!es

~uyres

d'H.ippocrare

(F,pi4.

li~.

1/-11.),

par lequel

rI

parolf voulq".

défi~ner

une Corte de fluxioo longue

6:

0plOlhr., q'll

Cc

torme

d~n~

les atlles ou Cur les

parlÍes g<!nhales de ceux qui voot trOP Cotlltenr

&

trop

long-tems

¡¡

cl1eval ;

il

Cemble 3uffi que cer auteur venil–

le

'ndiquer UDe foiQle(fe OU quelqu autre incommodiré

de

celte natore, qui ptovient de la meme cauCe dans

cC$

·in~mes

panies

t

c'efl le fens que donne

3U

mor

],ippllril,

('oefi,!s, dal1s Con ouv13ge inlÍtulé,

OEcono,

mi"

/lippoeratis:

on peut le conCulter fur ce [ujer .

Y.1.~

A

I N E,

f

L U X ION,

F

o

I

n

1, E 6 S E .

l{lPPU,RITRS,

r.

m.

pI.

(HifI. " at. Li,h. /.)

pom

que les

l'l;ítl~13liOes

donnenc • une eCpece de

co–

nll

caunell~

ou fillonué

i\

fa Curface,

&

qui relfemble

. 1

1.

pr~ne

qlli s'appelle

hipp./"ris

~

..,

¡arin;

iI

eO com-

'"

ofl! de

pIU1JeU~S cylinqr~

, qui s'emboilcnr los uns dans

es aurres, de lT!aniere qt¡e la

p~rtie

poimue de l'un

s'ajufle dans la partie conca"e ou creuCe de l'aulre, ce

flul forme comllJe de' articulations

all

jointlues.

11

efl

l

are ·de rrouver des

hippflrit<J

entices dans le Ceio de

:l

terre;

00

n'en trouvC! que des frngmens ou arricu–

ations

(~paré~.

Wallerius e-n COmpte neuf cCpeces dif–

féreotes qui variem pour li! figure;

il

le< no:mne

hip–

~Mriti

eoral/;,,;,

V!J'::'

Ja

Mi,,/ralqgic

de Wallerius,tome'

11, P:

3&·

tt

JI,

~e~

hippllrireJ

fOllr cqmn]UllS

en

Goth'e.

11

y .~

des

a\1r~rs

qui ont dooné le nom

d'hippuritcs

a

des pierres, daos leCquelles on a cru !rollVet de la

relfemblal1ce avec

t¡~e

Celle dI' cheval . (-)

H 1R A

R

A,

f.

m. (

Zoolqg.)

ao;mal dn BréCil, qui

relfemble, di¡-on, beaucoup

a

J1hyene: il eO rachere!

de bl3nc, <le noir

~

de bruo: il vil en rrOllpe;

il

Ce

lIour,il de

mi~l;

s'jl

tencontr~

Un glleCpier ou une

nI,

che. il fouille,

iI

peree; quand

iI

a ouven un trou,

iI

y,

c:onQQit fes perits,

&

il ne mange que quand i1s rom

ralfafic!s.

H I.R

C

A N \

E,

f.

f.

(GI'g.)

provin~e

de Pempi re

des· PerCes, renfermée daos le pays des Parrhes; elle

"avoir au midr, la ·M oídie au coueham, la Margiaoe au

levant,

&

la mer CafRienne au nord . Zadrocarr.

&

AdraCpc en étoient les capi¡ales: c'efl auiourd'hui le Ta–

buin.o ou Mannderan. Cette conlrée étoir renom–

mde

pour Ca fertiiii6 .

7'o",c

Vll/.

HIR

H IR

e

,

f.

m.

Urm.

ti'

"{tr.n.",,,,

efl uBe

~(QiI

de

13

premicre grandeur la m!me que

la

chevre.

VOJ<z

CWEVRE .

H

I R

e u s,

ttrnu

a'

AII4to",i~,

putic

de l'orcille

C!I'–

terne, ou certe éminence qui el1 procho des r.empes

6c

Cm

laquelk

iI

vienr du pOlI . Ce mor e(\ laoD,

&

fi–

goitü:

che-vrc

ou

bo"c. D iO.

d~

7rl-o."x.

• HIRONDE (Q.UEUE

»')Ar< ",Ichall .

c'di

une forte d1aífemblage qui preod fon nom de Ca forme,

arrt!2 Cemblable

i

celle de

la

queue de l'hiroodelJe,

qulon appelJoir aurrcfo;.

&

qu'on appelle enCOte dnos

quelquCli endroi!>

hiro"de.

11 Y

a des ouvragCli de forriti–

c.tioos formés de dcux 3I1g1es Iilillans aux deux extrémi–

tés,

&

d:uu anglo r.mrant dans rnn

~entre

avec 8aoc, non

paralleles , m,"s

[e

raprrochant lIun de

I'au~re

eo allaor

vers la place, qui portel}!= le meme Dom .

• H

IR M E, r.

10.

(HlfI. a·dl[.)

la prem'ere par–

rie des rropains, fur le roó de laquelle on ch.Ole rous

les tropaios qui le Cuiven·t.

&

au.quel.s elle [en d'.mieo–

De.

I/~y~~

T

R o P A 1N S •

H \ R

O

N

DEL

LE,

rubo fém.

(Hifl. nat, Orni,

thol. ) hi""ndQ dq",efli,,, ,

Willughbi a décrir

uo~

hiron–

delle

femelle qui peCoir

i

peine uoe once; elle avoir

pres de fept pOllees de longoem depu;s le bec jufqu'a

1

extrémilé de la queue,

&

un pié d'envergure . Le

bec éroil ooir en-dehors

&

noir~rre

en-dedan.,

I~rge

&

applari

pr~s

de la rere,

&

pointu par le bour¡

la

IJI1:

gue

&

le palais avo;ent une couleur jaUl¡5Ire;

les

piés

éroienr courts

&

noidrres; la rele, le GOU, le dos

&

le croupion, onr lme belle aOllleur bleue fODcée

&

pourp,rée;

iI

Y

a fm le devant d.

l~

rele

&

i

1endroir

du

IlJemoo une rache rouge1tre; la gorge efl de la

m~me coqlcur que le eou; la pQirrinc, le veOlre

&

les

pelires plumes du delfous de l'alle CÓnt de couleur blan–

chille,

m~lée

de quelques légeres leiOles de rouge; la

qUeue efl fourehue

&

cqmporée de douze plumes qui

fOnl noires,

a

l'excaption des deur du milieu, qui o nt

des r1ehes blanches ; il

Y

a dans cl¡aque alle dh -huir

grandes plume. qui fOIll noiratrcs, ma;s les

pe¡it~s

out

uoe bCllle coulcur bleue .

Les eouleurs des

hir. "J,l/a

vari<Dt;

iI

Y

en a de

tou~C$

blanches;

on ne

r.'\1(

p:l .

ene "re

bien

cer!:lint:ment

oU ces oiCeaur p.lfenl l' hivor. W illughbi

~tJlt

p'>rtt,

a

croire qu'il, alloiem dans les

pay

ehauds, tel.s <jue! l'E–

~yple

&

l'Ethiopic · il Ilouvoir

m

ios de vrallfemblance

a ce qu'ils Ce

rerit~lfent

&

f~

lioU.m c1ché. daos des

areux

d'~rbres, d~l1s

des fellres de roehers, ou dans

1'03U

Cqus Jq glacc ,

.

Ii

I

R O N

DEL LEn

I!

R

t

V

A G E,

h"""dq ripari.. :

c'eO: la plus 'perire des

hirond<l/a;

elle differc,; du

mar–

riner

(V"Y":'

M

A R

T I

N

ET . ) en ce qu'elle n'" pas

~e

croupion b ane, ni les piés revetus

d~

plumes: elle

01-

che daos dos trous fur

l~s

rivages.

H¡ 'RONDELLE DE MER',

"irundo m!Jrinlf,

Ah

drovande . Cel oiCeau

3

m 'ns de rapport

~vec

les

hi–

rondella

qu'J",oe des oife"ux d'autre genre .

11

el1 , Ce-

1011 Aldr'ovandc, be.lIcollp plus gros qu'unc

hírond.lle,

&

iI

a les Jambe' ,plus 10llgues

1

le ventre efl

bl~ncha-,

rre; la rere,

I~

:ule

&

le dos

Com

roux; les ades

&

la queue Conr tres-longues commo dan. les

hironJe//a

noiratres en-deffils

&

br.unes ell ddrons; la queue eO:

fQurchue· le bec efl ·fort

&

noir

¡

l'ouvermre de l. bou–

che efl grande

&.

rouge ;

il Y

a \lne bande noire qui

s'éteod de chaque c6t<! depuis

I'ceil

preCque juíqu'¡' la

poirrioe cemm. un collicr; les piés fom tres-noifs . Wil-

lup,hbi,

Ornit". voyn

O

I

S

E

A U .

H

I

R O N

DEL LE» E M

E R ,

..

o)'.~

BOl SS

O N

VOLAN:r.

H

IR O N

DEI, LE,

(Mat. m.d.)

les jcuncs

hiro"dcl–

la

COIlt fon célébrées

dan~

la paffi n hyOéril¡ue, I<s

eonvulfiolU

&

les aGeouchemens diffi clles; mais los

cf–

fers ne répoDdem pas , eetle

cél~briré.

On les fait en–

rrer dan< une cau diflillée compoCée, -:\. laquelle elles

donnent leur 110m

&

ri~"

de plus.

Vo)'e.:t.

E

A U X

DISTILLÉES.

Le nid

d'hiro

"d.lI

,

palfe pour [pécitique appliqu¿ ex–

térieuremem daos¡

l'r rquin3ncie;

cette vcnu ell

cncore

précaire; la tienle

d'hirol1d,l/e

o'en pas p!us ·dlCcuffi ve,

ni plus

obc~cant.

que celle d'uo .'!rre OICeau .

(Jo

~

H

I R O N

DEL

L E

(pi"" d') Hifl. ndtu"II., L uho!.

I'on nomme .infi des pierres fart perires, que Wal\e–

rillS

re~arJe

comme de

petír~

grains d'agote, mais que

d'autres auteUrS prennenr avee plus de taifon pour dos

coquilles . El1es ont

~-peu-pres

la figure

dcos

pierres que

I'on nomme des

y~ux

d'écreviffeJ;

11 Y en a, fuivant

Wallerius; qui Com convexes d'un C61é,

&.

.pplar;es

de I'autrc; d'antreí ont un cOté e oncave; d'aurres Cont

ovale¡ ;

d'~utrcs

cn6n

[ODI

,\uarr:ee~

, maió [ODIeS

COOl, eX-

Z

lo

rre-