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mu.rion
2 2111
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do:t dmx Con, eonCleouC.
f~rH
a"iculuion interml!!d·.irc
on a /Ulo!ellcmmt prononcé brci l'on de ces dcoI fons'
&.
commonl!!mem le premiee. pooe
l
itt< le dera 'rl:
mm, d'un
hU'N'
,op marqué,
&.
l'IQcommodj,é
J'on
bl,lIemcn, tr p ,oúlmo. Lorfque le
Con
prepo(iIT
'"n
tr<>ovt pro le • re préter "
UDe
""pidi'e! atrn grande
flns
~lre
10121emem fopprimé,
,e.
deox fans fe
rODl
pro–
noneé, d'un fcol eoop de voíx: e'en la <tiph'hongoe.
'en pour cela que 'OUIt diph,hongoe ri<Jle eO lon(ue,
dan quelque IAngoe que ce foi" puee que le fon dou–
ble rlIJni, dan G durl!!e 1 ... deox 'ems des fon! lle!men–
u ire donr il en rtfulte!:
&
que qo¡nd le. ber
)il)~
de la
yerfilic"i"n o"' pone! le,
poC'~
:i
dé<ompoecr qne <ti–
phlhongue pour en prononcer réparc!mL-n. les deox par–
teS
élénu:Dwr~
(Vnn .
D.í RHt:),
11> onr 10ÚJOUC> fait
br.e le: fon prépofilit. i par une heenee con.raire ih
001
voulu fe déb.rt.lTer d'one fyllabe ineommod", t'n n'en
r.ICanl qu'une de dcux fon< conCc!'
cu.if:'loe I'ufage de la
Iongue ,,'avOil pas riuni, en UDe diphlhon¡:Qe
(V.y.
S
y
N
r::
e r'
»
o
N
L S
l!
&
S
y
N
~
R ¡,
's
E),
celle fyllabe fa-
ice
~
.0UJours
~té
looglje. comme les diphlhonzue>
ufuelle"
,
fO .
Quoiqu'il foil vr!i en génénl 'loe l'
biatlll
en
UII
" iee réel dan la parole, fur-Iout entre deut m
[S
qui
fe fuiyem; loin cepeOj1nt d'y déplaire ¡ou]ours, il Y
produil quelquefoi un bon cITe. , c<>mme il arrive aUI
dirfon9ance de pJaire dans la Muliquc ,
6<
aU1 ombees
d'l1~
un o.Melu, lorfqu'elles
y
fone pl.cée, aVee imel–
liflcnc•. " r exemple, I rfqu R1cine
(Albalir, a8. l .
re.
J.)
nlet dan la bouehe du
grand 'pr~lrc
Joad
ce di–
[eour
(i
m1Jellucur
&.
li
digne de Ca m••iere:
C~/u;
fluí
nut
101
frun
J
/4
rllr~Nr
Jn
11011
l
Sa'l
ollffi
do ",lcha"J arrCr<r lu eomploll .
en-u bien cemin que
I'hiatul
qui en
a
I'héminiche du
" rcmier ver., y CO:I ulle faule? M . l'abb6 d'ülivel
(Prt(od. frm'f. page
47.)
fe contente de I'excufer par
14 rairim du rep s qui imcrrompt la eonrinu;té des deux
fans
&.
le blillemenl : mais je ferois furt lenlú de eroi–
re que cet
h¡atlll
cn id une v¿ritablc ncau!é;
iI
Y fait
image, en metranl, pour ainti dire, un froin :\ la capi·
dit~
de la prononciation, co mme le TOIll-PU,rfanl me!
un frein
j¡
la fo reur des 6015.
J
c no pré!en
1~
p.ISdire
que le pncle air eu explici,crneut ceuc imeminn: mnis
il cn ecrtnin que le fonJcmom des bC1utés qu on admire
:1yec cllIhnur.afme dans le
pro(tnnbit h"",i
bOl,
n'n pas
piu, de folidit,,; peUt'€"c méme en a-.-it
mnin~.
6°. Quoiquc JC n'aye pas expliqué II)Ules les incon–
fé9ucllces appnrelllcs de la loi qui e
nd~mllc
('hint'l<
6<
qu, en
I~iflc p~Urt3n!
C,\bnfier un l)C1nd l10mbre dans
toutes
kit
lnngues , l'ai cru ndmmom pn"voir jojndrc
m .,
rell~3r,!~cs celt~~
de M . H.trduin: peul-erre 'In.
In e rnbtn31( n de> unes avec les a'llres
~ol\rra
Cervir
quelqne
JO'" J
le eoncilicr
&
a
f.ire dlrpurollre le,
pr.!.endl1cs
cOlllradi~¡'¡on,
du Cyficme ne prnnoncialion
donr il
sln~it
,ci. En llénéral, on doi. Ce dé6cr beau–
coup de execplions:l une loi qui parolt ul\iverCclte
&
fondé. en Ija.ure: COUVCIII on ne In emit violó. , que
paree: que I'on n'en connoit pas
le:'!!
IllOtits,
les cauCe. ,
le rel linllS, le dcgrés de CUQotdioBtion
i\
d'nulres lois
plus gún':r.,le, ou pl,l< elTcmieltes. Eh,
C.nsfoni r des
m .llieres
~rnmma!ieal<!!¡,
combien de regle conrr.diéL i–
rct
&
d'c<ccption au)ourd'hui ridicule< , qui remplilTenl
le
ancien livres élémentaires
&
p,ll1liem< de moder–
nes,
qu'une nna(yfe eroae
6<
approfondie mmene
f.nsembarras
it
un
pe.ilnombre de princiecs égalemellt
Co –
Iide
",minel1~
6<
féconds!
(8.
ft .
E.
111.)
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l 13 E R L I N E,
f.
f.
(Ma""fa8.
etl roie . )
é!oF–
fe dOIll la chulne
6<
la Intme ibnt de Reuret .
voyr?
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N E,
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s'en Cen dans
leS manufa lure de ropilTeries.
Voye::.
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N lE, P.
E 1l RED"
r.
f.
( 1Ii[l .
I1nt.
Li–
th,I.(i<
. )
Quc\ques :tu.curs anglois nommenl
lapiJ hi–
brr.i<uJ,
olt
"g.'n
h;¡'rr"ic",
IIne cfpece d:nrdoife grnf–
flere qui fe trnuve en IrI.nde
4
en
An~le.erre,
dsns la
province
d~
<¡omn\crCcl. Q n ep foit uCage avee fueces
dans dlfférellles eCpeces de ne\<res,
&.
celle pieeec en fon
7'.",.
vll/.
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les fumoms de gt'Io e, mo'ndre
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H/!:,r•.
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12 ,'icol
qoe le golfe, 1U mid, duquel die en 6tuée. prcnoit le
nom de
M,¿arnt/j¡
ji".I:
fe:> ruin foot entre le, deo
ruirf",uI oommés
Cil.''''''
ji""",
6<
ji"",.
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C'e
d.nsCelle dern'ere
!Ji6l"
que I'on .ecu...lloil le
m e:tleur miel, Cdon
S
'rus ,
fur Ce vers de irgilt' ,
ul.g.
!.
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ff.
( D .
J.)
HIBOU
011
CH T-HUA T,
"Iu<o
",i.... ,
f.
m .
( !li{l. "atur. O.."i,bo'0/1..)
Idro,·. oifC:lu de proie
qui ne forr de fa rClrai,e que I nuil. Ce
bi¡'ou
m! le.
M erÍl par vVillughbi, pefoit
\>r~s
de douze onces; l'eo–
vergure
lO;'
d\Hlviron trois
pié ;
le
bec avnit un poucC!
6<
aemi de
lon~ueur,
n
ét.,il blane
&
eroehu . Cet oi–
feJu 3\'oit des plu mes blanchcs, douces au toueher,
6<
difpoiécs de fito;:on qu'ellcs formoient une forle do cncf–
fure qui s'élendoil de cbaque cOté de
la
.¿,e depll' 1",
narines Jufqu'au menlon ; derriere ces plumes, il s'en
trouvoil d'aurres pln< termes
6<
de eouleur JOun}tre; les
yeu. et.)iem enfoncé. au milieo de tuUlCS Ces plumes
qui s'éJ-lvo;cO[ to ur autOlJr;
la
poirrine,
le
ventrc
&
le
deffi,us des oltes é,oient blanes
6<
parfemés de quelques
laches brunes; 11
t~te,
le eou
6<
le dos avoien. du rnux ,
du
bl.nc&
do noir ou noirlLrc qui formoient des tignes
6<
des laches. 11 Y avoil dan> ebaque alle villgt' quatre
gUllde5 plumes qoi étniont rouflO tres
&
ponauécs de
noír , ks plus geandes avoient quatre taches brunes,
&.
les plu pelites feulemcnr Irois; \es alle él:tnt pliécs.
s' élendoient juCqu'au bout de la queve
J
&
mcme au,del3 .
L a queue avoir qU.lre pouces
&
emi de longueur ;
elle e!loit compoCe!e de douze pllllnCS de mc!me eouleor
que les alles , elles avoiem quarrc taches brunes tranCver–
fales; le bord extérieur de ces plumes
&
de celles des
aile élo;t blanehiltre. L es jambes éroienr coovertes de
duvel juCqu':tux piés; les doip,ls n'avoient que quelqllcs
poils ; le b:Jrd imérieur du doigl du milieu éloi. deolelé,
le doigt eotéricur pouvoit Ce diriger cn arriere eom–
Ine le pollérieor . L es reufs de eel 0;fC1U fom blanes.
W illughbi,
Orl1itb. voye?
O t
E .~
U .
H
l B
o
l'
e o
H.
N U,
alfil
five
lIUOIIlI, ajiu
1
oif(:lU
de
proie; W illughbi a donn,; l. defeription d'lIne femelle
do cetle cfpece d'oiCeau 'luí pefoll di. once . Elle avOlt
en viron quatone pouees de
longu.urdepuis I'exlrémi–
lé do bec Jufqulnu boUl de la queue,
6<
trois piés d'en–
vergure. L e bec é.oil noir. Un double cerde de plu –
mes enrouroi. '" fuee de eel oiCeau COl!lme cclle du
bi–
"0"
('l/oy<z
1-1 ,
n o U ); les plumes du eerelc extéricur
avoicllt de petiles lillnes naires , blanches
&
roulTe,; les
plumes du cercle imérieur étoicm rou lTes nu-deITou des
yeux, I'cndroit oü les deux cerdes fe .ouchoicllt éloi,
noir5lre; les plllmc du velllre
&
des piés avoietll ulle
coulcur roulTe ; les plume de la poitrine étoien, noires ,
&
avoionl le bords en partie blnnes
6<
en parlie
J~unes
.
L e deffous des alte élUil rOUI
6<
le deITus ovn,! une
eouleur melée de noir , de cendté
&
de Jaune . L e dos
é.oil de mtme coulem que les a7lcs . 11 Y avoil
!lit
la
tc!.e deu. bouque.s de plumes en forme de cor.nes ou
d'orcilles longues d'un pouce; ch.que bouquel é'OII CBm–
poCé de !ix plumes, don! le mili"" étoi, noir; le
bor~
e:nétieur avoit une cotlle", rouOe,
6<
I'imérieur élQlI
m~lé
de blane
&
de brun . La queue !\Voi. (ix ou fepr
b.ndcs
t\oire~
6<
élroitc5; le fond qoi féparoit ces .aches
é,oit de couleur cendrée fur la face Cupéricurc des plu–
m es,
6<
jaune fur I'inféric",e. Les grandes plumes des
a' les avo.ct1l
a
peu-prcs les memes coule",s que celles
de la queue. L es piés é.oieo. eou" erlS de duve. JuCqu'aux
ony,les, qoi avoien. uue couleur
uoitr~"c ,
L e bord in–
térieur du doigt du m,lieu étoi. applali
6<
IranchaD!;
~e
dnigl eIlérieur pouvoil s'élendre en acriere. W illughb"
Or"ith. Voy<::.
O
J
S E A U •
X
2.
AjoUloDS