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FOU

fi

mal, qo'oo a de la peine

a y

entendre· ce qu'on fait

de mieui .

.

Ercker, aula [ubterra11ea, & c.

J

f74-

V oye:::. l'arti–

cle

E

s s

A

o for

e

ce nuteur

&

1

'avnnr-de"nier.

/li<h)'_mia Andr<a: L ibatúi

,

&c.

fol.

Francofurti

,

r6c6. D aus la cornpilation, ce medecin a raffemblé nu

fujet de;

fourneaux

&

vaiffeaux prefque tou t ce qui a–

-,oit etiflé avnn t lui . C'dl celui qui

a

le plus écrit

fur cette matiere,

&

il a quelquef..,is bien écrit .

Ept~rgne-bou,

c'ell-a-dire

nowuelle

&

par-ri devant

non-&ommune ni mife

~n lumi~re, inv~ntion

de certainJ

&

diTJers for.rneau x artifi<iels,

&c. par

Fran~ois

K

ef–

Iar, pcintre

&

habir.n_t

á

Fcnncfort,

m~intenaot

publiée

"n fran<;ois pour

le

boeo

&

pro6t pub

he

de la France,

&

de tous ceux qoi ufeot de cette 13.ogue, par J ea n–

Tht!odure de l3ry, marchaod libraire

&

bourgeois

penhei!fl , quien fur le Rhio,

t6tg.

pctit in-4°. de 72

pages.

Ln ilémens de Cbimie de

M . Jean Bég11in,

&c.

troíficme é

dition

,

i11-12. Parir,

161.4.

Rhota»i

op.ra

chimiawica,

in- t

~ -

Frnncof.

163f–

Cet auteur

comi

eot peu de chofe.

Frtrni notJi philofophici,

&c. per Joannem Rudol–

phum Glnuberum,

Amflel.

16;8.

&

Juiv.

K unckel laborat. chim.

1670.

Traite de la Chimie,

par feo Chriflophc Glafcr,

&•.

111-12..

P~tris,

1673.

Le Fivre, feco nde ldieio11,

in·

u .

2..

vol.

P arís,

1674-

Pbarmncopi• royalt

~e

Cbarar,

4Q·

16¡6.

Charas

.efl

celui des

Fran~ois

qui a le micux écrit (ur le1

four–

n<at<x,

&

qui a le mieux conou la néceffi1é d'en don–

ner des defcriptioos détaillées.

Le Mort, Chimia

ratio~talis

&

experiment.

in-

n .

L1f!Jd. Bae.

t688 .

:f.

Joac . Beccberi tripus hermet. fu<

/t¡;orat. por–

lllt.

&c. io-12.

Francof.

1689.

Barneri chimia phtlo[ophica perfdlt delinrattJ ,

&c.

ic-12.

N oriberg.e,

r689.

CoiJrs de Chimie,

par N icolas Lémery, 8Q.

París,

270 1. M . BJroo o'a roen aJoOié

:i

la parcie des

four–

•utu~x

.

.

111angeti bihliothua pharmaeeutica.

&c. fol.

2..

vol.

1703. 11

en bon d'avertir que, quand

oou ~

avoos

ci–

Manget fan5 no

m

d'ouvrage,

e'

en celui-ci que nous

avon s entendu . La fixieme

&

Ceprie me planche de cer

autcor qui foot CODICOUCS daos

Ja

meme page, font de

Raruer; les au1res foo1 1outes les

fi gures de Charas ,

&

quelques-ooes de celles de le Fcvre.

~langeti

theatr. chim. curio(1<m .

fol.

2.

vol.

170f.

L"

mlchani'l"' d,. fe

u,

&c. pas M.

Gaug.er

, París,

17 t

3

ou vrnge excelleot qoi o'en pas

arTn co

nou .

BtJrcbu[m,

ele~nt.

chim.

4Q·

Lugd. Batav.

1718.

C'c:ll la

feconde éditioo de l'ouvrage que l'au1eur don–

na

en 1698.

fous le titoe

de pyro[opbitJ.

Vulcanus famulans

ou

micbanique du [,,.,

ouvrage

denioé

a

l'épargne do bois, & Otile aux Fondeurs, Sraf–

feurs, Chimines, .FuCQilles,

&c.

par j oh. Gevrg. Leur–

maoo,

in-8Q.

troi/ieme édi1. 173f· L a premicre ell de

1723. Ce Jiv re, qui efl en nllemand , embralfc dans

n

Planches

&

1

f4 pages, rout ce qui efl du refforr

de la méchanique du feo. L'aoteur

a

profi1é des poe–

les de

K

es las, des cheminées

il

ventoufes de Gauger,

~u'il

a augmeotés

&

appliqués

:i

d'a01rcs objets .

11

trai–

Ie au ffi des lampes .

11

a

exécuté ce que Gauger annon–

ce daos fa préface au fu¡et aes brafferies,

&c.

Enfin

il contieol en géoéral f11t cette ma!Ícre couc ce qu'il

y

a de plus excellenl, de plus vrai , de plus ingénieux ,

&

de plus Cavan! . Teichmeyer y a pris qoelques-uoes

de fes (igures;

~

il y a tou!e apparence que

e'

efl-

13

qo'il a puifé l'afleél:ation de la figure elliptique daos la–

.qu<lle Leutmaoo efl 1rop 10mbé. Ceux qui voodroot

varier les po€1es

~

l'in6 ni, pourront coofulter fon oo–

-orage, dont ils font

la partie dominante,

&

ils n'au·

ro nt plus rien

a

prendre daos

l'obfcur gallimathias de

Ke~lar.

,

'Ieicbmeytri, iv/1it11t. chim. dogmqt. experiment.

4Q·

¡

7>9, ootwr verr'é daos

les parcies de

la Medecine ,

&

par cooli!quent daos In Phylique. N ous avons en–

cure de lui des élémens ·de cette derniere fcience .

]~<>~ckui

confpellus cbimi.e,

4°. 1730.

Boerba4vii elem. chem . 1.

vol. in-4°.

P aris,

1

7f'·

L 'édttion de Leyde ell de 173

L

Dt

la {onte d, s mines de SchiHtttr.

Ce livre pnruc

"" alle_mand en 2 vol.

in-fol.

.Bronfwik, 1

73!!.

L'édi1ion

fran~orfc

publiée par M . HeliO! ell en

1.

vol.

in-4Q·

Le

premier paru1 ca q;o,

&

le fccond eo 17f3- La pre-

FOU

23!

m iere partie

en

franc;o is , ou

la fecoode en allemand,

trailent de la D ocimanique .

Cram..-; ars docimafliea, L ugd. B atav.

' 739-

&

la

fecoode édition

en

1744· C'dt l'au1eor qui a

le

mieux

écril fur les

_fournra11x,

comme fur l

1

art des effais.

Litbogiogr.ojie de Putt;

la premiere partie paru·t en

ollemand

<11

1746.

&

la

fcconde en 17f !.

11

a doo–

né quelque chofe fur

les

fottrneaux

dans les

llifr[cc/1.

bet•olin.

don t oous parlerons

arti<le

L

u

T .

Carthwftri, elem . chim. dogmae. experim . edit.

¡,.

crmd(l, in-11..

t 7f3·

Rudo/phi Auguftini Vogel,

M. D.

&c.

8Q. Gotr.

17H- C' efl un profeffeur de Gottingue qui

a

beau–

ooup de lumiere, mais qui o'en peut-etrc pas affez n ah–

lien .

On petU encare oonfulrer fur la méme matiere les

auteurs door nous avoos parlé

a

la feél: ion des

fuur–

neaux

philofophiques; les defcripcions de Senoen, 1641.

Horflius auteur des notes fur Gauger;

Strumphii dif–

[trtatio, no;nudla

d~

JitblimatÍIJnÍJ

appara&H

exh;he11J,

Hal:e

I74f· c'en un

ouvrage qui a été (ait au

fuJet

d'un

forerneau

de Teichmeyer, qu'on appelle le

po:,

&

dont Vogel donoe une haute idée;

la verrerie de

Kunckel;

les ouvrages de Stahl; les laboratoires des

chimines; les difl illacours

&

les fournaliflcs de Paris ;

Dorn:eus , Molleros & Crollius ; L udolf pour les

fi.

gures élégan tes,

&

les

1/lmens

de Chimie thiorique

de

M . Macquer . Vitruve ne parle que de quelque>

four·

n eaux

en graod, qu'on peu1 voir dans L iba vius ,

&

oo ne Irouve rien de fatisfaifant

la-defTus daos l'auri–

quité expliquée du

P.

Momfaucon .

C ee article rfl de

M .

DE

V (

L L 1 F R S •

• F

O U R N E'

E,

C.

f. 1erme commun a plu fieurs

ouvriers qui fo nt cuire au four un grand nombre de pie–

ces 3-la-fois; comme le fayéncier , le manufaél:urier en

porcelaine, le potier de !erre,

le pft1iflier ,

le boulan –

ger,

& c.

e'

en la quantité de pieces qu'ils onr enfour–

nées 3-la-fois. Ainfi ils difent que la

fournle

étoic en–

tiere,

lorlqu'i l y avoit au four au1ani de pieces qu'il

en

pouvoit concenir;

&

qu'il n'y avoit que

demi-four–

n ée ,

lor(qu'i l pouvoi1 eo oootenir une fois davamage.

F O U R

N

ETT E, c'en un pe1i1 four dont on fe

f~rt

dans les

man¡¡faélures de Fayenurie

& autres , pour

y calciner l'émail qu'on employe pour les fayeoces.

f/o–

ye~

f'

A V E N CE.

FOURNIL, f. m .

tn

Arcbitellure,

c'efl daos

uoe grande maifon le lieu pre< de la cuiline, o

u

font

les fours pour cuire

¡.,

pain, la paiilferie,

&c.

(

P)

F O U R N 1 ,

1•oyn les artic/es

F

o

O R N 1 R

&

FouRN rT O II. E.

F O U

R N

ll\1

E N

T,

C

m . (

Art mil. )

c'en daos

1'Art

milioaire une efpece d'étui ou de houceille de cuir

bouilli' de bois,

00

de coroe, qui fert

a

meurc la pou–

dre, & qui fe bouche avee uu tampon ou un bou–

chon de bois. Les foldats on1 tOUJOors un

fournimene;

il s'attache

a

deus cordons qui font au bout de la ban–

douliere de buffle, qui fert

a

poner ou foOtenir la gi–

berne , ou l'cfpece de gibeciere, daos

l~quelle

le fal–

dar n\el les charges ou cartooches qu'il a pour

tirer .

Le

fournimme

ditfere do pulverin ou poulverin, en ce

que celui-ci ell beaucoup plus petit,

&

qo 'il ne concienc

que la poudrc pour amorcer,

&

que l'autre cooriem la

poudre pour charger le fulil .

On app<llé encare

fournimene

dam 1'Artillerie, une

boite de cuir ou de carde, qui reoferme la poud re pour

amorcer le canon

&

les mortiers . L es caoonniers por–

leo t le

fournimrne

pendo

a

leur cou en écharpe .

(

Q)

~

FOURNlR, v. aél:.

(Gramm . )• c'e!l

donoer,

maos daos une quantité relative

a

quelque emp loi de

la

chofe donnée; par ex. il m 'a

fourni

de l'argent pour

mon vovage.

11

en quelquefois un fynooyme

d'acbe–

v er,

mafs avec l'idée acceffoire de perfeél:ion;

il

a

four–

ni

fa carriere.

11

s'ernploye d'uoe

fa~on

neuire, quaod

on di! ce marchand , cette boutique, ce maga fi n fom

bien

fournis;

alors . il a l'acceptioo

général~

de con te–

n

ir, & les acceptions particulieres

de

con1enrr abon?ao–

"e de chaque chofe

&

variété de plufieurs-

Fourmr

Ce

prend eo plulicurs

ao~res

feos, comrne eo Efcri!l'e,

ou

l'on dit

fotJrnir une h•tte:

en Mora le ou L ogrqut, a–

voir une mémoire qui

fottrnit

tout:

en Jurilpruden–

ce,

fo11rnir

d"

exctptioiJJ:

en Maoege ,

fournir {on ai,.

.

f/oye:G les articla fuivans .

F o u

R,., 1 R,

(

Juri(pr.)

ligniñe quelquefois

dom:er,

Jignifi•r

,

comme

fortrnir

des exceptions , défcnfcs ,

griefs,

&

autres écritures .

Fourvir

&

faire va/oír ,

c'efl fe reodre garanl d'ooe

reo-