DOU
&
S
A O
VI!
R ;
mais
ré fa la ut
oc peur
~trc
fuivi
d'ue
mi Jol
lit,
paree que la ditronn.nce
1Ie
ne Ceroit plus
fauvée .
P"y'z mu i1émem d, Mufit¡l/e, page
80,
aY–
tie/,
cxxx.
(O)
D
o
U
B
L E-O
e
T
A V
E,
(Mllfi'lue)
'dl
un intervalle
de mufique compofé de deuK oétaves , qu'oo appelle
:Iutremem
'l,únzi,me,
&
que les Grees appelloiem
diJ–
diapazo". V oyez
ce
moe.
La
double
-
oaave
eft eo raiCon double de l'oélave
limpie, c'efi-a-dire, comme
1
efi
a
4;
&
mefure qu'
on ajoare de núuvelles o&aves, les raifons van! rDl',–
jours en doublanr, progreffion qui n'appartien! qu'i\ 1'0-
élave.
Poyez
1
N
TER
V
A
L LE, Oc T
A
V
E .
(S)
D OU
B
LE,
f.
m. On appelle de ce nom,
a
I'opéra,
les aéleurs en Cous-ordre, qui remplacent les premiers
aéleurs dans les rolles qu'ils quinent par maladie
0U
dé–
fout de 7.ele, ou 10rCqu'un opéra efi fur res fins,
&
qu'
on en prépare un autre.
011
dit de I'a&eur en fous-or–
dre qui prend le rolle que remplitroit le prcmier,
il
a
doublé, i/ dOllble un tel roll,.
Choque premiere aélrice
&
chilquc premier aéleur om
leuts
doubles,
&
ceux-ei om les leurs
a
leur tour; en–
forte que I'opéra
ii
Pacis, quelque aeddent qui fur–
vienne e{l repréfenté conaammem pendam lOute l'an–
née aux jours marqués.
11 Y
a auffi des
douMes
dans la danfe . Les premiers
clanfeurs fOn!
do"bUI
par d'autres, lorfqu'ils fom hors
d'érat de danfer leurs entrécs .
Le nombre des fuj ets doO[ I'opéra de Pacis
ea
com–
pofé, fon établilfemeOl fiable, res re{Jources, fes re–
venus,
&
le goal des
Frao~ois
pour ce [peélaele , fonl
de grands moyens pour le porter
a
un poinl de perfe–
élion
&
de magnificence auquel
il
n'efi poim enaore
parvenu,
&
qui femble ne deSpendre maintenan! que de
tres-peu de circonfianees.
Poyez
O PE'R
A .
(B)
D OU
B
L I!
C
O UPE,
(Coupe des Pi,rYeJ . )
On peut
lIppeller ainO I'appareil fuivant; foit une plate-bande
A
B
(figure
2.)
Cur le bord
faill~DI
du palier
FE, B
A ,
Tous les claveaux de la plate- bande doivent erre en
DOU
coup~ ~our
s'oppofer
a
la pef.1nteur vers un point
R
pris en contre-bas
a
une difiance convenable,
&
d'au–
tsnt plus grande que les botées
A B
Jeron! plus for–
tes;
&
les c1aveau
K
du piar - fond, en coupe vers un
point
G,
enforre que le mur
FE
&
la plale - baDde
A
B
leur fervent de .burées, ainO que cela fe pratique .
ordinairement .
1I
ea
évident que les c1aveaux du plat–
fond fOD! effort COOlre la plate-bande,
&
la poutrent
a
vuide vers un point
P
on rien .ne s'oppofe a leur effort;
pour
y
remédier
iI
ne faut que meure les joiors de la
plate-bande en coupe vers un poiot
l'
pris au niveau
de la plate-bande,
&
d'aUlant plus éloigné d'elle, que
!'effoft des claveaux du plat-fond fera moindre . C'efl
qu'on appelle etre en
dotibl. cot/pe,
paree que les cla–
veaux de la plate-bande font voutés de deut Cens dif–
férens, I'un conrre la peCanteur de la plale-bande, dODt
la dircélion efl perpendiculaire ¡¡ I'horifon,
&
I'autre
contre I'effort des claveaux du plat-foDd, que 1'01) peu!
regarder comme une pefanteur horifoDlale, puifqu'
i1
n'efl qu'une décompoOtion de la pefanteur verticale des
c1aveaux du plat-fond,
&
que fa direélion efi paralle–
le
a
I'horifon .
(D)
DOUBLI!-BI.DET,
Voyez
BIDET. Le
re;l1 dotl–
ble,
fe dit des reiDs du eheval lorfqu'i! font ton lar–
ges.
• D
o
U B L E - F O N D, (
m. (
M anufaa. en Jo;e )
étoffe compofée de
90
portées de chalne , fur
8
¡ilfes
¡¡ I'ordinaire,
&
de
45'
portées de poil, pour exécure[
une figure fur le foud, de maniere qu'¡¡ chaque deuK
tils de chaine,
iI
Y
en
a un de poil.
Le poi! efl monlé for qoatre litres de poil pour le–
ver,
&
fur quatre lilfes de poil pour rabame .
On fait de
duubJ'J-fondJ
cburans , .1iférés,
&
brochés.
Oh
obferve pour I'armure le méme ordre que dans les
lullcines de
pareill~
eCpece, courante, liférée, 00 bro–
aaée .
A
infi nous nous contemerons de renvoyer iei
a
l'arlreJe
L
u
S
TRI NE;
&
de démontrer Ceulement de
I'armure, ce qui con cerne la figure du poi!, le reae
n'ayant rien de particulier,
Armllre d'un dOllb/e-foNd <ollran&,
a
fine navette, dlmontrée pour le poil Jeulement ,
Les quatr.
Iilfes de poi!
ilour lever '.'
Les quatre
¡iues de poil
~oUI
¡abame,.
,
h
,
,
I
1
~
3
1
1.
3
'"
Marches,
Quand
iI
y a
un liféré ou deuI navettes, la feconde marche ne bailfe point de pni!; mais il
y
a
une li{Je de
liage
a
l'ordinaire,
D O
U
B LE', adf
(Arithmeti'l'"
&
Algebr. )
rai–
fon
doubUe
,c'efi le rappon qui e{l entre deux quar–
tés; ainO la raifon
do"bUe
d'a
a
b.,
efl le rappon d'a
a
a
bb,
00 do quarré de
ti
au quarré de
b. Poyo /'arti–
.1,
Q
u
A R RE'.
Dans une progreffion géométrique le premier terme
efi au troiGeme en raiCon
do"blle
du premier ao fecond ,
ou comme le quarré du premier e{l au quarré du fe–
cond ; ainfi dans la progreffioo
2.,
4, 8,
16,
le rap–
pon de
2
a 8 e{l doublé de celui de
2
a
4, c'ell-a–
dire que
2
efi
a
8, ca mme le quarré de
2.
au quarré
de 4.
Voyez
PRO
G
R E
S S
ION .
Souvent les
eommen~ans
confondent la raifon
dou–
bNc
avec la rai(on double; que Iques auteurs
meme
fe
fervem indifféremme n! de ces expreffions, rien o'ea ce–
,,-endant plus différent ; la raiCoo de
8
a
4 efl une [3i-
T om.
v..
fon double, paree que
8
ell do.uble de
4;
la raifon de
16
a
4
efl
dot/blle
.de cclle de
4
a
2.,
c'ell-a-dire efl
la raifon du quarré de
4
au quarré de
2.
11
fam dc
meme difiinguer raifoo fous-doublée de Cous
7
double ;
la raiCon de
4
a
8
ell fous-double, eelle de
2
a
4
efl
fous-doublée de
4
a
16,
c'efi-a-dire comme la raeinc
quarrée de tea
a
celle de
16.
(O)
DO
U
B EA
U,
(Ar~hite4ure.)
Voyez
AR c·
DOUBLl!au .
DO
U
BLE M ENT ,( lll.
(JuriJprud
)
ea uné
eoehere qui fe faie au-detrus de celle qu'on appelle
ti.,–
cement .
En matiere d'eauI
&
for~ts
le demi-tiercement n'e{l
re~a
que fur le tiercemem; mais 011 peut d'une ftule
eochere
f~irc;
le tiercement
&
demi-tiercemen!, ce qu.i
1
~
s'~p..