446
EL Y
~ux
I/¡h
des marchands de ma,ré;.
V oy!1;.
E ,L O S
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E'E,
&
la Mare ,
a
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wdr~Jt
Ctte .
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LV])
f!.
LA PRO
V ,
N
e
E , élOI[ uoe perfonne
choille par une provinee,
pou~
ordonner. de I'affiele
&
levée deS l.illes .
Puya ,
ee qOl en efl dI[
al< mot
R-
LEe rloN.
é .
E
L
U S
O/l
P
R
VD
H
O
11 M
I!
S, ces lermes
lOl~nt
3utrefois fouvelll eOUJoIOlS .
&
fynonrmes , pou; defi –
ner des échcvins ou
c~ofelllers
de \'l lIe , des.
e/¡11
ou
~épulés
fu r le fail
d~s
aldes ou aUlres Impou[Jons , des
jurés de ehaque mé"er.
E L
U S S U R
LE FA
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T .D I! .S
S
~
B
S
1
D E
~: q~el
ques ordollnances donueot ce lme a eeux qUl él.OICIH
¡¡,;,
par les élals pou r faire alTeoir
&
le ver les aldes ,
laílies
&
au"es fu budes.
V.
leI letera de Charle¡ P.
d"
2
Sepum"'e
1370,
ordunn. de la troijieme race .
E
L
U S P
O VR L E
S
T A ,
f.
L E S , étolcm les pee–
fonoes ehoióes par les élals
e~) . conféq~ence
de l'
oe–
donnanee de
S.
L ouis, poue falCe aifeOle
&
levee la
laílle.
Poya.
E
L
E
e T ,-O N .
ELVS POVR LES TA ILL ES DES VI LLJ!S
01/
PO
U
R L
E S
O e T RO ' S.
Poyez al< mot
E L E–
e
T
I o
ti
S ce qui en efl dil
a .
l' occafi on du mois de
Mars
133 1
pour la ville de L aon.
(A)
E LV I'
S,
(Glog. modo
)
ville de l' Alenrejo , eo
P orrugal: elle ett liluée fur une momagne, peoche de
la Guadiana.
L ong.
1
I.
16.
lat.
38.
44.
E
L U
L
, 1.
m.
( Hifl. ane. )
mois des Hébreux,
qui revicm
a
peu pres
ii
OOlre mois d' AOUl.
1I
o' a
que vingl-neuf jours . C 'efl le dou1.ieme mois de I'an–
née civil e ,
&
le lixieme de I'ann ée faime .
L e feplieme ou le neuv íeme de ce m ois , les
J
uifs
jeOneIH en mémoire de ce qui arriva apres le
r~lOur
de ceUK qui étoienl allés confidé rer la lerre peomlCe.
Le vingl-deuxieme de ce m ois fe fai l la fe le de la
.xylophorie, dans laqueile on porlUit le bois au lemple.
Selden préleod qu'on la célebroil le dix - huilicme du
m ois ab.
I/oyez
A
B
&
X
y
L
o
P H
o
R , E •
L e ving l- II xi<me du m ois
I/ul,
les Juifs fom mé–
moire de la dédicace des murs de j érufalem pae Ne–
hemie.
Diélionn. de la B iMe. (G)
E L
U
TR I A T
j
O N, (
Chimie)
opéC3tioo mé–
ehanique, employée en Chim ie, qui confifle a agilee
dan
s
un grand volu me d'eau, un amas de pelÍls co rps
folides non folubles dans I'cau , afin de féparer par ce
m oyen les pan ies les plus lo urdes, qui gagnem les
premieres le f"nd de l'eau, des plus legeres qui eeflem
fufpeodues pendam quelque lems dans ce fl uide. Cene
opération efl fue -lOut ufitée en M élallurgie,
&
elle efl
plus connue fous le nom de
lavage. I/oyez
L A
V
A–
G E .
On employe quelquefois
I'I/"triat;on
en Pharmacie;
elle fail panie de la pulv érifalion
a
I'eau.
I/oy.
P V L–
VE'R I SAT I ON
A'
L'E A V , fous le
mot
PV LV E'-
RI SA TIO N.
(b)
.
E
L W
A N G E
N,
( Céog. mod.)
ville de la S oüa–
be , eu
A
Ilemagne; elle efl liluée fur le j ar!.
L ong.
28.
:5'3.
lat.
49.
2..
E L
Y. ,
( Géog. mod.)
ville du com té de C ambrid–
ge, eo Ang lelerre; elle efl limée fu r l'Oull.
L ong.
17.
SS
lat .
p.
20 .
EL YE R YS
UM
Oll
lMMOR TELLE .
Vo–
yez
l
M M
O
R
TE L LE.
E
L Y S E'E
S (C
H
A
M P
S),
Mythol.
en lalio
c/y–
jium , elyjii, e/yjii <ampi
( que Virgile caraaériCe
U
bien en deu x mOls , quaDd
il
les appelle
loeol l4Itol
[ede('1ue beataI )
,
élOiem felon la théologie payennc'
un
l ie~
.dans les enfers , ' plcin de campagnes adm irables:
de pralnes charmanles,
&
de bois délicieux, qui fai–
fOlenl la demeure des gens de bien apres leur mOr! .
q rphée, H ercule, E née eurent le bOLlheue pendam leur
v le, de voir une fois ce beau féjo ur .
A la droile du Tanare, difenl les P 6eleS, fe teouve
~n
chemin qui conduit aux
, hampI ély[éel,
dans ces
.les fortunées, oú les ames de ceux qui
0 0[
bien vécu
peln.dan¡. celle vie, joüilTent d'une paix profonde,
&
des
p
alllrs
10
nocens .
brJout ce qui peul entrer dans les defcriplions les plus
dan:1 tes
~
les plus fleuries , ell peul - c lCe ralTemblé
d a. pelnlure des
ehamp,
<I)'f:1'
el
fai le par Pindare .
u mOlOS Aoae é
&"
r
B'
'
les écrh
r.
r
o~
oapho ,
o.chns
&
Ion, dont
eien
qu¡
fo~nt p~ell1s
d'images douces
&
rianles , n'oO[
la Grece'
~e
au- e!fus du tableau du pOele Iyriq ue de
dele de
l~ule;ek~ant
R<?m.e re a donné le premier mo–
depuis [ous diltér dcCeClpuons de
1'¡Iy[ée,
qu' oot fait
bulle L ucain
.~nClels Pd~lDlures
Virgile , Ovide, Ti-
)
,~ au
len.
ELY
Refle
:i
fa voir en quel endroil du monde é'lOit cetle
deme ure fortunée , ron origi ne,
&
I'efpace de lems que
les ames habitoieot ce féj our délieieux . Mais c'c l1
('u e
qu oi les femimens fon l fOr! pan agés .
L es uns élabliffent
I'élyflc
au m ilicu des airs; d'au–
Ires , comme Plularque , dan s la lune ou dans le fo–
leil;
&
d'aulres au cemre de la lerre; Platon le
lJle[
[ous la lerre, c'efl-a·dire dans I'hémifphere de la lerre
diamé lCalcment oppofé au nÓ"e, ou pour le dire en
d'au lees termes , aU N antipodes . H omere f<mble placee
les
champ, 1/)'[leI
au pays des. Cymméricns , que M . le
Clcrc croit elee l'Epire; V irgile les met en Italie; quel–
ques modernes en leudenl
p~r
les lles fortunées , celles
que nous appellons aujourd'hui
lel
C
anarin;
mais elles
o'élOiem ¡¿as connues des anciells , qui o'oCoiem paifee
le delCoil,
&
qui ne perdoiellt poi
m
les CÓ lCS de vile.
Si I'on en croit 'quelques autres,
I'ély[ée
élOil le char–
mant pays de
la
B élique (aujourd' hui la Greoade
&
l'Andaloulie), lOUt
y
quadre , felon Bochart, a la de–
fcriplion des Poctes .
L e plus importam efl de découvrie I'origine de leues
fables , lOucham le [éjoue des ames apres la mort. On
oe peul douler ici que la premiere nOlion des
ehamPI
" )'[éeJ ,
de m eme q ue celle de I'enfer, ne COil venu d'E–
gyple.
Poyez
E N
FE
R .
C onfu llez Voffi us , le Clerc,
&
autres;
v'yez
auffi
J aeques Windee,
de vita funélorum fiatu, alud Eth–
nicoJ.
M .
Pluche, dans fon hifloiee du ciel, donne
a
cel–
le fable une explicalion affe1. umple. D iodore de Sici–
le dit que la [épullure commune des Egyptiens élOit
au-delil d'un lac nommé
A cherujie :
que le morl élOie
appoClé Cur le boed de ce lac , au pié d'uo tribunal com–
pofé de plufieurs j uges, qui informoiem de fes vie
&
mreurs . S'i! n'a voit pas él.! fidele aux lois, on jeltoit
le corps dans une foiTe o u efpece de voyeeie qu'on nom–
moil le
'rartare.
S 'il avoil élé vertueu¡, un baleliee
condui[oil le corps au·dela du lae dans une plaine em–
bellie de prairies, de ruiifeaux , de bofquel s ,
&
de lOUS
les agrémeos champelees. Ce líeu
fe
nommoil
I/i[out
ou
la
champI l/i[lel
c'ell-'l -dire
pleine [athfaélion ,
flj01,r de repoI
ou
de joie.
H ifl . du ciel,
tom o
l .
p..-
ge
124
&
126.
( G )
Au lefle fi les POeleS ont varié fur la ulualion des
ehamp, flyFa ,
ils oe
[00l
pas plus d'accord fue le lems
que les ame.s
y
doivent C\emeurer . Aochife femble in–
unuer
a
E née fon fiJs , qu!apees uoe eévolulion de mille
am , les ames bfívoiem de l'eau du Beuve
~élhé,
&
venoiem daos d'aulees corps ; en quoi Virgile adopte en
quelque maniere la fa meure opinion de la métempfycoCe
qui a eu tan l de paCliCans,
&
qui devoit eocore fon origi–
ne aUI E gYPlieos.
Poy.
M
E T E
M P
S
'i
e
O S
E •
A dd. de
M . le Chev.
DE j A veo
u
R T.
.
E
L Y T
ROl DE, fub. f.
en
Analomie ,
efl l'une
des leois luniques propres des leflicules , Ce mOl vieoe
du grec
i>.,J1potl ,
vagina
1
guaine,
&
1,/0"
forme.
L 'él)'trolde
ell la feconde des luniques propees des
tellicules : elle reifemble
11
une guaine, ce qui la fai e
oommee auffi
vaginale
pae quelques aUleurs: elle efl
formée pae la dilalalion de la produaion du péeitoioe;
fa furface ime rne efl lapiffée d'une membrane particn–
Iiere tres· fine , qui forme uoe eCpece de diaphragme qui
empeche la communicalion entre la guaine du
cae
don
fpermalique
&
la capCule on lunique vaginale du le –
fl icule;
&
J'ex lerne efl cellulaire, ce qui la eend d'au'–
lam plus adhéreme
a
la premiere des lLloiques pro–
pres , qui fe nomme
Irythro'de ,
V.
E
R
'i
T H RO
i'
DE .
eL)
E M
*
E
M
A C
U R 1
E S,
r.
f.
e
Myth.)
fetes qui fe
célebroiem
a
L acédémone au lombeau de Pélops; la
de jeunes garc¡:oo s [e foüeloiem j uCqu'a ce que le lom–
beau fel! arrofe. de leur fallg . Voita des feles qui fe
femem bien du caraaeee due
&
aullere du peuple.
f/oy ez
F
J1
T E
s.
E
1'4
A G
E.,
f.
m . (
Comm .
)
ancien . droit qui fe
leve tur l. Cel eo quelques endeoits de Brelaglle
&
particul ieremem daos les bueeaux de la peevÓlé
de
Nan–
tes. L a pan carte de ce¡le prevÓté po rte que le roi
&
duc prend fu r les [els de POilOU le fi¡ieme denier du
prix qu." fe monte I'aocienne coí!lume appellée
émll–
ge . D,él,on. de Comm.
&
de Trév . Poyez J'article
SEL.(G)
\
*
EMA IL ,
r.
m,
e
Art mé,h . )
branehe de I'art
de