EJA
hel1rt, que lq"es coups, quelql1cs ccntcrtolls, .dont ils
I'oot envifagé comme une fuite; mais . ils fe foo t em–
prenes de nous ca([urer, en ajoutant que ce défau! n'oc–
carionne aucune claudication,
&
ne nuit jamais
¡,
I'a–
nimal.
En fuppofam que le vice d'une hanche plus baíle que
l'autre pui([e, quoiqu'i! ne nuife point au cheval,
u '~\re pas rapflorré
3
(.1
flrem iere conrormation
&
ctre dé ·
ciaré ,accidentel, il s'enli,it qu'il ne conliCle que dans
une dépreffion, un aftili(fement
3
1'05 qui faillit ex té·
rieuremen!; ce qui aura pltHót !ieu dans le poulain que
dans le cheval, porce que dans le premier les os font
moios cOIf\paéb,
&
que d'ailleurs ceux dOn!
iI
s'agit,
plus fpongieux que la pltiparr de ceux qui fervent de ba–
fe
:i
l' édilice du corps de I'animal, peuvem
en
con–
fé'luence d'une violente comufion, avoir été affailTés
a leur pointe .
Du reOe, l'exprellion dont il eO queClion me par01t
fort impropre ; car e lle n'offre en aucune
fa~ori
I'idée
de la lignitication q,,'on lui donne.
(e)
E H
E
M,
f.
m .
(Marine)
canot dollt les Negres fe
fcr vent.
Voyez
e
A N
°
T .
(Z)
EHEN H E IM,
(G/og. mod.)
ville d
'fllfacc.EI–le
di
liruée fur l'Ergel, a une lieue de Strasbourg .
EH
1
N
G
E
N ,
(G/og. modo
)
11 Y
a deux villes
de ce nnm dans la Soliabe en '
A
lIemagne, l'une pro–
che le D anube, l'autre fm le N eckre: eelle-ci
a
long.
2.7.
20.
lat.
43. 18.
E H O
U
PE R
011
H
O
U
PE
R,
( '},lIriJp. )
I'or–
don nance des eaux
&
forets défend
d'éhouper,
e'cCl –
a-dire
Ibrancher
&
deshonorer les arbres.
Vo)'ez
le
:j–
tu .'Xx;j.
arto
2.
(A)
E
J
E
J
i\
e
U L
A T E
U R , (
m. pris adj.
en Ana–
tom;e ,
nom qu'on donne a ditféreotes parties relatives
a
celles de la génératiori,
&
'lui tirent ' Ieur oo m de
l'urage dont elles font dans I'éjaeulation de la remenee .
L es muCcies
¿jacHlatettrI
nai(fent du Cphynéler de l'a–
n ns,
&
s'avaneent le long
d~,
I'urethre jufqu'a Con m i-
lieu, on
i1,
s'inferent lat éralement.
'
O" dQJlt1e aulli ee nom
á
deux m uCcles du clitoris ,
q ui viennent du Cphynaet de l'anus, fe portent btéra–
lemenl
&
s'inCereO! a dlté du elitoris.
Vo)'e::.
G
¡;:'–
N ERA TI ON.
Le, conduits
ijaettlateurs
ont environ un pouee de
longueur; i1s COOl larges pres des vcflicules,
&
dimi–
nuent
;l
mcCure qu' i1s approehent de l'urethre, qu'ils
pereent enfemble. ,
'
Quelques aoteurs donnent 3ulli le nom
d'¡jaculateuys,
aux canaux déférens.
{7oye~
D
¡;: F ER E N T .
(L )
·E
J
A
e
U L AT 0 1R E S,
'/Joye::.
DE F E R E N T .
E
J
A
e
U L A
TI
O N,
r.
f.
(Mtd.
Ph)'jiol.)
en
' l'aét ion par laquelle la liqueur fpermatique 'reC<fvée dans
les vélieu les Céminales,
&
I'humenr proClatique conteo
nue dans fes propres eouloirs. font ex primées dans I'u –
rcth re ,
&
poullées hors de ce canal par I'cxtré mité de la
,'erge dans le eoú , ou dans toute autre circonClanee qui
y
etl rc lative.
eetle aaion s'exécute, dans I'état naturel, par le
m éehnniCme dont voiei I'expo lit:on. Les véfieules Cé–
m inales élant formées de Clilfércotcs membranes, entre
lefqueHes il eo el! uoe com poCée' de tibres muCeulai–
rc s , CuCceptibles par cooCéq ucnt de contraélion, qui di–
m inue leur capacité ; cene eontraétion Ce fait dans le
m o ment od toutes les cooditions ,
&
entr'autres I'ére–
étion de 1:1 vergue, ont lieu pou r oceafionne\ I' émillion
de la fem enee, qui é tan t comprimée en tout feos par
l'aaion de ces tibres eontre la velTie dont le fph yo–
éter erl cootraa¿
&
leur fournit un point fixe, fe por–
te on il y a le mOitlS de rélinanee ; I'orifiee qui répond
au canal déférem, fe ferme par la difpofition de la
val vnle qui s'y trouve: ainli le fluide prclTé de
tOU~
cÓtés , exeepté vers I'orifiee du cana l éjaculawire,
q~¡
eCl comme la cominuation du canal déférent , defli–
né
a
porter
la
liqueur fé mina le dans I'urethre, ce flu i–
de y cCl porté avee force,
&
inj eété avce une gran–
de célérité dans I'urethre, aupres du vérumontanum .
En meme tems dans la membrane muCcnleufe qui eo–
veloppe les glandes pro (lates , fe cantraae co mme de
eoncerr avoc les vétieu les fém ioa les. L es muCcles pro–
!btiq ue~
agi rrent 3ulli
dan~
le meme inOam;
&
p~r
le concours de ces puifi'Hlees eo mbinées qui fOn! m l–
fes en ¡eu par un mouvement eomme eonvullif qui fe
cornmnniqllc
a
toutes les parties du eorps ,
IX
y
ellei-
T ome 17.
EIS
369
te (O\1vent nne efpeeé de tremblement épileptique, I'hu–
meur pratlatique en exprimée de Ces conduits exeré- '
tojres,
&
en auffi injeaée dans I'urethre autour des 0-
rifi ces des conduits éjaculatoires de la Cet\lence. Ces
deux flu ides Ce
m~lent
dans la partie de ce canal dila–
tée, pour les recevoir, par les mu rcies d"nilJés a cet
etlet. Mais ceue dilatation n'cll qu'inflnntnuée : car le
muCcle aecélérateur
&
le tranfverCe de I'urethre Ce met–
teot en contraétion pom pre(fer ce qui en contcnu
dans ce canal,
&
I'obliger
a
rorrir tout d'nn u ait
&
fans direont inuité pour chaque jel, dont il fe fait pI
u–
/ieurs de fu ite par la répétition de I'aaion convullive
de tous les organes 'l ui "ienneo t d' etre mentiannés .
La force
&
la célér ité avee laquelle ces flu ides Coot
poulTés , les peuvent faire jnillir
a
plufieurs pouces de
diOanc~
de l'eItrém ité du mcmbre viril Celon que I'é–
reétion de eCHe partie eO plus grande,
&
qu'¡¡
y
a
une quantité plus confidérable
a
'iojeéler des flu ides,
qui diClendent davantage les canaux par lefquels i1s paf–
[em,
&
qui donnent confequemment plus d'étcndue
a
I'aaion des muCeles conOriaeurs: enfone que les pre–
miers jets fom les plus impérueux,
&
que la v1teITe tle
l'inJeétion des de",iers eO beaucoup moindre
a
propor–
tion. e'eO de eeHe promple
/jamlat;on ,
jointe a la
chaleur
&
a
la
Cubtilité des fluides qui parcourent l' u–
rethre dans ceue voluptueuCe opération de la 'oature,
que dépend le chatouillement délicieux qu'éprouve la
membranc d'un Cem imen t tres-exquis qui tapine ce ca–
nal .
Vo)'e::.
E
R E
e
T
¡
°
N,
e o
i'
T,
G
E'N E·R .... T ION.
( d)
E J A M BE
R,
v. aa.
(Manuf.
de tabac)
e'eCl fé–
. parer de chaque (euille la groíle cóte qui . la
uaver~e .
L es Negres
&
autfeS ouv riers cmployés a ce trava!l ,
¡jtlmbent
avee les ongles
&
les dents .
EIC?TES
al<
HEleETES, f. m.
pl. ,(H;fI.
ea/t!
&
Th¿alog.)
h':rétiques qui parureot dans le vij,
pecle,
&
qui failoicnI profeflion de la vie monaClique ,
lis eroyoient qu'il étoit impo ffib le de bien lolicr D ieu
qu'en danfant
&
en rautaol; ce qu'ils fondoiont Cur l'e–
xemple de M o yCe
&
des enfaos d'lrrael qui, apres le
pa(fage de la mer R ouge, avokut marq ué leur recoo–
oOlllance au Seigneur par un camique aeeompagoé de
danfes,
&c.
(G)
E
I
e
HE
F
¡;:
L
D ,
(Géog. )
pays d'Allemagne titué
eolre la H clJe , la Thuringc ,
&
le duché de Brunrwick.
El
F F EL,
(G log.
mod.)
pays d'A llemagne titoé
entre le duché de Ju liers, I'éleélorat de Treves , le du–
ch é de L uxembnurg,
&
I'éleélorat de eologne .
E I M
B.E
e
K ,
(Grog .
mod. )
ville de la harre Sa–
xe an
A
lIemagne. e'elt la capitale du Grubenhagen.
Elle en proche de l'l lme.
L ong.
17.
38.
lat.
fl.
46.
E I R E N E, (
f.
(M)'t .)
dé<(fe de la paix che'/. les
Grecs.
Vo)'e::.
P
A IX. (
M)"h.
)
.
E I S E
N A
eH,
(Géug .
mod.)
ville capitale d'uoe
COntrée de meme nom, dans la Thuringe en AlIema·
gne. Elle ell fur la HelTe.
L ong;t.
28. 6.
la¡it. 50.
f9·
*
EISeTER' IES, adj. pris CubO .
(Hifl. tln,. )
f~tcs
dans lefquelles on Cacritioit
a
J upiter
&
a
M iner–
ve, pour le falut de la république.
E I S LE B E N,
(Géog.
m od. )
ville de haute Saxe
au eomté de Mansfeld eo A llemagne .
L ong.
29·
4f·
lat .
sr·
40.
,E
1TD E V E T,
(Géog. mod.)
ville .de la provin–
ce de H eae au royaume de Maroc en Afflque. Elle eft
fituée fur uoe montagne, entre deux aut(es,
&
fuc
deux rivieres.
EK
E
re
E L E N F O R D,
(Géog. mod.)
ville dn du–
ché de Sleswig Cur la mer Baltique, d¡ns le Dane–
rnark .
Long.
27·
H·
/tu.
f4 :
40.
E L
E L A B O R A T I ON, f.
f.
fe dit,
en M tdecint,
de I'aétion naturelle par laquelle les humeurs récré–
memitielles, telles que le ehyle,.le rang,
h
Iym phe,
&
toute autre de cene namre Cub¡lfent des changemeos
dans la difpo litilln des parties qlli
compoC~IH
leur fÍlb–
Oanee, par lerquels elles fe pelf<éliountnl
&
aequiereot
les qualités eonvenables pour les ufalles
au ~quels
elles
font deClinées . Ces changemeos conldlem en ·ce que
c;ertaioes parties fe dillolvem,
~ d'~utres
fe réuninem.
Aaa
-
Aiufi
•