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536

COL

&CUI

mill~

boulins; m,is on en voit de plus confiM–

rabIes .

ti

Ya

iI

Chftte~

uvil.io

eo Champagoe

llO

eofom–

bi.,

'lui dI double.

c'ell-~-~ire.

dans I'illt.érieur

du~ud

iI

y

a une nutre tour garme des

deu~

ctlte, de boullll

&

le tout eo contieOl , dit-on pres de

!

2~.

.

'

A I'é¡¡ard des particuliers qui n'ont

~I

Ju lbcc.

:11

rel–

goeurie lti ceolive. ils ue peuvellt avOlr 'lue de limpies

VOlets. 'La COalUme de ivernois dit qu'ou eu pe,m

b~~

tir rans congé de juilice. eelle d'Orl6aos permet a celul

qui a cellt arpeos de terre • d'avoir uo .volet

~e d~u~

cellts boulins ;

&

Lalnnde . rur cct arllcle ' .dlt

q~

ou

ne peut avoir qu'une paire de pigeoos pour .trols b?Ulllls:

eelle de Calais demande pour

Utl

~olombl<r.

qu

0 0

alt

la í'ermimoo dul Roi

&

cent cioquallte mefures de terres

eo domaine' mai pour une voliere de cio'luallte boulios.

elle ne dem'ande que cinquallte melures de terres. To–

rirand. rur la

eolJeum, d, B o"rgogn, .

dit que

le~

volets

ne peuvem avoir que quatre cems pOIS ou bouhos,

D ans les autres co(ltumes qui

11'001

point de dirpofi–

tion rur celle matiere. la Jurirprudence a établi que

cell~

qui o'ont

~ucun

fief. peuvent avoir uoe voliere . pour–

vu 4U'ils ayent au moios cinquame arpeos de terre en

domaine dans le lieu . Par uo arret du

2

Septembre

1739.

reudu en la quatrieme chambre des

enqu~tes.

trois gen–

tils-hummes qui avoient des

eolombi,rJ

pié.

furem

coodamnés 11 n'avoir que des lImpies volieres cODleoam

deu~

boulins par arpent ,

Les curés ne peuvcn! poiO! avoir de

eofomhi,r

oi

de volel. faus prétexte qu'i1s ont la dixme daos leur

paroifie .

Les parliculiers qui onl droil d' avoir

UII

voler. ne

fo.nt

poinr tenus communéCflcllt de reufermer leur pi–

geon' dans aucuo tems

d~

l'aunée . j'ai ccpendant va u–

ne ordonnauce de M . I'imendant de Champagne . ren–

due eo

17fl . '

I'oceafioll de la direne de

175'1 •

qui

porte que tous partieulicrs, autres que les reigneurs

&

ceUI qui Ollt droit de

eolombi"

ti

pi/.

lallt dalls les vil–

les que dans les bourgs

&

paroi(fc de la

~énéralité d~

C hftlons, rerollt tenus de renfermcr leurs pigeons cha–

que année. depuis le

l a

Mots Jurqu'au

20

Mai. depuis

le 24 Juin Jurqu'aprcs la récolte des navene"

&

de–

puis le lems de la m ilfoll des reigles jufqu'au

20

u–

vembre fuivam;

iI

leur qn défendll de les lailfcr Cortir

pendant oc lems •

¡¡

peiqe de cenl Jivres d'nmeode ap–

plicable aUI beRlins les plus prefTans des eommunaurés

ou ils demeureront , Cela feroi t prcs de rept

iI

huir mois

que I'on ferQit obligó de tenir les pigeons renfermés.

Quapt

ii

la qua lité des pigeons. ceUI des

eofombitrf

.;

pié

fum réputé immeubles. comme fairant en quel–

que fime partie du

eofombi,r:

mais le pigeons de vo·

liere foO[ meubles.

V. 1,

tr. d, la polie, . tomo

l .

pag.

770.

H en défcndu de Mrober les pigéons d'aulrui. Coit

eo les 3tlÍrallt par des odeurs qu' lIs aiment

&

~utres

appas. ruil en les prenant avee des filet! ou autrement,

COIlt. d'Eeamp<J. arl, e;reiij. B r'tagn,. e(exe. B or–

dtOIlX,

exijo

11 n'eil pas non plus permis de tirer fur les pigeons

d'aurrui . ni meme Cur fes propres terres; parce que ces

:lOimaux

I~e

roO! qu',

~

itié

r~uva~es.

&

<lue rQUS pré–

lel re de urer fur res plgeons. qu'II e(l fort diflieile de

reeonooitre. on tireroit rur les pigeons d'aulrui.

Ordon–

naneo

ti'

H, nri IV. du moiJ d, JI,i/l'1

1607,

( 11 )

COL

O" B

I E

R •

(Mar.)

ce fOlO t deuI langues piece!

de boi endentées. qui lervcm

3

ronteoir uo

b~t

\m.nt

lorrqu'oo veut le lancer

iI

I'e~u.

C : ¡>ieces ditlereot des

coites en ce que les

eolombi<rJ

ruiveat :. I'eau avee le

bfttimeut.

&

que quand

iI

vicm

il

801. les

colomhi.rJ

qui

y

foot auaehés avee de cordes !lottant aulli on les re.

tire; m.ais les coites

~emeureot

eo leur place'.

&

le vaif–

fuu ghlJe de(fus

&

s eo va feul . L es Hollaudois re fer-

(1)

Cotornbier.

t.D

G~c

t;'r'11"l.

00

S"~ltC"II~'TfeQ;fln ~1.oit

.nlÍli

Dn

TombeJa.

oa

d Urnes (epatchn.les

~\OIC:Dt

d..ifpo(&'

J'PQC

maniere:

afTa

fembtabtc

2DI:

nÍtis

"CI

plgeoO-'

cUO.t

UD

Cotombier . Le P.

MODt&ueon

~ donn~ l~

deífci.u

Je

rlo6eun de

ca lombeaax

c¡uj

(on¡

~r"'cnQ,

jufqu'i noa.s .

( "",,,,¡,,,ir.

lI1:pU,

1

F~retti .

pon .

BUtoh nQas en

ODI

.a.olli

donDI! d'¡QlfC1.

alt

le

plOJ

c6&rc de

tOIlJ

en cdui

de¡

Efc4.es

.

~

d Affunchis

de Lt,ie

Ao"'ofh:

ttOl.l".é

l _Rome

le long

de

la

vore

Applcnne

ca

I

16.

M~t

o

Gori

le.

Bt.a"lcbun · en publiercm le

deuil

;l1'C'C

de.

figureJ .

&.

d~

ez.

phc:.t10D'l ••

O~

.cn

dec»onit

UD

aam.

en

'7p. <¡oi

n'~toit

F.J

6

oroé. nU.t'

d ¡,UC'Or.

trb

c:orucné. nec

Jet

pili.e.u.

des

".ches

e.:

dea

C.l

'i~TI.

ou "on

troau a.n.e

lllfcription

cru~e

(tU

DJI~

a

rolTe

tul

e

c!.uu

ces termes.

COL

venl de coites,

&

les Frall'Yois de

colombj'rJ,

170y,z

eO I TE .

(2)

(1)

COL o

M

o 1

I!.

R,

danJ la prlllit¡tU d,

r

Imprimai"

fo: dit par alluliun : e'etl le trop grand efpaee qui le trou–

ve entre les mots : ce

Mf.uc

répét6 dans uoe fuite de

ligoe~ ,

produit dans une page d'imprellioll un blalle can–

lidérable , qui deviem UII des Mfauts e(fcntlel . L es pe–

Iiles forme eo gros cara eres.

&

celles

~

deu colon–

oes. fout rUJeltes cel iocident : mais UII ouvrier qui a

de la propreté dans ron ouvrsl\.e. ou n'y ttlmbe pas, ou

fait

y

remédicr en romaoiam la compofitioo.

CO L O M B

1 E.

rorte de eouleur violerte . appel–

lée 3Um

gorgc d< pigeo'J.

V.

C

o

U

L E

U R

&

TE

I N–

T U RE .

COL o

M

o 1

N E.

f.

f.

(Jardina/{,)

n'en autre chofe

que du fumier ou de la ñente de plgeoo, qui en

li

rem–

plie de parties voladles, fi forl en mouvemeot. que

fi

on ne les lai(foit mudérer

a

I'air on courroit rifqne. en

.les répandant tCOP proOlptemeot. d'altérer les graios fe–

més.

&

de détruire les premiers priocipes .

Ce fumiet efl peu propre aUl rerres labourables;

il

eonvient aux prés trop urés. aUl ehenevieres.

&

aus po–

tagersl pourva qu'il foit lIlel" avec d'aulres engrais,

&

qu'il loit répandu

il

c1aÍl-voie.

( K )

, e

o

L

o

M

B

O .

(Giog. mod.)

ville forle

&

cOllfi –

dér~ble

des lndes , dan

I'ile

de Ccylan. en Afie. a–

vec une ciladelle : elle en aux Holla dais.

L ongil . 98,

lolit.

7.

e

o

LO M M

( E

RS.

( G/o/{. mod.)

ville de Fran–

ce. dans la Brie . fur le M orin .

L ongit.

20, 40.

IlItif.

48. 'l8.

e O L O N. f. m.

(Comm.

)

eelui qui habite uoe eo–

lonie. qui

y

défriehe, plallle.

&

cultive les lerres. L es

eolonJ

s'appelleol eocore en Franee

h. bi!onl

&

co""r–

fionnairu.

D ans les colonies A ngluire on leur donne

le nom de

pla"t<urJ.

pour les diflinguer des a"antoriers ,

Voya.

A v

A N T U R 1 E R S

&

P

L

h

N T E U R ;

'V0Y'Z

e

o

L

o

N 1

I! .

Di{f, dtt Comm.

C o

ú

o

N. (

JuriJpr.

)

du Latin

COI011Ul.

Ce

dit en

quelques provine.s pour

¡erlni" d un bi", de campa–

gllt. Colon partiair,.

efl cclui qui au lieu de fermage

en .argenr. rend nu propri6(aire une cerraio. pareie eles

frulls en nature. On I'appelle aulli quelquefois

",i ta–

yer;.

mais ce num nc lui convieot que quand la con–

venllon en de rendre la moitié des fruits . Q uelques–

uns ne reodenl que le (iers fraoc. plus ou moitlS' ce

qui dépend de l'ufage du lieu

&

de la conventioo.

'(A )

e o Lo

N . (

IInalom.

)

le fecond

&

le plus a!TIple

des gros boyaus. autremenl nomlllé

boyau elllicr,

Quelques.uos dérivent ce mot de

a*,J""

rnarder,

parce que c'en dans fes rcplis que s'arrcten! les elcré–

mens : d'autres le tirenl de ••

jA".

ercux,

ii

eaure de la

~raode

cavilé de cet intenin ;

&

e' efl de lui difent-

lis. gue la eolique a pris fon nom.

Quoiqu'il en foit. il commen e Cous le reio droit

11

la . fin

~u e~cum.

dol1t

iI

n' en

rée\le~ent

que

l~

eOnUI1Uallon: 1I m me dcvant ce meme reln, auqurl

il

s'altachc. pa(fe fous la vérieule du fiel. qui lui com–

munique l¡\ une teinture Jaune.

&

il

eontinue ra rou–

!e

devalll la

pre~iere

eourburc du duodenum. ¡aqucHe

1I cache en partle.

&

Y en adhérenc . Aiofi il

y

a dans

aet eodroit une connexioo

trc~-digne

d'auentioo entre

le

colon.

le duodeoum. le rein deoit.

&

la vé'icule

du 6el .

D e-la I'arc du

eofon

fe porte devanl la grande con–

vexilú de l'eflamac. quelquefuis plus bas apre!> quoi

il

fe touroe en-arriere fous la rate, daos j'hypaehondre

gauehe,

&

derc~lId

de":lnt le rein gauehe. auquel

il

efl

~Iu

ou mOlns attaché.

&

rous lequel

i1

s' incline

eorUlte vcrs les ve;cebres. en re terminaD! au rcaum

par un double cootoar. ou deuI circoovolotions coo-

FLAVIt • PBOEBBI • EX •

FIG.II

.. POSSI

DI1 . VlAE •

NO"".."".. ,

P , ET •

APRO •

COS,

Ire-

P.,iUJ

V

.Af'I1U'Qflj

froieru Confull 1'&1)

de

Rome I 6, de

1.

ehr

U j_

re

citerai d',aauet infaiption. de ente

"HatO

d.u .. le fupple–

ment qae je me

~Topo(e

de (,aire au

Th.r~.cor

del lo(cnpcioru de

y

W~r:n.o".': ~

le ("ni

..

o~

de

C¡lIcUe

lmpoT'WIc.e

iI

cft

de

b en

~nDOttre

1

annqalrE (ar

«rwa..

r;lm

p.uncalicn.

($)