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eHI
moios rond que eelui du ehagrío. 011 eu foil ufage
pour polir les oO" roges au tour, en meooif.rie,
&
au–
Ires. 00 eo eou\'re dts boltes; les peaux en doiveol
élre ¡(raodes,
&
d'un graio égal
&
fin. 00 les em–
ploye faos prépaf3tioo; on les empeehe fculcmenl de
f~
redrer, en les tenallt étendlles fur des plaoehes , quaod
el,"s foOl fralches,
e
N I E S,
en
t~r»u
d'
Af/ro"omi~,
en
un nonl com–
muo
:l
deux eool1ellations, appellées
le grand
ti
le pe–
tit
chi~l1,
ca"j¡ mnJor
&
,anís minor.
VoytZ
ci-¡¡~f
JOI<S
G
R A N P
&
P
E T I T
e
11 • E N.
( O )
eH
I
I!
N, ( ,.
E
e
R
A N D )
el1 une connellalion de
I'hémifphere méridional, plaeée fous les piés d'Orion ,
un pell vers !'occident. PtOlomée la foil de
J
8 élOi–
les ; Tycho de
' 3;
le ea lalogue Brilannique de 32.
$i–
ritu
en
ea
une.
f/O)'tZ
S
J
R I U S.
CH '
E
N, (
L
I!
P
t:
T
I
T ) en uoe eonOellalion de l'hé–
mifphere feplcntrional, enlre I'Hydre
&
Orion: au mi–
lieu de cetle eonOelladoo en une éloile fOrl brillante
nommée
ProeJo". Voye<.
PRO
e
y
o N.
( O)
eH
I E N S
d'avoine, ('JuriJprud.)
ou
'1,,;mne a110i–
lit,
cornme qui dirolt
a1~oi"e
del , hiens
1
eCl une rcde–
vance I"igneuriale commune en 41\.tuis
&
dans le Bou–
lellois , qui ell dile par le habitans au feigoeur du líeu.
Elle
confille
en üne
ccn3ine
quantité d'a,voine dQe :tn...
nuellemcne par les habitons ,
&
de!lillée dans l' origine
de (on élablitkmellt pour la oourriture des
ehims
dll foi–
goellr, auxqllels apparemmenr on fai¡'oit du poio de celte
avoi.~e .
O n Irouve dans les regillres de la ehambre des
comples de L ille , des preuves qlle depuis
IS40 ,
juf–
qu'en , 629 , les compres d'Ano;, 001 été fervi de ces
fortos de rede vanees ; qu' en 1630, le roi d'Efpagne ,
qui é.oil cocare propriétaire du
co.méd' Artois, 61 pour
les
berilins
de I'é(at un grand nombre d'aliénations de
ces fortes de redcvances,
&
entr'3utres,
que les rcli–
gieux de S. Benin fe reodirent
adjudicat~ircs,
pac coo–
Ira' du 17 Septembre 1630 , de quatre pardes de cos
chielll
d'
avoine ;
une partie de 28 r:lfiercs un picotín
d'.voine fur les hobitaos d'Herbelles; une alllre de . 8
rofieres fur les habitans de Coiques;
u~e
rroilieme de 4
ralieres uo tiers un quarr d'. voio. fur les habilans de
Quindal: enfin une quatrieme portie Cur le fieur de D if–
ques en Boifenghen, de neuf ralieres;
&
que ce contrat
fUI fait fous la eondition de raehat perpétuel.
11 Y
cut
comelladon au fujet de la folid ilé d'une de ces rede–
vances dne par les habirans du hame.u de Quindal;
les religieu• . de S. Benin s'éralH
adr~(fés
au
fi~ur
Def–
quinemus , eomme pollédanl
u~e
pamc des hénrage,s de
ce hameau, pour le payeonem folidaire de leur r,edevan–
ce, les offi ciers du bureau des finances de L ille avoiem
déclaré les religieu x de S. &rtio non recevables eo reuc
demande, f..uf
i
eux
i
fe pourvoir eontre les déten–
leurs des fonds qui en éroient chargés. L es .eeligieux
de
S.
Berlin ayant app. llé de eelle fenlenee au parle–
menl, par arrét du premia M ai 1749 , cette fentence fUI
iofirmée. L e lieur D efquioeonus fu t condamné folidai–
remeol eomme
déreme.ura
payer 29
ano~es
d' arréra–
ges de la redevanee, éehil au jour de la demande ,
ceuX échas depuis,
& :.
la
eontilluer :. I'avenir; fa uf
foo reeours comre qui
iI
aviferoil, défcnfes au contrai–
re. 00 avoil produir eontre les religitux de S. Berlin
des cerlificars du Bou lenois, par le[(luels il paroio-uil
que les habitans de celle provinee payeol divifémenr les
rentes des
chienf d'avoine;
a
quoi les 'religieux: répon–
doiem que I'ufage d'Arrois
&
celui du Bouleoois éroieo l
difft"rens; qu'apparemmenr en Boulenois les titres pri–
midfs des
chienJ d'avoine
ne les conClilUoicnt pas en
folidilé.
I/oy"'; ei- aprh
PAST
DE
CHIEN S ,
ti
QUIE NNES D'A
VO.NE.C 'H I
F N S,
e
P
A
S T DE)
dans quelques aociennqs
chartres figoifie
la ,har,!e
que les feigoeurs impafoieol
3
Icurs lenanciecs, de lIourrir leurs
,hien¡
de chao-e.
II
en en parlé daos des lem es de l',n
1269,
qui fon l
i\
Saint-D enis,
&
dans d'.utres lenres de Regoaud com–
te
de Sem, de l'an 1164, qui COO[
a
Saint-Germain–
des-prés. Quelques monalleres qui éloienr chargéí .de
ce devoir, oblincenl des feigoeurs leur décharge .
VO)'.
le
'{ui
-JI
dil
a
a [ujet dam l. g/oiJa"e de M .
de L ou–
riere, "" mOl
,hien,.
eA)
e
R
I E N,
f.
m .
e
A r'{uebujier .)
e'eO dans le fufil
h
part;e de la plalioe qui tkm la pierre-a-fufil, laqoelle
IOmbant fur la banerie , mer le feu
a
l'amoree du baf–
fioét-.
VUez
F
u
S IL
ti
)'
L A T I N E .
Dans
l.
moufquel le
, hi",
eO appellé
forpentin. Vo–
,ez
S
E R PENT
t
N
ti
M
OUSQUETO N.
( Q )
eH
I E N,
portie du mili" de
l'
Itoffe de faie.
Le
,hi,,,
en
un
fer plat d'uo pouce de large, fuc fept pou-
eHI
ces
d'~pai(feur ;
il en courbe
&
aigu; il mord de ce c611!
dans la coche de la roue de fer ,
&
il ell .naché
de
I'autre ao pié du mérier de devanr .
eH I E
N,
¡nfln/mt'"
J~
T 01lllcJier ,
e' en le
rn~me
qoe les Menu;l;'rs .ppcllenr un
[crgmt
.
er ouril tfl
compofé d'une barre de fer quarrée , qui
a
un crochet
par en-bas,
&
d'un autre crochel mobile qu; monle
&
deCorad le long de l. barre . 00 I'.ppelle
ehi.",
par–
ce qu'iI [erre
&
mord lanemeot le bois.
Poyez
S
~
R–
e
E N T .
C
H 1E
N D
E
T,
grame",
geore de plante dont
les Beurs n'onl poinr de pétales,
&
oailleO[ par bnu–
quels compofé. de plufieurs élamioes, qui
lo rtenr
ordi–
oairemene d'un calice écailleux . Le pinil de\'icllI dans
la fui te un fru;t arrondi ou oblong, un peu tilrineux ,
&
renfermé dans le calice comme dans uoe eaplule.
Tuurneforr,
i"jI. rei hcrb. Vo)'ez
P LA
TE .
( J )
eH . E
N D E N T,
e
lI1atiere mUte,ale)
Parmi une
multitude d'efpeces de
,hre"denls,
.1
o
y
en a que deux
dOIH 00
fe ferve
le
~hien(Ül1t
ordinoirt,
&
le
(h;~n
dene pil de poul;.
L a r.cine, qui en la feu le par de
qu'oo employe , ell d'un tri:s·Créqucnl llf:lge en mede–
c.ioe; elle
en
apéritive,
&
poulr.: doucemelll p,r les u–
nnes.
L a raeioe de
ebie"dent
en
le priocipal ingrédicnr de
la tiranoe ordinaire des malades,
de
eelle qu'ils
le
pro–
fcriveol eux -mémes,
fi
généralemenl qlle c'd l prl'lque
une
m~me
chofe, pour le peupl e qU'UllC dfilllne ou u–
ne légere Mcoé!ioo de
cbiendent,
rendue plu, douee
pa, I'addition d'un petit morceau de réglilli:.
On la fait entrer aum avee fucees dans les déeo–
.a ioos ou aporemes apér1tifs
&
diuréri~ues ,
qui f01l1 in–
diqués principalemenr dans les
obllruél.oo· c()tnmenc;ao–
tes des vilcercs du ba!'-ventrt:. Cene r3cine donnéc en
fu bflance p, lle aum pour vermifuge.
L es compondolls adop.ées par la Phnrl1l1eopée de
Paris, dans Icfq uelles entre la racine:: de
,bletJ~i~nt,
rOnt
les fuh·anres.
L a tifanne cornmune, le
d~{"ol1llm
ape.rie'1I,
le
f)'–
rop de chicorée eompofée, le eyrop de guimaul'e de
Fernel,
&
le elairet de fix grains.
(b)
CH '
E " P E N
T,
(Vtrg<rÚtr)
Les Vergelliers le dé–
pouillent
de
fon éeorce en le liam eo paquers,
&
le
foulent fous le pié. Ce frouement le fépare en peu de
tems de fes
rame:lUX.
lis en diflinguem de deu. efpeees; du gros , qu' ils
appellenl
ehienden' de Fra,,«;
&
du fin, qu'ils appel–
lem
barbe de ebiend",t.
Le gros, ce fonl les rameau x les plus loogs
&
les
plus fOrls, ce qui ferl de pié au
ehlenden' .
Le fin ou
doux, ce fon l les nuneaux les plus
lins,
&
les eXlré–
mirés des branehes.
lis féparent ces parties, les mellent de 10llgueur
&
de forte,
&
foOl des vergelles.
V OJeZo
r
ano
V
E R–
e
E T
l'
E .
eH
I E
N N
E,
f. f. inllrumem de tonnelier ell (nr–
me de crochet, qui dre
&
pou(fe ell memc tcm, . O n
le
110mme
plus co mmunéuu:n(
tirtoire
.
I/lI)'ez
-r
J
R –
T
o
I K E.
eH
1E R 1,
e
G /og.)
pelile ville d'ltalie dalls le Pié–
mont, dans Ull peti, pays du
m ~me
110m.
C
1-1 1
E S O,
(G /.g.
)
grande ri,'iere d' Io.lie, qui
prend la fouree dans
le
Tremio,
&
fe Jelte dan,
1'0-
glio .u duché de Mauloue.
C H
I
E T I,
(Glog.)
"i.led'Io,lie au royall me de
N aples, capitale de l' Abrunc ci.é. ieure, prc> de la rí–
viere de P.fcar•.
Long.
3"
48.
la, .
42.
21.
e
H 1
E
V
R
E
S, (
e l.g.)
pedte viII e des pays - bas
Autrirhiens dans le H ainaut , entre MOlls
&
Ad,.
eH
I
FA LE,
(elog . )
I le d'Afie dans la mer ROll–
ge , pres ,des eCltes de l' Arabie' PeIré•.
e H
1F F E S,
f.
f.
tume
de P apeltrie
;
ce follt de
vieu>:
morce3UX
de
t(¡ite
de chanvre , de
coton, ou
de
lin , qui 'fc,vem
:l
la fabrique du papier .
Voy.
eH '
F –
F
o
N S.
C H 1 F F
o
N S,
r.
m .
t"me
de Papderie;
ce font
de vieux morceaux de roile de lin
00
de chall vr. qu'
00 pilloooe dans les moulins • papier,
&
qu'oo ,,,duir
eo uoe bouillie ou pate fort liquide, dom on fait le
papicr. 00 les appelle aufli
ehiffes , drapealtx, d" I/es,
patles,
&
peil/es. Vo)'ez
P
A P. E R
ti
CH '
F F
o
N –
N 1 E R,
&
le D illifJnn .
dll
Comm.
• CH I FFONNIER ,
r.
m . oom que I'on dnn–
ne
~
des gens qui eommerccnt de vieux Ch'f!ilOS ou
dropcauI ae loile de lio
&
de ehanvre, ddtinés pour
la fabrique du papier . On les appelle
:lUili
pauiers ,
dri/liers
J
ou
pei//iers .
Les