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276

eHI

moios rond que eelui du ehagrío. 011 eu foil ufage

pour polir les oO" roges au tour, en meooif.rie,

&

au–

Ires. 00 eo eou\'re dts boltes; les peaux en doiveol

élre ¡(raodes,

&

d'un graio égal

&

fin. 00 les em–

ploye faos prépaf3tioo; on les empeehe fculcmenl de

f~

redrer, en les tenallt étendlles fur des plaoehes , quaod

el,"s foOl fralches,

e

N I E S,

en

t~r»u

d'

Af/ro"omi~,

en

un nonl com–

muo

:l

deux eool1ellations, appellées

le grand

ti

le pe–

tit

chi~l1,

ca"j¡ mnJor

&

,anís minor.

VoytZ

ci-¡¡~f­

JOI<S

G

R A N P

&

P

E T I T

e

11 • E N.

( O )

eH

I

I!

N, ( ,.

E

e

R

A N D )

el1 une connellalion de

I'hémifphere méridional, plaeée fous les piés d'Orion ,

un pell vers !'occident. PtOlomée la foil de

J

8 élOi–

les ; Tycho de

' 3;

le ea lalogue Brilannique de 32.

$i–

ritu

en

ea

une.

f/O)'tZ

S

J

R I U S.

CH '

E

N, (

L

I!

P

t:

T

I

T ) en uoe eonOellalion de l'hé–

mifphere feplcntrional, enlre I'Hydre

&

Orion: au mi–

lieu de cetle eonOelladoo en une éloile fOrl brillante

nommée

ProeJo". Voye<.

PRO

e

y

o N.

( O)

eH

I E N S

d'avoine, ('JuriJprud.)

ou

'1,,;mne a110i–

lit,

cornme qui dirolt

a1~oi"e

del , hiens

1

eCl une rcde–

vance I"igneuriale commune en 41\.tuis

&

dans le Bou–

lellois , qui ell dile par le habitans au feigoeur du líeu.

Elle

confille

en üne

ccn3ine

quantité d'a,voine dQe :tn...

nuellemcne par les habitons ,

&

de!lillée dans l' origine

de (on élablitkmellt pour la oourriture des

ehims

dll foi–

goellr, auxqllels apparemmenr on fai¡'oit du poio de celte

avoi.~e .

O n Irouve dans les regillres de la ehambre des

comples de L ille , des preuves qlle depuis

IS40 ,

juf–

qu'en , 629 , les compres d'Ano;, 001 été fervi de ces

fortos de rede vanees ; qu' en 1630, le roi d'Efpagne ,

qui é.oil cocare propriétaire du

co.mé

d' Artois, 61 pour

les

berilins

de I'é(at un grand nombre d'aliénations de

ces fortes de redcvances,

&

entr'3utres,

que les rcli–

gieux de S. Benin fe reodirent

adjudicat~ircs,

pac coo–

Ira' du 17 Septembre 1630 , de quatre pardes de cos

chielll

d'

avoine ;

une partie de 28 r:lfiercs un picotín

d'.voine fur les hobitaos d'Herbelles; une alllre de . 8

rofieres fur les habitans de Coiques;

u~e

rroilieme de 4

ralieres uo tiers un quarr d'. voio. fur les habilans de

Quindal: enfin une quatrieme portie Cur le fieur de D if–

ques en Boifenghen, de neuf ralieres;

&

que ce contrat

fUI fait fous la eondition de raehat perpétuel.

11 Y

cut

comelladon au fujet de la folid ilé d'une de ces rede–

vances dne par les habirans du hame.u de Quindal;

les religieu• . de S. Benin s'éralH

adr~(fés

au

fi~ur

Def–

quinemus , eomme pollédanl

u~e

pamc des hénrage,s de

ce hameau, pour le payeonem folidaire de leur r,edevan–

ce, les offi ciers du bureau des finances de L ille avoiem

déclaré les religieu x de S. &rtio non recevables eo reuc

demande, f..uf

i

eux

i

fe pourvoir eontre les déten–

leurs des fonds qui en éroient chargés. L es .eeligieux

de

S.

Berlin ayant app. llé de eelle fenlenee au parle–

menl, par arrét du premia M ai 1749 , cette fentence fUI

iofirmée. L e lieur D efquioeonus fu t condamné folidai–

remeol eomme

déreme.ur

a

payer 29

ano~es

d' arréra–

ges de la redevanee, éehil au jour de la demande ,

ceuX échas depuis,

& :.

la

eontilluer :. I'avenir; fa uf

foo reeours comre qui

iI

aviferoil, défcnfes au contrai–

re. 00 avoil produir eontre les religitux de S. Berlin

des cerlificars du Bou lenois, par le[(luels il paroio-uil

que les habitans de celle provinee payeol divifémenr les

rentes des

chienf d'avoine;

a

quoi les 'religieux: répon–

doiem que I'ufage d'Arrois

&

celui du Bouleoois éroieo l

difft"rens; qu'apparemmenr en Boulenois les titres pri–

midfs des

chienJ d'avoine

ne les conClilUoicnt pas en

folidilé.

I/oy"'; ei- aprh

PAST

DE

CHIEN S ,

ti

QUIE NNES D'A

VO.NE.

C 'H I

F N S,

e

P

A

S T DE)

dans quelques aociennqs

chartres figoifie

la ,har,!e

que les feigoeurs impafoieol

3

Icurs lenanciecs, de lIourrir leurs

,hien¡

de chao-e.

II

en en parlé daos des lem es de l',n

1269,

qui fon l

i\

Saint-D enis,

&

dans d'.utres lenres de Regoaud com–

te

de Sem, de l'an 1164, qui COO[

a

Saint-Germain–

des-prés. Quelques monalleres qui éloienr chargéí .de

ce devoir, oblincenl des feigoeurs leur décharge .

VO)'.

le

'{ui

-JI

dil

a

a [ujet dam l. g/oiJa"e de M .

de L ou–

riere, "" mOl

,hien,.

eA)

e

R

I E N,

f.

m .

e

A r'{uebujier .)

e'eO dans le fufil

h

part;e de la plalioe qui tkm la pierre-a-fufil, laqoelle

IOmbant fur la banerie , mer le feu

a

l'amoree du baf–

fioét-.

VUez

F

u

S IL

ti

)'

L A T I N E .

Dans

l.

moufquel le

, hi",

eO appellé

forpentin. Vo–

,ez

S

E R PENT

t

N

ti

M

OUSQUETO N.

( Q )

eH

I E N,

portie du mili" de

l'

Itoffe de faie.

Le

,hi,,,

en

un

fer plat d'uo pouce de large, fuc fept pou-

eHI

ces

d'~pai(feur ;

il en courbe

&

aigu; il mord de ce c611!

dans la coche de la roue de fer ,

&

il ell .naché

de

I'autre ao pié du mérier de devanr .

eH I E

N,

¡nfln/mt'"

J~

T 01lllcJier ,

e' en le

rn~me

qoe les Menu;l;'rs .ppcllenr un

[crgmt

.

er ouril tfl

compofé d'une barre de fer quarrée , qui

a

un crochet

par en-bas,

&

d'un autre crochel mobile qu; monle

&

deCorad le long de l. barre . 00 I'.ppelle

ehi.",

par–

ce qu'iI [erre

&

mord lanemeot le bois.

Poyez

S

~

R–

e

E N T .

C

H 1E

N D

E

T,

grame",

geore de plante dont

les Beurs n'onl poinr de pétales,

&

oailleO[ par bnu–

quels compofé. de plufieurs élamioes, qui

lo rtenr

ordi–

oairemene d'un calice écailleux . Le pinil de\'icllI dans

la fui te un fru;t arrondi ou oblong, un peu tilrineux ,

&

renfermé dans le calice comme dans uoe eaplule.

Tuurneforr,

i"jI. rei hcrb. Vo)'ez

P LA

TE .

( J )

eH . E

N D E N T,

e

lI1atiere mUte,ale)

Parmi une

multitude d'efpeces de

,hre"denls,

.1

o

y

en a que deux

dOIH 00

fe ferve

le

~hien(Ül1t

ordinoirt,

&

le

(h;~n­

dene pil de poul;.

L a r.cine, qui en la feu le par de

qu'oo employe , ell d'un tri:s·Créqucnl llf:lge en mede–

c.ioe; elle

en

apéritive,

&

poulr.: doucemelll p,r les u–

nnes.

L a raeioe de

ebie"dent

en

le priocipal ingrédicnr de

la tiranoe ordinaire des malades,

de

eelle qu'ils

le

pro–

fcriveol eux -mémes,

fi

généralemenl qlle c'd l prl'lque

une

m~me

chofe, pour le peupl e qU'UllC dfilllne ou u–

ne légere Mcoé!ioo de

cbiendent,

rendue plu, douee

pa, I'addition d'un petit morceau de réglilli:.

On la fait entrer aum avee fucees dans les déeo–

.a ioos ou aporemes apér1tifs

&

diuréri~ues ,

qui f01l1 in–

diqués principalemenr dans les

obllruél.oo

· c()tnmenc;ao–

tes des vilcercs du ba!'-ventrt:. Cene r3cine donnéc en

fu bflance p, lle aum pour vermifuge.

L es compondolls adop.ées par la Phnrl1l1eopée de

Paris, dans Icfq uelles entre la racine:: de

,bletJ~i~nt,

rOnt

les fuh·anres.

L a tifanne cornmune, le

d~{"ol1llm

ape.rie'1I,

le

f)'–

rop de chicorée eompofée, le eyrop de guimaul'e de

Fernel,

&

le elairet de fix grains.

(b)

CH '

E " P E N

T,

(Vtrg<rÚtr)

Les Vergelliers le dé–

pouillent

de

fon éeorce en le liam eo paquers,

&

le

foulent fous le pié. Ce frouement le fépare en peu de

tems de fes

rame:lUX.

lis en diflinguem de deu. efpeees; du gros , qu' ils

appellenl

ehienden' de Fra,,«;

&

du fin, qu'ils appel–

lem

barbe de ebiend",t.

Le gros, ce fonl les rameau x les plus loogs

&

les

plus fOrls, ce qui ferl de pié au

ehlenden' .

Le fin ou

doux, ce fon l les nuneaux les plus

lins,

&

les eXlré–

mirés des branehes.

lis féparent ces parties, les mellent de 10llgueur

&

de forte,

&

foOl des vergelles.

V OJeZo

r

ano

V

E R–

e

E T

l'

E .

eH

I E

N N

E,

f. f. inllrumem de tonnelier ell (nr–

me de crochet, qui dre

&

pou(fe ell memc tcm, . O n

le

110mme

plus co mmunéuu:n(

tirtoire

.

I/lI)'ez

-r

J

R –

T

o

I K E.

eH

1E R 1,

e

G /og.)

pelile ville d'ltalie dalls le Pié–

mont, dans Ull peti, pays du

m ~me

110m.

C

1-1 1

E S O,

(G /.g.

)

grande ri,'iere d' Io.lie, qui

prend la fouree dans

le

Tremio,

&

fe Jelte dan,

1'0-

glio .u duché de Mauloue.

C H

I

E T I,

(Glog.)

"i.le

d'Io,lie au royall me de

N aples, capitale de l' Abrunc ci.é. ieure, prc> de la rí–

viere de P.fcar•.

Long.

3"

48.

la, .

42.

21.

e

H 1

E

V

R

E

S, (

e l.g.)

pedte viII e des pays - bas

Autrirhiens dans le H ainaut , entre MOlls

&

Ad,.

eH

I

FA LE,

(elog . )

I le d'Afie dans la mer ROll–

ge , pres ,des eCltes de l' Arabie' PeIré•.

e H

1F F E S,

f.

f.

tume

de P apeltrie

;

ce follt de

vieu>:

morce3UX

de

t(¡ite

de chanvre , de

coton, ou

de

lin , qui 'fc,vem

:l

la fabrique du papier .

Voy.

eH '

F –

F

o

N S.

C H 1 F F

o

N S,

r.

m .

t"me

de Papderie;

ce font

de vieux morceaux de roile de lin

00

de chall vr. qu'

00 pilloooe dans les moulins • papier,

&

qu'oo ,,,duir

eo uoe bouillie ou pate fort liquide, dom on fait le

papicr. 00 les appelle aufli

ehiffes , drapealtx, d" I/es,

patles,

&

peil/es. Vo)'ez

P

A P. E R

ti

CH '

F F

o

N –

N 1 E R,

&

le D illifJnn .

dll

Comm.

• CH I FFONNIER ,

r.

m . oom que I'on dnn–

ne

~

des gens qui eommerccnt de vieux Ch'f!ilOS ou

dropcauI ae loile de lio

&

de ehanvre, ddtinés pour

la fabrique du papier . On les appelle

:lUili

pauiers ,

dri/liers

J

ou

pei//iers .

Les