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HrsTcr1R.i;
f.éreuce
a
LnGJl
fil.s
fur tous ceiu-qui ont
de8i
,RréttH1Ú011&
a.
V-0!.Jie creur; Je ne.parle:
point
Cfe
íír
C
harles, a qui vos affeéEiotlS:
ét-o.ienn
cngagées.
a.va.ar 9.Ue.
V.Ql:lS·
neu& :l)§Íe2í
cor~nl!s,
Mais- voY
S- e11g agez-v..-0us en fuveur
de
molll
.filS,
!i"
le chevalíer ne.i:ev.ient
pa5-
libre?-
Je lui
ai
di.t.
fon
f
érieufementi, 6}
u'elle m~fo.1tpi;emoit.
Quoi1,
M'1dame
!
je
ne·
til
'erois.au–<.ma· f!.·uir de.1'1?.xemple que
v0.t:l5
m
e prnpo-·
Úez
il-n:}t
a qu'un iHíl:ant?
D-e
queJ f¡;onr
fai–
íiez,-vtms dire
a
quelqu'un, (
&
¡¡;'eíl: mr
homme
a
qui-vous le failiez dire ) " de quel
,,
frgnt'paroitt;ois~je
devant
mne
femme
d'hon–
., neur;
devan~
v.0us, Madame
~
íi
fétois.
»
capable de tenir qaelqu'un en•faíipens?..
~
Nan, Ma.dame, je perdrois la vie, con1me
" íir Charles, plmot que de me fouiller pat
" ceue ir.J.dign-iFé "· Mais
je
vois, Madame,
qne
voas
m.~
me· faites cetre pro.pofüú©n,,
~o~me
a
Iui, que pour rnettre mon cceur
a
1
epr.euve•.
En vérité, ma cher.e,.a-t'-elle interrnmpm
avec quelqu'embarras,
vou~
me faites plailir
de me fournir c€ltte excufe. Cependant je
Earlois de bonne foi·,
&
j'en dois reffenrir
m1
peu-de confuíion.
-
Quelle charman.t:e ingénuité, chere Lude?·
E.llem'a pl'if.e dans
fe&
bras , elJe
a>
baifé en-·
c0.reune fuis mes-deux joues. Je·n'.ai , m'a–
t:-elledit, qu'une apolog-ie
a
faire pour moi:–
meme: l'errem; ou je
fuis tombée doir
voms;
marquer avec quelle
paffi.onje fouhaiterois;
ele.
'.IOUS
voir
c0mi;eíí
e D ••.• ,M'1lis- que1
.ti:vre,