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Ctuv.
GitANDISsoN;
q
fe
preffent d'en parler. Cependant milord &
miladi
L. ...
défapprouvent hautement l'air
de raillerie qu,.elle affetre,
· Leur méíinteUigence commen<;a hier att
foir. Nous avions foupé chez .eux, Mad.
Reves
&
moi, avec milord
&
miladi
L. ...
&ies deu
x clames ltaliennes. Je ne me trouvai
point. de
go.utpotir le jeu. Nous nous reti–
ra1nes de
bonne heur
e, & la íignora Olivía
partit eia merne temps
av.ecfa-.e~t1<e
. .On
[e
mita jouer. Milord &
miladi
L..,
E,milie_&
le doél:eur Bar-let torfibererit enfemble. Au
milieu de l·eur partie, mifadi
G:..
qui étoir
montée a fon appartement, de.bcendit l'efca–
lier avec précipitation, en fredonnant quel–
ques notes. Milord
G.:....-
qúi étbit monté
apres elle, la foivit. d'un air
fort
trnuDlé.
Madame,
commen~a-t-il,
il faut vous dire...
J
Il faut, interromp1t-elle, non , Milord!,
il
ne faut rien. Elle s'at1it derriere Emilie. Nei
prénez
pas
garde a moi, lwi dit-elle: Qui ga–
gne? Qui perd·?
Son
mari
fe
promena dans la
chambre
a
grands pas. Milord & miladi
L.
..
auroientvoulufeindre de_
ne
rien remarquer,
dans l'é(pér:ance que l'orage s'appaiferoit de_
lui-m~me;
car il étoit écha¡ipé
a
leur freur
queiques perites vivacités pendant
l'e
dlner,...
quo~u'afouper
to,ut eut été
fort
tra1il'quille.
Le doél:eur Barlet
ltú
ofliit fes cartes.
Ell~
les i;efufa.Non, doél:eur ,lui dit-elte;
j'ai
mes
propres ca.res, avec lefc¡uell'es je veux jouer,
&
mon jeu
n'efi: pas a_ifé. Máis,
L~cie;
vous