DU C.HEV:. GllAN.D"l'SSON.
1,
,, grace·,
Moníieuu ,Jortez. Poui;quoi·quittei.T
,, vous
la
c@mpa.gnie?
,,
Je vi
ens, ma- tres-chei;e v.i.é.,
p0,ui;
\1
'0.us'' faire une Rriei;e.
L'
exorcfo , comm.e>
v
eus.»
voyez , étoit atfez.civil,
s'il y eut mélfh1n
" peu
nroinsde
tes irnportuns
rranfpoEts ,
"mais
il.mejera les bras·aurour da·cou,.ea
~' · ptéf
once de Jenny., ma femme-de-cham""
"'bre.
Les
'folles
c;areife~
d'un maui fomt:
ca..
" eabfos
de faire
de da11gereu.fes
impretEmns
,. ÍÍli:
ces tilles-. Ne rrnuvez- vous
pas.,.Hen'"'
" riette
~
que c'eft bleífer
ouverreinen~
les
,, bomres 1nceurs·.
,, Je
r:efufo votre
dem~nde,
&
j~
11e
veme
" pas.m&me Fentendre. Comment: avez-v.0us
"
?[é
ptha~trel'
iei
?
y
?us a:vez
du
juger
que
"
Je n_¡ivo1s
pas
qwne ma foeur pour
fong,.
-"'
tem.ps.Quoi done,
!
la
cérémorrie· eft-alle
'"
déja 11aneienne ,,
qu'
elle-auto¡¡ife um
man~
,,
Gj,ue de faveir vivre·
?-
,. De favoir v1iv11e
,,.
Ma;dame
!·
Jil
µawt
,, vivemem
frappé
de·
Fexpreffion. Laiíifez...
" moi ,.
repris-j~
,
fans
lui•
d<;inner le tem;ps
., de
ré¡¡iondre. Sortez·
a
ce·
m0menr.
Mes
" yeux ne durent pas.e.tte bien
méchiints
dan~
,, m<t colere, car
il
me déclara
qúil
ne lbvti–
,, reir
poinr:;
tk
jetamt e'ncore uñe. fois
fes
·" bras aut0uc de-moí ,
il1
j@igni,t'
fa:
f.ace:
d:Uce
,, a
la mienne.
Jenny. étoít
toujour-s
dans
le–
"· <i:abinet.
~·· ApréCenn ,
mi~
Byron
7
v:o
us m~m'a... .
..
b.an~oiu:nerez
p-ainndáns-un cas
ou.labien-