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Dl1 CRP.V. GRANDISSON.

17

ne cruffent notre querelle

fort

gráve. Enfin,

lorfque votre chaleur s'eíl: appaiíee, comme

je le fuppoí'é, v·ous m'avez

fait

appeller. Sans

doute , ai-je penfé ) qu'il eíl: tout

a

fait re–

ve1m

a

lui-meme. Je me fuis encore hatée

d'obéir....

·

-

·1

Milord.

Et! ne vous

ai-j~

pas fuppliée,

Madame....

'

Miladi.

Suppliée , MonGeur? Oui ; mais

avec des regards... .L'homme que j'ai épou(é,

permettez·

~ue

je le di(e , Moníi.eur , avoit

un vifage tout différent. Voy_ez, voyez, Emi–

lie ; le voil.l partí encare une fois.

_ En effer, milord étoit forci dans un tranf–

port d'impatience. Oh

!

ces hommes , ma

c;;here

!

s'écria-t-elle en regardant Emilie.

Je fais bien, m'a dit cette chere fille,

ée

que

j'

aurois pu lui répondre ; mais on affure

qu'il ne faut iamais enrrer dans les querelles

conjugales.

La. méíintelligence ne

qu'aúgmet'l.ter

jufqu'au lendemain. Ernilie n'a pu me don–

~er

d'autres informations ; mais lorfqu'elle

achevoit fon récit, on m'a remis le billet Cui–

vant , 'de la part de miladi

G....

«

Henriette ,

li

vou

s av

ez pitié de moi

?

" venez me voir

a

l'iníl:

.1.nt

. J'ai grand befoin

" de votre con[eil. Je

foís

réfolue de faire

" caffer mon mariage. Aulli ne veux-je

fouf~

,, crire que mon cher nom de

e

H AR L E

s

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R A

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,