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s
T
o
I R
:!
mécontentement
a
leur freur'
il~
partirént
fans avoir pris congé d'eUe. M. Barlet prit:
au.ffi
le parri de monrer
a
fon apparteme1;t;
de forre que miladi G... qui ne tarda pomt
a
defcendre' fut extrernement furprife'
&
meme un peu piquée, de ne trouver
qu'Emi~
]ie. Milord
arriv-~
prefqu'
a_ui~tot
par
u~1e
autre
pene.
Affurement, lrn d1t-elle, v01fa
une €Onduite oien étrange. Avec vos
airs-d~
mari, vous mettez route une cG>mpagnie en
fui te.
Milor:d G...
Bon.
Dieu
!
V <n:is J'l.'le
jerez
dans un ..étonnement, Madame.,,..
·
·
Miladi.
A quoi reviennent ces excla–
mations, lorfque vous avez effrayé tout le.
monde?
.
·
Milord.
Mor,
Madatue-~
Miladi.
Vous, Monf!eur.
Oui,
vous.
N'.avez-vous pas pris le
ton
de ma!tre dans
moh,cabinen?
r::
amour
cle
la
paix .ne
m.~a-t-il
pas
fair
defoendre
!
Ne 1n'avez-vous pas foi–
vie... avec des regards...
fort
jolis , je vous
atfure pour un homme marié depuis deme
j.ours? Enfoite n'avez-vous pas voulu m'em–
menen N'auroir-on pas cru
q~re
c'étoü·potu:
me marquer qu,elque regret de votre con-.
duite ? A-t-il mar1qué quelque chofe
a
ma
fo11mid1ion
!
Ne m'a-t-elle pas attiré
dcis .airs.
d'lzommes?
N'etes··vous.·pas forti
bruCque~
ment de
la
chambre? Tous les affiíl:ants peu–
vent
r~ndre
ntmoignage
du
calme avec lequel
je .Cuis r
etournée vers eux, da11s la crainre
qu'ilsnes
'aflligeaífenttroppo.urn10i,
&qu'il~