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nu

C1u.v.

GRAtH>rssoN;

,

auffi long_-temps qu'elle peut ette acceptée

fans

bleíier

autre3 attache1'11ents;

j'y

borne

toutes mes vues.

I1

B'y

a

point d'autre attachement, a ré–

pliqué la comreJfe , avec lequel une arnitié

ii

pure ne p·uiffe s'accorder. Mon fils con–

nibuera de tout fon creur

a

la fortifier.

u

a~mire

le chevalier GrandiífoB.

11

regarde–

roit comme un double honneur, de íe lier'

avec luí par vous. Chere Mifs , accordez

auffi votre amitié ,

mais

fous un

1101n

plus

tendre ,

·a

i,.m

jeuBe homme que vous en

trouverez digne. Je vous demanclerai la qua-

- trieme place.

O

ma

chere_! de quelle

heu-_

reufe liaifon vous feriez

le nc:eud

!

·

-

Vous me faites trop

d'~onneur

,. Madame.

C'eíl: touc ce qNe j'ai pu foi répoqdre.

Mais, chere Miís,

il

me

faur

une expli–

cation. Je

ne me

•paie polnt

c.f

un compli-

n1enr.

-

, - · •- _

1

bien, Jv):adarne, je

confe1~s

a

m'ex-–

plique11.

J'~i

de l'honneúr : il ne me reíl:e

point de creur

a

donner.

.

Vous n'eres dopC'pas fans efpérance,

ma: ·

chere : ...

N'~mpoi:te>,

je

veux

tenir

a

vous,

fije le ¡:>Uis. Je ne me

[ero

is jaj.nais crue ca–

pable de

fa

pro¡>ófu1fion

q.ue

je

·vais

vous faire:

rnais

a

1nes

:yeux ' .

c0

mme

a

ceux

de

inon

íils, vous

eres

une

fille

incomparable. Ecou-·

tez-moi ':-.nous ne penferons point

ar

alliance

qui nous eíl: propofée,

jufqu'

au dépouement"

du voyage- de

íit

Charles. Vous m'avez

die

une

fois

~

que vous .pourriez do1mer la pré-.1

A

5