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Jd
I• 5· T· O
z,
R:
E'
l~amitié
m'efi:
fi.
précieufe , for-thut·,
for(–
qu'avec tant de charmes, iln'y·a-rien
~u'
elle
dc¡¡ive cr.oire aU".ddius d'elle.
Quelle gén6rofiré, Lucie
!
qu~elle
m'
a
tan.
4
1;hée
!
j'en ai fenti mon vifage inondé
deilar;–
mes., pendant que je
1~
eachois dercier.e•
le
f.auteuil de la.comteffe.
Mrus
elle
aconrinué~
dans
les
termes de
!ir
Charfos.
Permertez, Macfame, queje vous
épargne
d'.autres quefüons.
n
peur revenir quelque–
(;hofe
a.
mifs. Byr-on d'une c0nvedafion
fo
délicate. Comme j'ignore que! f
era
le.
foccesi
-
de
men
voyage, je répete qµe, mon
pr~pre
honneur
&
ce
que je dois
a
deux reunes
perfonnes également refpe&ables; m'impofe
des
loix
qu'il
me
feroit honteux d'ouhlier
..
Er-;p<;mr.
vousbuv.i;ir eF1tiér.erne1Jlt; mon creur,
de-
quel froror.ofer-eis-je ¡varoitne devane une·
femme d'honneur , devamt veus·, Mítdame,,
fi.dans
Le
temps
<!Jue
la
jn.füce·& fhonneretb.
me
foumettent
a
des devoirs don'l' cm
elb
t}fl
d
:roit.demedemander rexécution' jíétois
e:ap
abfod~av~mer d~autres
défirs,
&
de renir
en
fufl"Cns
la
faveur d'.une autre ferome,.
Jjµ(qu~a
l'éclairciffement de mon fortr?
Non,,
Madame , je· perdrois
plutot la
vie- que
de::
me fouiller par.cette indignité. Je me
con~
nois des liens.,
ajouta~t-il
; mais mifs
Byrom
efr libme.,
L.a:dame
ltalienne dont Finfontune:
'
m~appelle a~
lfoulogne ,
elt
libre auíÍi.
M.oni
, voyage eftindifp,enfabie; mais:je ne
faiS>p~1nt.
de
conclitiens
ave.e
moi-meme:;
&
n'env1fa-·
~ant
que: mon.' de.voii::
;s-·
j:e.
wouv.erai
ma.