j.2.
H
1
s
T
o
I R E
poUT nous dire: ce
fir
Charles,
c'~fr
mon
tuteur.
Mais que penfez-vous d'elle, chere lucie
!
M. Deane eroir découvrir dans
mi(s
Jervins,
une jeune pailion pour fon ruteur. le ciel
l'en préferve
!
Je fuis perfoadée que ramour
.peut erre vaincu dans fa nailfance : mais
qu
ellesferont les armes d'une filie innocente
&
fa.nsexpérience?
O
chere Emilie
!
gardez–
vous d'une pa!lion qui feroit votre malheur,
&
n'augmentez pas celui d'un homme qui
fouhaiteroit de rendre heureux le monde en–
tier ,
&
qui ne peur faire néanmoins que le
bonheur d'une feule femme. Mais Henriecte
Byron, qui donne ce
confeil, n'auroir-elle
pas du le prendre pour elle-me.me?
A
lavé–
rité' elle ne
(e
défioit pas alors qu'il eut
d'autres engagements. Que la more me glace
a
jamais le ccrur, avant que je fois
l'
occaiion
du moindre trouble pour le íien
!
Quoique
fes freurs m'aient pénétrée, je me flatte en–
core qu'il ne s'eíl: point apper<ru lui-meme de
1a
viétoire qu'il a remporcée for mon ame
entiere. Puiffe-r-il l'ignorer érernellement,
íi
cette connoilfance eíl: capable de meler une
ombre d'inquiétude
a
fon repos
!
Mais, chere Lucie, ne rougilfez-vous
pas
pour moi de cette derniere page? Vous le
devez , pui(que je rougis moi-meme en
la
relifant. Je me garderai bien d'y meerre ;non
nom.