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CH!!V.
G~ANn1sso?4'.
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Zi
l'a'lné, qui ouvroit la bouche pour parler)
vous
y
ferez réflexion , s'il vous pla'it, avant·
que
d~
me répondre. L'affaire efl: d'impor–
tance. Ne me diiiimulezrien.J'aimel'ouver–
ture
&
la bonne foi. Je vais me recirer, pout
vous lailfer le tem¡;is de cenit confeíl. Vous
me ferez averrir lorfque vous aurez pris vos–
réfolucions.
Je
fuis
paífé dans mon cabipet;
&
peu de
temps apres ils rn'ont fait dire qu'ils accen–
doienc mes ordres. Je fuis recourné vers eux.
Ils font demeurés quelque moments
a
[e
regarder. Parlez , Me!Iieurs, leur ai-je dic.
Ne craignez pas diz vous expliquer. En faveur
de votre onde, regard_ez-moi comme vocre
frere. L'a'iné ouvrit la bou&he; mais le voyant
héfner des les premiers mots: hardiment, ai-je
reptis-. Je vais vous ouvrir les voies moi–
rnéme.
Quelle
eíl:
a
préCent vocre ficuacion ,
Moníieur:.QuellesConc vos facultés préfentes?
Mon pere , Monfl.€ur, les malheurs de:
mon pere ....
N'en parlons poimt,
M.
Danby: Oublions
que vorre pere ait exifl:é. Je m'imagine que
toures vos e(pérances port0iein
fur
votte
vncle.
Mon onde nons a donné
l'édu~acion
...
~
Mon onde uous a donné ,
a
mon frere
&
a
moi' cha:cun mille guinées pour l'arpren–
tiífage du comn:erce. Nous n'en ::ivons que'.
cingcenrs,& le refre eíl entre
des
mrrins [l\res-
Vorre oncl'e·, Monfieur ,,étoirun excellenr
lomme. N ous devons un re[peé'c éren1el,aíai.
A
5·
I