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R-kN1IHS
so~.
l!2:lt
heµreufe ·
férmpe'
&
je· fouhai.ternis
a
l'un
&
a
l'.autre te,utes les félicités qu':eh peurc,
ef
pérer dans ce
f
monde.·
Je
le défavouex:0is–
Ge creur,
ú
fy
r:rnuvois d'autres feürirrients.
Les det1x dames
,fe
font
~rachees,
ai
M.
Grandiífor:ic, p01.rndécolillvrir le.snffuiresqui.
({01adillfent
íi
fouvenr:
fü
G1iarles·
a
Cantor-'
ber11.
,M~is
en ;avouafit
-~u'on.
ne l'oblige'
goi*11f.
~P,l • fec1iet,
iLne laiJie
pas-Cle
les renir
t¡cn
Jii{pe11,s
pi!r
1
Wil 1ba<tfiba-ge
affeébé,
&
pair
qes-av~11>llmes:.c4>ui~e1_iten¡;
beai¡¡coup leroman.
:U
efi:
queili01J., ~, s'il
faut l'en oroire, d!une
rres-belle fomme doi:1t
fu;
Charles efi:
aimé,
&
pour laquelle
il
n'a
pas 1n0ins
d'
amom;, 111ais1
fans a1ioID1 rapport au mariage, Ce'
M.
de
Grandi.íl0n ménage peu
la
yéríté ,
&
ne
fa'it•
p.e;s fcrupule ífemployer des 'teumes folem-
1
els..,1.qupíqáe pr01:i©n(;és; cl!urn
ai.c
badirH,.
pour dat;J.for de 1emba,rtas
par
des réáts
peU>
vraifemblables;
&
le
..lnauva~plai1ía1\t
¡¡je·
alors fans m¡:fure,
de
l'iiucertüucde
ou
il
j.ette
~eux
qJti
1
l'écoute.Jilt. Qeelles fui'.!0le9
c11éa~ 1
tu-rés,que
les perii;s-n11a1tres
l
Qui.ell~
i:dée
doi~ 1
\•enr-ils avoi_r das
f~nes
?·
& ; <qu'elle8
fontr
-folles,
en ef(er,
de:.fe-p
rerér a;des;e~travagan-' ·
ces,
dont le
ridicule"i
:etombe.oi:dinairemen~
for
elles!
.
·-
C et -homme importa111t troava
hier
au
foit
toccaCion de m'entretenir feuJe,
&
me priiá
¡
fon
férieuíbmenr d'agréer
fes
foiros.
•J:el1
fu;<¡ .
tres-ma.uvais
'ªrii
aux
deux
f
reurs
~
car
;e jugeaj qu'elles Ne iií'avoient laiffé feule•
.14Yet
lui
qµ~lpoUr·
fa;vorifer.fon delfein;
Se~·
l
TfJme 111.
,
f.