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nu CHE'v. GRAN DI s s oN.

f

Mais, ayan.t le'.'é la

t~te

,

~

n'appercevant

plus que les tro1s femmes,

.17

repns

u~

·pe'!'

de force ,

&

je commenc;ai a les fuppher, a

les preffer ,

a

leur promettre des

r~compen­

f

es,

{i

elles vouloient faciliter mon évaíion>

ou répondre de ma súre'té. Mais je vis ren-

·trer l'odieuxvifage.

··

"

Je vous demande en grace, mifs Byron

»

me dit-il d'un airbeaucoupplus arrogantque

la premiere fois , de ne pas vóus troubler

,

-&

d'écouter ce que j'ai

a

vous dire. Il dépend

de vous

&

de votre choix d'etre ce que vous

voulez ,

&

de faire de moi ce qu'il

v~ms

pla1t.

Vos terreurs ne menent

a

rien. Vou;; voyez

que je fuis homme de réfolutiQn. Mefdames,

en s'adre!fant aux rrois femmes, faites-moi

la

grace de forrir.

1

Non , non ! m'écriái-je , vous ne me laiC–

ferez pas feule ici ;

&

tandis qu'elles

fe

reti–

roient, je me jetai derriere la mere., que·je

fuivis jufque dans·

1'

anrichambre;

La ,

je me

lai!fai tomber

a

fes genoux,

&

les ferrant rle

mes deux bras: Oh! fauvez-moi, fauvez-moi >

lui _dis-je avec un ruiífeaude larínes. Le mi(é–

rable entra auilit&r: je laiífo.i la femme,

&

je

me mis

a

genoux devant lu.i. Je ne favois ice

que je faifois. Je me fouviens de luí avoir

dir , en me tordant les mains :

íi

vous étes

capable de pitié;

{i

vous eres feníible

a

quel- -

que chofe , Monliem:, je vous en conjure >

prenez compallion d'une malheureufe.Jefup–

pofe qu'il

íigne aux fb:nmes de

fe

retirer•

.

.

A; .