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«
Plegrettez-vous
c~
fer , ce charbon
qi.revous ne laisseriez pas enfoui , parce qu'il
est
a
votre portee? , Vous pouvez l'extraite
~
la
loi
vous le permet; ' et
les concessicms ' ne
mettent aucun obstacle
a
VOS droits
H.
"
A
vez-vous cleccuvert des mines memes
profoHdes clans VOtre S©l? aviez..
VO~S
com–
mence
a
les exploiter lorsque le gouvernel"'
ment vous en d€,pottilla ? rentrez. clans votre
propriete ; ces usurpations sont aneamies
>'·
" Verriez - vou,s avec pe1ne qn"un aMtre
profitat des richesses que cache votre pro–
priete? vou's serez prefere ; mais exploitez
' vous-rneme, et ne privez pas la societe- d'une
production qui lui est indispensable ; n'erUevez
pas aux manufactures kur - aliment
fe
,plus
·necessaire
».
" Ne voulez-vous pas exploiter, ou ne te
pouvez-vgus pas
~
vous n'eprouverez
doik
aucune perte, Meme clans ce
cas,
J?homme
industrieux qui vous remplacera , sera
f9toe
·d'acheter la partie de votre sol clans lac;piellie
-il
viendr~
deranger vos paisioles travaux
*· ·
1
«
Voyons ce que le proprietaire p0urroit
desirer de plus; et quaricl je dis le p·i'Opri'e- -
·taire,
j'
entends parler <le l'interet
petsonfi~l
l~
plus exigea·nt. Le
prnj.et de Joi ,
<iti1'"a-r-on ;
Dd
4
'