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étouffer
a
jamais le
germe
des combats , iI
falloit
renoncer
a
toute force extérieure '
dét:ruire
nos forteresses ,
dissoudre
notr-é
ar–
mée, et
brúler
nos flottes , nous en donne-
1-ions les premiers l'exempleº Les deux prín–
cipes que
je viens de rappeller indiquent
déja
la
réponse -qu'il
semqle
que le roi doive
faire
a
la cour
d'Espagne :
mais
votre comité
entrera dans quelques détails ;
nous
ayons
examiné
notre
alliance avec l'Espagne. sous
ces
rapport~,
l'époque de
cet arrangement ,_ ·
son utilité , sa forme ,
nos
moyens ,
la po–
s ition
actuelle
des Espagnols
et..
les
v-ues
ap–
p arantes des Anglois.
}~
( Voici les
résultats
de
nos
recherches.
e Espagnols ont
étá
long -
tems nos
enrn~mis ;
apres
plus
d'un
s iec~}e
de combats
~
la
p aix
des
Pyrénées
vir:nt enfin
désarmer les
morns
redoutables de deux peuples égale–
men t fiers et belliqueux ,
qui se ruinoient et
se déchiroient
pour
l'orgueuil de
·quelques
hommes
et
pour le
malheur
des
deux nations.
Le
rep os
de
'l'Furope
fut
court :
les
·passions
des pr.i
ces
ne
connoissent qu'un
léger
som–
meil. Louis XIV réunit
da1:is · sa
famille les
sceptres d e la
France et d'Espagne ;
cette
réunion, et le$ yues
ambitieq~~s
qu' elle recé.
loit