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I'
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I
les
lumieres?
Tout cela
n?
est
peut-etre rien;
mais c'est
pe~1t-etre
aussi quelque chose ; et
le decret rendu c0ntre le commfl.ndant d'une
milice , est sans doute un
incident grave..
_Mais ne cherchons point
a
peuetrer ce mys.–
tere' ni
a
lier cet evenement systematique
de 1a procedure :
11e
jugeons des motifs et de
la
conduite du prevot,
que
par
les
pieces
que
' _nous avons d€ lui.
>'
~'
Observons toutefois en passant ( et puis–
'sions-nous n'etre
pas
forces
d'y
revenir)
!
que
. 1€
12
du mois courant , le conseil municipal
de
Marseille
a
invite clans
sa
deliberation,
$0US
les F ran9ois qui ont
quitte
leur patrie
a
ren–
trer Jans les murs
de
Marseille
;
qu'il Les met
.sous la
sauve~garde
de La nation
,
de la Loi et
'4u
rei,
ct
leur promet entier& sured.
Cette
piece
a
ete
envoyee
a
tous les mii..1istres.
J
e reviens
\
~
la disc11ision des faits
>'·
»
Je
vous
ai
annonce, Messieurs ,
que
le
·prevot
avoit. info.rme contre les assemblees
tenuss
·chez
le
sieur Asquier ., le
.2
3 juillet. Le
_cahier
des depositions est au comite des
raJJ-
, ports. Voici comment le prevot s'exprime sut
cette
assemblee et sur la deliberation
qut
y
fut prise, clans sa lettre du
22
decembxe
au~
fepresentans
de
la natiop
~,,,.
.,
.
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