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~afion
importante.
Mais que n'ai
-je
SQUS
les
yeux cette procedure
que
l'on
s'ob~tin~
a
·ca her , et ,
j
e ne erains pas de vous le predire
~
:que vous
n'aurez jamais
?
La
vous
verriez.
des
.seances entieres
d'un interrogatoire ,
con.sa–crees
a
demander
a
un accuse ce
qu'il
entend
par
ARISTOCRATIE ,
ce
que
c'
est
qu'un
ARIS–
TO~RA
TE,
OU
a
le convain-cre
-qu'il
a
donrre
~ix
liards
a
des enfans pour
l
eur
faire
crier
VIVE LE
ROI.,
VIVE LA NATION;
OU
bien
a
lui faire
rendre compte
d~
actions
jour.na–lieres les plus
indi.fferentes.
Le
prevot
inter–
.roge les vivans comme en Egypte on
interro–
geoit
les morts :
QU'AS-TU FAIS DU TEMS
ET
D.E LA VIE
?
La ,
vous
verriez
Fexplication
· d'une conversation singuliere que je vais
vous
rapporter,
d'apres
la lettre
de
M4
Lejourdan.,
conseiller de l'amiraute , decrete d'ajourne–
ment clans
cette
procedure ,
mais
qui n'en
est
pas
ffi{)ins
l'un
des
citoyens
les
plus
censider6s de
rvtarseille'
l'un
des
avoc.ats
l~
plus estime
de Ia province.
J'en atteste
"7
~ans
exception , toute
la
deputation
proven-
~ale
"·
~•
M.
le
prevot,
dit -
il,
envoya
clze,{ moi
des
"JUt
je fus ici
,
pour traiter de conciliation
;
et
-
~fiolis
2
S~/1.
asses.seur
,
a
etJ
Still
ne$OCi~ueur
;