(
114)
vai-sselle
qt:i
se
trouvent dans le
ch@'teau
d'wt
de
ces fiefs.
Quoi
!
donataire d'une
va-ih elle ,,
a–
t-on dit aussi-to.t
!
Une.
vaisselle
'n'est
pas un
fief; done le comte de Mirabeau n'est pas dona-–
taire d'un
.ft-ff
Et voila comme on
a jugé
!
p arc e qu' en effet , e' es t F1insi que des gentils–
h ommcs doive nt juger. L'homme de
palais
sourioit sans do ut e ; mais il s'abstenoit ele pro–
n onc er. commGi
syndic , , comme 3.vocat con–
su lté ,
co111me ayant
p
rdu
la mémoire ..
D'antr es
gent il
hommes ont
<lit:
le contrat
d e mari ag e
ne
p
rl e
des fiefs que pour les subs–
ti tuG ,
t
non
1~o ur 1
s donner.
Il
y
a
don¡c
snhstitution , et n on
clonat ion.
Cette
consé–
q t· ence a du
paro1t.rebi en juste; et cependant
elle n e 1'
!
toi
t
pas , puisqu'il falloit dire au
.co trair :
do n
il
y
a l e
mot substitution,
er. t
non
le
mot dona ion. Il restoit des-lors
a
e.-ami1 cr , ce
q'_ii
s ul étoit en question ,
s'il
n' rr ive ·
am:ii que
1
on soit donat aire
par le
fai t
~
quoiqne s 1bs ·it u ' dans les termes.
En
posant la qucs ·i n
el
cetre maniere , il n'est
pas
un
se
il
·ge0
·i
homme ,
qt~i , par
loyauté
n' ut r efusé de p ronon er. Mai s qui done
pouvoit pose r a ·nsi
la
question? Cehú-la seul
qm ne se r app
lloit
pas de
l'avoir déjá
déi
cid ' e.