/
)
( tr6
J
r~nce avec mon
pere,
et
qu'en _
VGtant pour.
.les fiefs , je réunis l'intér~t du propriétaire,.
a
celui
iu
possesseur.
A
Dieu
ne
plaise.
que ,
j'
ose
jama.ispre!}dre üne place
a·
coté–
du
vénérable
représentant que
fa
nature:
m'a donné , que mon _creur eut "choisi,
~t
aupres de qui je ne puis avoir que le
res–
pect du
sentiment pour
suffrage
!
Mais
la.
place que je lui céderois, et qu'il me cedé .
lui meme ' dautr~s que lui peuvent - ils
me
J.a disp~1ter
?
Que
gagneroit - on d'ailleurs
a
écarter le
fils ,.
si le pere pouvoit paroitre
?
C~lui-ci n'est-
il
done plus l'ami ~es hommes
qu'il a éclairés et défendus pendant un demi~
iiecle?
1
Je pourrois dire encore
a
c"eux qui
sou..:
.tiennent .avec raison' que re n'ai pas ce qu'il
· ne faut pas avoir, la possession d'un- fief,
<:J:Ue
j'ai
du
moins la possession de voter pour_
Jes :fiefs; et
qu'a
ce titre, j'avois un droit ac- ·
.~uis de rester dans l'assemblée d'o11
l'on a
. ,VO\!lu
m'exclure. Ce~te question, je l'avoue,
~_toit dµ ressort des gentilshommes ,
et
j'en
.. ,uis faché pour e1ix : j'aurois voulu qu'ils
· n' ~us,sent jugé que ce qu'ils ne pouvoient
vas .entendre.
' , _Toute ~ssemblée peut faire sa propre ,po~
t'