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(no)

gations;

de

n'etre

astraint

par-dessus

toútpoui

le choix de~-députés qu'a

la

confi.ance ·; ·d'abro~

ger

tous ces -regl?mens absurdes qui nepermei:~

tent pas de choisir lorsqu'il faut choisir ;

de

donner

au~

suffrages réünis des communés

une

telle portion de puissance , que la, volont6

des

deux ptemiers ordres qui ne sont point

Ia·

1fation , ne puisse jamais etre prise pour

la ~

,volonté

générale

de cette nation; de donner,

aux comau1nes un syndic, et un syndic da'ns

les états , parce que tout ordre qui, en certain

cas , a une personnalité distincte de cel-le

de

~hacun de

ses

membres ' doit avoir un syndic;

de

confér er a

toute assemblée le droit de

choisir son président ; de n'y voter sur le choi:x

des personnes qu'at1 sctuti11 ; d'acconler

le

verbal <l'opinions ' des qu'un seul membre

.le

rédame;

de ne délib~rer sur a1icun objet qui

n'ait été propasé la veille•••••. Ces principes

· ne sont plus de vains problernes :

le

suffrage

universel de la .nation les,,.,a co~sacrés; et

que

je sois, ou-non, dans· l'assemblée · d~s possé–

,daml-4iefs , le terme des

a,b'us est

irrévoc~ble~

ment arri'vé.

Je le sais, nation proven~ale, c'est pour en

tarir

a

jamais la source que vous avez demandé

i'assemblée des trois

ordtes.

Mais

c~oyez

-c¡ue-

/