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2.70 \ VAR.IAN·TES
Mit entre nos ai'f UX,, eni:re .no~ nations ~ .
Tant de µiépris ,1de haine et de_ divjsions !
Mon peuple avec dépit verrait pármi ses reines
La fille des tyrans,dont il re~ut- des chain..es,
ZJf :•.
Votre peu"ple verra sans haine et sans effroi
Cette main qui br~sa les ?haines de son roi.
'RA 111.I R'E,
10uí, vous-adoucirez leur courage inflexible.
Quel Creur a VOS VerttlS pourraÍL etre Ínsen~ible?
Mais, malgré ces vertus, malgré tant de liens,
_Malgré les vreux du peu._ple unis av,ec les -mie1;1.s;
Il est une barrier.e invincible, étern~J.le..,.
, Z,ULJI ME.•
.VouJ m'arrache:z le creur; ach.evez ; quelle est-elle i
RAMJ_R;E;.
C'est la religion, la' pFenriere d~s lois .,
Souvera-ü:i.e immor.teile et du peuple et des rois~.
Ce puissant Mahomet, auteur de votre race;
.De la moitié du monde a pu changer la face j
De l'Inde aú. m:ont Atlas il est p·resque adoré;
Mais chez nos natiohs son culte est abborré.–
De nos aiitels jaloQ.X l'inflexible p"Q.Íssance
Entre Zulime et moi proscrit toute alliance.
ZULIME.
Je t'entend,s, cher R.am.ire, etc.
\
SCENE IV.
1L n'est plus de retour . dans ma patrie.
Je n'ose vous ,prier de par<lonner mon .choix,
D'excuser un hymen condamné par nos lois,
))'accepter un héros, un souverain pour gendre,
l)o;ntl'alliance 1.m jour.... ·
t)ÉNASSA!l.•
.Je ne -v.eux plus t':eritendre) etc.