RAMIRE.
E.lle est ma bienfaitrice ; il me faudra la c:rain,dre
f
• M'avilir par frayéur
a
la fronte
'dé
feínd're
!
'
·Je la respecte trop; un ,cceur tel que le míen
Luí
tiendra sa parole , 0u ne promettra ríen , etc.
J
,
,
(
se.ENE n.
·:z;U,LIME,
METTONS
pres.des humáins ma gloire en sureté,
Et du dieu qui m'entend mérítons la bonté.
El1
qu0i
!
voi1s so~pirez
!'
Quel trouble vous agite?
RAM IRE,
Pleine de vos bontés mon ame est int~rdite•
.·'J
e•,suis un malheureúx' destiné désormais
A
d'éternels 'chagrín~
plus
grands que vós hienfaitS¡
Tout nous unit, mais le ciel nous divise•.
Ignorez-:-v,ous les
lofa
ou l'Espague est sourhise
?.
ZULIM,E.
Je ne crains point ces lois : leu,.r, triste dureté .
Cede aux rois,
a
l'aínour,
a
la nécessité.
··nes plus austeres lois que puis-je avoir
a
craindre?
Si
nos droi,ts sont sacrés, qui pourrait les enfreindre? ,
Quels sont done l.,es humains qui peuplent vos États?
Ont-ils fait q~elques lois pour former des ingrá.ts
?_
RA:M
IRE,
Je suis loin d'etre ingrat',
,et
mo~ cceur ne pe'utl'etre.
·'
Sans
doute.'
.. l.;
RAMIR _E,
l\1ais l</ sang
doXÍ.tle,'ciel nous
'fit
nahre
·J