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R'A'!\1,IRIE.
'.i\h
!
fallait-il que ta!'füneste ,adresse
De Zulíme
a
ce 'poi~t égarat la faipless~?
Fallait-il lui' pr0mettre etnia main- et mon -creur?
IJs n'étaient -po_int
a
m0i,
tu
m'as perdu d'honneur,
lDA:r,JORE,
C'est moi qui ·vous sauv;1i, vous, Atide et Valence,
Un
tróne vous appelle, et v-otre esp;it balance
!
Et
d'un vain repentfr.vous. _écoutez
la
voi~
!"
RAM I RE.
J'éco~te tnon devoir.
ID-AMOR.E.
11
est celui des· r-ois.
{
RA.-M
I RE,
Je suis bien loin de l'ette; et c'est un triste
augy.re.
.D'etre esclave ~n Afrique, et d'en.fuir en parjure.
p:>,
AMO RtE,
Ji'eignez un jow; du m'0ins._
~A MIRE.
C'
en est trop pour mon ereul\..
AveQses ennemis o-p, fei~t sans déshonneur;
Mais tromper une femme et tendre et magnanime,
L'
entra1ner daT\S le piege , ét la conduire au c:i:iip,e ; .
De ce crinie si clíer
la
punir de ma main ;
M'armer de ses bíenfaits p~mr lui P.ercer le sein; .
Prendre
a
la fois les noms de rrionarqu_e et
1
de
tr~1tre., ...,, ·
IDAM0R..E,
Dans vos États ·rendú, seigneur, vous
ser.ezmahre ;
V,ous'"pourrez accorder l'ü1téret, la grandtmr,
E_t la i;econnaissance, et l'~mom:, et l'honnel!r· _
Remettez
a
ce temps,. plµs sur et plus trc1,p.quille '--·
De ces·droits délicats
l'
examen difiÍcile.
·
-
Lorsque v~us ~e;ez roi , jugez et décídez;
lei
z;lüne re'gne' et'Vous en dépendei~
/
1