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S·CENE
l.
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Ces Turcs impérieux, qu'a
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úcun devoir n'al'ret'e,
.De E.amire et desúens ont'demand~ la tete;
Et de votre divan la bassc cruauté
Souscrivait en tremblant
a
cet affreux traite.
De Zulime pour nous la bonté généreuse
Vous ~pargna du moins une paix si horit<;use.
Elle acquitte enveis nous ce que vous nous devez.
N'insultez point ici ceux qui vous ont sauvés :
Respectez plus R.amire et ces guerriers si braves ;·
· Ils sont vos défenseurs, et non plus vos.esclaves..
MOHADIR,
a
Zuli:we.._
Votre secret, Zulime, est enfürrévélé' :
Ainsi clone par sa voix votre cceur ~parlé?
Oui ,,je l"avoue.
ZULIME.
MOiHA
DIR.
Ah dieu!
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ZULIME.
Coupable, ·mais sincere,.
Je ne puis vous tromper... Tel est mon caractere.
1110
H.í\:DIR.
Vous voulez done charger d'un affront si nouveau
Un pere infoTtu-~1é qui to uche
a
son tombeau?
ZULIME:,
Vous me faites frémir. ·
l\'.I@H,ADHh
Repentez-vous, Zufoue;
Croyez-moi, votre ot.eur n'est point né pour le cdme.
1
ZULIM:E,
Je me repensen vain; tout vá se déclarer :
· U
est des attentats qu'.on ne·peut repare1-.