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AGTE ,IV,_SCENE III.

C'est cet amoúr, c'est lui qui m~e ramene,

Non pour briser votre nouvelle chaine,

Non pour oser trav~rser vos destins;

Un malheureux n'a pas de tels desseins: ·

1

!.Mais quand les maux

oi1

moú esprit-succompe

Dans mes beaux jours avaient creusé 1:na tombe,

A peine encore échappé du trépas,

Je suis venu; l'amour guidait mes pas.

Oui, je vous cherche

a

mon heure derniere.

Heureux cent fois en quittant la lumiere,

Si, destiné pour etre votre époux,

Je meurs au moins sans etre hai de vous!

LISE.

Je suis

a

peine en mon sens revenue.

C'est vous,

ó

ciel! vous qui cherchez ma vue!

Dans quel état! quel1jour!. .. Ah malheureüx!

Que vous avez fait de torta tous deux ! ·

EUPHÉMON

fils.,

Oui' je

fe

sais : mes exces'

CJUC

j'abhorre'

En vous voyant, semblent plus grands encore: ·

Ils sont affreux, et vous les connaissez;

J'én suis puní, mais point encare assez.

LISE.

Est-il bien vrai, malheureux que vous etes

!

Qu'enfin, domtant vos fougues indiscretes,

Dans votre creur, en effet combattu.,

Tant d'inforturíe ait produit la vertu?

EúPHÉ MON

fils.

Qu'importe, hélas

!

que la vertu m'éclaire?

Ah! j'ai trop tard apergu sa lumiere ;-

Trop vainement'mon cceur e-n est épris;

De

'fa

vertu je perds en vous le prix.

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