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1!fo

L'ENFANT -- PRODIGUE.

MARTHE.

De son danger cepeudant Ía nouvelle

Dans votre cceur mettait.quelque étincelle.

LISE.

Ah! sans l'aimer on peut plaindre son sort.

.

..

MARTHE..

lVIais n'etre plus aimé

~

G'cst étre mort.

Vous allez done etre en.fin

a

son frere

.?

LrnE.'

Ma chcre enfant, ·ce mot me d.ésespere-.

Pour Fierenfat tu co0nais ma froideur;

L'aversion s'est changé:e cm horreur :

C'est un breuvage

,affrewx;

pfoin d'amertume;

Que dans l'exces du mal qui me -consmn·c

Je me résous de prendre malgré moi,

Et quema maü1 re'j·elte avec effroi.

J ,

J

ASMÍN,

tirant

l\larí:'li'e

pat

la robe.

Puis-je en secret,

ó

gentiU-e m-erveill ~!

Vous dire ici quat'rc móts

a

l'oreille?

l\:IARTHE'

a

J asmin.

Tres-volontiers.

LIS E,

a

part.,

O sort ! pourquoi faut-il

Que·de mes jours tu respectes le

fil,

I,,orsc¡u'un ingrat, un amant si coupablc,

Rendit ma vie , hélas

!

-si miséra.ble

!

.MA RT

HE.,

v-enant

a

L>is.e-.

C'est un des gens de votre président;

Il est

a

Iui,

di't-il,

nouveB.ement;

II voudrait bien vous parler.