AGTE IV,
se.ENE
l.
.
l47
Rcprends cet air impo.sªnt
et
vªiuquetn-,
Si sur de soi, sí puissa!lt
lllU'@
c~1,1r., .
Qui triomphai.t sitót de
1ª
sagesse.
Pour etre heureúx,
reprep.ds·ta hardiesse.
E UP
HÉ J\19
N
Ji.Is.Je l'ai perdue.
MA
DAME- CROUP ILLAC.
Eh y:uoi ! guel embarras!
EUPHÉMONfüs.
J'etais har<li lorsque je n'aimais pas.
'
!
J ASMIN.
~
D'autre~ raisons J'lntímídent pcut-etre;
Ce Fierenfat es't ma foi notre ID1\itre; ,
Pour ses valets il nous retient tous deux.
MADAME CR,OUPJ;Lli,AC.
C'est fort bien
fait,,
v0.us&tes trop heureux;,
1
De ·sa/maí'tresse etre le domestique.,
,
i ,
Est un bonheur, ur_i destin presque unique ;
Profitez-etJ.
·
JASMIN,
Je vois certains attraits
S'acheminer pour pre1ld1,e ici
fo
frais;
De chez Rondoº~
m~
seinbk
1
~1!~
~$t
:;ortie.
1\fA-D.AME CROUPILLAC.
Eh!· sois done vite an10ureux, ·je t1en prie :
Voici le temps, ose un p,cu luí parlcr.
Quoi ! je te vois ~oupirer et tr
1
embler !
_Tu bimcs done? ah! mon
ch~;,
ah! de gr~ce
Í
E UPHÉMON fils.
Si vous saviez ,. hélas
!
ce qui se passe