ACT~ IV, SCENE IV.
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'SCENE IV.
LISE, EU:~HEM'ON nr:sf, :MARTHE, JAS,M1IN,
f'IERENFAT,
"dans le fond; pendantJ qu'Euphémon lui
tourne le dos,,'
FIERENFAT.
O
u
quelque diahle a trouhlé ma visiere,
Ou si mon reil est toujours clair et nct,
Je suis... j'ai vu... je le suis. .. j'ai mon faif.
(En avan<;ant vers Euphémon.)
Ah! c'est done toi ', trait~·e, impudent, faussaire
!
~
UPHÉ MO N
fils, en colere.,
Je ...
JASMIN,
semettantentreeux; -
C'est, monsieu:r, une importante affaire,
Qui
se
traitait, et que vous dérangez
,J
Ce sont deux creur.s en peu
de
temps chal!gés;
é 'est du re;pect, de la reconnaissance,
De la vertu ... Je m'y perds quand j'y pcnse.
FIERENFA.T.
De la vertu? Quoi ! Iui_baiser la main !
De
la vertu? s.célérat !
EUPHÉMO•N
fi.ls.Ah! Jasmin,
Que, sí
j'osais...
FIERENFA.T.
Non, toui ceci ·m'assomme : .
Si c'eut été du moins un gentilhoníme !
~ais un valet, un gueux contre lequel,