ACTE I,
-5.CENE
III.
_Loin:de mes yeux qui, noyés dans les larmes,
Pleuraient encor ses vices ef sos charmes. -
Je ne prends plus nul intéret
a
luí.
MARTHE.
Son frere enfin lui succede aHjoui'd'hui :
lb aura Lise; et ce~tes c'est domm,áge •
Car l'autre av~it ui1 bien jo
U
visa,ge,
De blonds cheveux, la jambe faite au. tour,
Dansait, chantaitl,
éta.ittié ¡Jout l'ámoar.
LISE.
Ah!
qué dis-tu?
MARTHE.
Meme dans ces méÍanges
D'égarements, de·sottises étranges,
On découvrait a,isément dans son creur,
Sous ses défauts, un certain fonds-d'honneur.
LISE.
II
.était né pour le bien, je l'aV:oué.
M!ARTHE.
,
. Ne croyez pas que ma bouche le lqUe;
Mais il. n'était,'me semblc, point flatteur,
Point médisant, point escroc, poirtt menteur.
LISJL
Oui; mais ...
MARTHE.
Fuyons, cat c'est monsieur son frere.
LJSE.
II
faut rester, c-'est
un
maÍ
nécessaite.
/
.
r--
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