.AC'FE I,
S{!ENE
V.
FIERENFAT. ,
Ah! je prétends,moi l'aHer consoiier.
Vous savez tous comme j_e,le gouverne;
Et d'assez pres la
cho.senous cgncerne ~–
Je le connais, et des qu:il me verra .
Contrat en main,
1
d'abor,d
iI
si
1
gnera.
Le temps est cher, mon nouveau droit d'ainesse
Est un objet. ..
LISE,
Non ,.m?nsieur_, rien ne presse.
RONDON ,
Si faif, tout presse; et °c:'est ta falite á.ussi'
Que to,ut cela.
MSE.
Co.mme'nt? moi
!
ma faute?
B:0,ND(i)N.
Les coutre-tem,ps
<iJ!Ui-tro:ubfont
}es famil1es
V.ien~ent
toujou.rspai:: l_a fau.:tie,efes filles.
l..JiSE.
Qu'ai-je done
fai,~
qu_i
~ous fkl)e si fort
?.'
l\O_Nl> O,N.
Vous avez fait que vous a•vez tous t0rt.
· Je veux un peu.vojr nos deu:x trouble-fetes,
A
la raison raingeir leur¡¡ l011rdes·tete's;
Et
je,prétends vou_s·ma-rier t>a-ntót,
Mafgré leu,r,$ d_ents, malgré vous,.s'il le:
faut.
FIN. DU PREMJIER A.CTE,
Oui.
ro3