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i.:N AUTRICJlE.

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353 ,

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V

()U

f.,

f.

,

ch

allemancl.

ps. _,

A

A

o

ou

a. ·

;Parmi ces caracteres ,

s

et

'4"

ne sont que des

lettres doubl~s; ~ar le premier veut diré

ks

ou

xi., _""

·et le second,

ps.

Trois antres lett:res,

e,

Y,

<I>,

ne

pouvoient se trouver chez les Slawes_, dont la

. laqgue n'avoit pas les soµs _qn'elles désignent. · ·

./ -'

De plus, de'ux. autres lettres, .

i

et

u.,

étoient

doubles ; la prononciation de -

ly

ne différoit

point de celle de

l'i

ni de cellé de

l'u.

II restoit

done dix-sept caracteres qu~on pouvoit employer

pour le slawon, et atH¡uel on pouv?it cependant

ajouter

ly

ou la diphtongue,

ou.,

qui se pronon–

~oient alors comme

l'

ou

fraru;ois; ce qui faisoit

en tout dix-huit

caracter.es

adniissihles. Mais il

en .falloit d'autres pour rendre les sons suivans :

Celui du

b

fran0is, que Cyrille ou Coustantin

le Philosophe ex.prima par 6;

~ehfr de ly fra~~ois, qu'il rendit

par :t;

Et celui du

che

frarn;;ois, qu'il exprima par

ur.

A~n

de donner

a

son, alphabe! toute l'é_tendue

nécessaire, Cyrille inventa encare les signes

sui–

va_ns:

1i

pour le soµ ..

de

u~

franc;ois

¡

4.

23