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f.,
f.
,
ch
allemancl.
ps. _,
A
A
o
ou
a. ·
;Parmi ces caracteres ,
s
et
'4"
ne sont que des
lettres doubl~s; ~ar le premier veut diré
ks
ou
xi., _""
·et le second,
ps.
Trois antres lett:res,
e,
Y,
<I>,
ne
pouvoient se trouver chez les Slawes_, dont la
. laqgue n'avoit pas les soµs _qn'elles désignent. · ·
./ -'
De plus, de'ux. autres lettres, .
i
et
u.,
étoient
doubles ; la prononciation de -
ly
ne différoit
point de celle de
l'i
ni de cellé de
l'u.
II restoit
done dix-sept caracteres qu~on pouvoit employer
pour le slawon, et atH¡uel on pouv?it cependant
ajouter
ly
ou la diphtongue,
ou.,
qui se pronon–
~oient alors comme
l'
ou
fraru;ois; ce qui faisoit
en tout dix-huit
caracter.esadniissihles. Mais il
en .falloit d'autres pour rendre les sons suivans :
Celui du
b
fran0is, que Cyrille ou Coustantin
le Philosophe ex.prima par 6;
~ehfr de ly fra~~ois, qu'il rendit
par :t;
Et celui du
che
frarn;;ois, qu'il exprima par
ur.
A~n
de donner
a
son, alphabe! toute l'é_tendue
nécessaire, Cyrille inventa encare les signes
sui–
va_ns:
1i
pour le soµ ..
de
u~
franc;ois
¡
4.
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