V OY.A.G E
pa:rfoient slawon. Le premier soin de ces den~
Grecs
fut
d'apprendre
a
écrire aux Slawons ;
mais voyant que l'alphahet grec ne suffisoit pas
pour marquer tous les ~ons de la langue escla-
.vonne , et se rappelant saris doute l'histoire de
l'alphabet grec., ils n'hésiterent point d'angmen–
ter celui des Slawes de plusieurs lettres nou–
vellés,
afin que,
c~haque ,son
füt '
exprimé par
une lettre ·particuliere. Voici celles qu'ils em–
ploy.erent,
Ú,
q~i'ils dériverpnt
du
grec ou qu'ils
.
,
.
'
'
mventerent.
A
se
pr(.)n07!-fOi°t,
du temps de
Cyrille ,
cómine
A
latín.
.
'
B,
con:i,me.
).'
r.
A.
E.
z.
H~~
e.
I.
K.
A.
N,
-
~.
p.
n.
p • .
~
..
.
v:,
(ó.
g.
d.
e.
z.
v.
th
angloí.s:,
l.
k_
L
m .
n.
rs..
O·.·
p~
r~
5
foi'tt