t
E~
AUTRICH~.
·approche plut6t des ·a~jeétifs
f1~1e
de~
subs~an-–
tifs, selon qu'on ' emploie les adjectifs comme
épithetes ou pour désigner les quaJi~és des objets:
on les .décline d\me .maniere part,cuJi~re.
Le.
n1sse
·,
le polonois
'et
le 'boheme
.
offrent
encore
,
gans la déclinaison de leiirs substaritifs et de
.
.
leurs adjectifs masculins et féminins' une difil-
rehce telle qu'o:h pel!t juger
·si
'1a
chose ·dont
on
párle 'se troilVe parmi1es ohjets dsmés 'ou
privés de la vie. Quant aux conjµgaisons sla-w;es,
on pe1rt di:re que ríen n'est plus 'simple.
En effet, le caractere de l'infinitif est
ti,
cehii
du
présent
U,
ju
1
011
11¡
_,
Celui
du
prét<frit
en
t
_,
et· c~lui
~~
l'impératif en
i.
Les personnes sont
marquées par des syllables finales.
II
y
a quatre
futurs et prétérits·, et da::is les prétérits on oh- ·
· serve encore la différence des genres. Mais, ·ce
qui est remaqttable' c'est qu'on peut avec ces
futurs et ces
prétéri.tsdésigner trois différentes
especes d'action ; savoir, celle qui a lieu de
suite, celle qui dure long-temps, et celle.qui est ,
, .répétée plusieurs fois. Le slawe manq1-1e de cons..
jonctif .et d'optatif. Le passif
.11e
peut
etre
forfi1íé,
· .que par
1
périphrase. La négation
ne
se .met pas
immédiatemeni ava11t le verh~. Le comparatif se
forme simplement en ajoutant
a
la
fin du mot
f
la
syllabe
ssi;
par exemple, on dit
men.,
petit, e\,
men,ssi
~
~oindre;
pour le superlatif' on
~joule