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L'ÉCOSSAISE.

FA.BRICE,

Au contraire, madame, nous souhai.terions ....'

LADI ALTON,

J'en,suis facbée plus que vous; mais vous m'y reverrcz.

encore, vous dis-je.

( Elle sort. )

FABRICE.

Tant pis.

A

qui en a-t-elle done? Quelle différence

d'elle

a

cette Lindan e, si helle et si patiente

!

FREEPORT,

Oui. A propos, vous

m'y

faites songer; elle es.t,

comme vous dites, helle et honnete.

FABRICE,

Je suis faché que ce brave gentilhomme ne l'ait pas

vue;

il

en aurait été touché.

M

Q

N R OS E,

(

A

part. )

Ah! j'ai d'autres affaires en tete.... Malheureux que

je suis

!

'

FREEPORT,

Je passe mon temps

a

la bourse ou

a

la Jamai'que :

cependant la vue d'une jeune personne ne laisse pas de

réjouir les yeux d'un galant homme. Vous me faites son-

. ger, vous dis-je,

a

cette i¡>etite créature: beau maintien,

conduite sage, helle tete, démarche noble. Il faut que

fe la voie un de ces jours encore une fois .... C'est dom–

mage qu'elle soit si fiere.

M O N

ROS E,

a

Freeport.

Notre bote m'a confié que vous en aviez agi avec dle

d' une maniere admirable .